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Ioledane
20/9/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ce court texte m'a intriguée, pourquoi 1884 ? Et quelle incongruité (c'est ironique) d'avoir la nostalgie d'un siècle depuis longtemps dépassé, alors que l'on se vautre en pleine modernité ... mais justement, c'est rafraîchissant !
"Etre, sans jamais avoir été" : nous voilà en plein paradoxe temporel, forcément. Assorti d'un jeu de mots sur les saisons. Le dernier paragraphe est à mes yeux le plus réussi : "l'infini qui se déboîte", les "marqueurs de poussière", voilà des images un peu plus fortes. Mais je reste avec ma question : pourquoi 1884 ? ... |
Provencao
29/9/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Un amour intemporel, sur trois quatrains hétérométriques, sans rimes appuyées, peut être en lien avec ce siècle si contradictoire en terme d'amour.......où vous nous emmenez au fil du XIXe sur ce soupir romantique.
Un peu déçue, car j'aurai aimé lire les contradictions de ces jeux amoureux de cette époque qui s'offraient en ces temps où l'on réprimait le sexe et parallèlement l'on en devenait obsédé. "Pétales de roses ou d’horizon Etre, sans jamais avoir été Sans qu’il y’ait d’hiver ni saison Je t’aime au XIX ème." Ce quatrain n'apporte que peu de choses, à mon sens, si ce n'est ce soupçon de romantisme. "Sur l’infini qui se déboite" j'en ai aimé la sonorité, je me suis demandée si il fallait y lire une conciliation dans cet amour de ce qui a été ou une idée de l'amour informel... Au plaisir de vous lire Cordialement |
Damy
8/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien la trouvaille du XIX° siècle et du 19° arrondissement où se trouvent les Buttes Chaumont, si j'ai bonne mémoire.
Quant à 1884, je sais que c'est cette année là que la loi municipale de décentralisation fondant les communes a été créée. Mais y a-t-il un rapport ? Il y a probablement eu un autre évènement, mais que j'ignore. J'aime le 1° quatrain, surtout le "Nous irons je t'aime au XIX°", mais le poème pour moi reste une grande énigme dans une grande économie d'écriture. Cependant il me laisse imaginer (par mes suppositions précédentes) une critique sobre des temps modernes qui ne me déplaît pas. |
Donaldo75
8/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour ADN,
J'ai bien aimé ce poème de par son ton, sa douceur, les images qu'il véhicule, un peu dans la photographie d'époque. Bravo ! Donaldo |
Queribus
8/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé ce poème court qui dit beaucoup en peu de mots; comme d'autres cependant avant, je suis intrigué par ce"1884"; par ailleurs, vous employez deux fois le terme" Je t'aime au XIXme"; je pense qu'il aurait été intéressant de le mettre également au troisième quatrain pour donner à l'ensemble un côté chanson "verlainienne" D'une façon globale, je pense que votre poème aurait quand même gagné à être écrit de façon plus classique ou plus moderne; nous sommes là dans un mélange des deux qui déplaira à certains et en enchantera d'autres mais à chacun ses gouts. Bien à vous. |
papipoete
8/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour ADN,
Buttes Chaumont, parc où déambulent dans ce 19e arrondissement de Paris, des parents et leurs enfants, des nounous et leurs petits, des amoureux aujourd'hui comme au 19e siècle ... NB votre poème semble une devinette qui dirait << je suis, je suis ! >> Sain et vif d'esprit sera celui qui devine robre rébus ; il me faudrait être Sherlock Holmes pour vous décrypter ADN ! |
FABIO
8/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Ca manque un peu de romance et d'images un peu plus percutantes Les rimes sont approximatives. Ca se lit bien et il ya tout de même une plume affuté. |
Anonyme
8/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Un attrait particulier de l'auteur pour cette fin XIX eme ?
La naissance d'un parent en cette année 1884 ? Ou tout simplement une nostalgie des amours à cette époque. Un côté mystérieux de ce texte, qui ne m'a pas vraiment séduit. |
Anonyme
8/10/2017
a aimé ce texte
Pas
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C'est un texte qui se lit bien, mais hélas il ne m'a procuré
aucun ressenti, il y est trop hermétique. L'auteur sait de quoi il parle, pas le lecteur, qui se sent perdu, la distance qui sépare l'un de l'autre, est bien trop importante à mon goût. Je n'arrive pas à trouver à ce texte, ne serait-ce qu'une petite parcelle d'émotion, qui m'aurait fait vibrer. J'en suis désolé, mais je n'ai pas vraiment aimé. C'est trop froid, trop abstrait pour moi. |
Anomel
9/10/2017
a aimé ce texte
Pas ↓
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Je reste dubitatif face à ce texte.
Ne connaissant pas Paris ni le parc des Buttes-Chaumont, et souffrant d'inculture, j'ai du faire une recherche Google. Donc c'est un parc qui se trouve au 19e et qui fut créé au XIXe ; je comprends un peu mieux le titre. Pourquoi 1884 ? ou pour respecter le texte "Mille huit cent quatre-vingt-quatre". Encore une fois, je m'en remets à Google, et la seule référence qui fasse correspondre le parc et la date est une statue de Camille Lefèvre : Le Gué. Mais bon, références mises de côté, la ponctuation de votre texte me gêne quelque peu (placée de la même façon dans les deux quatrains) ; et la syntaxe de même. C'est voulu certes, mais il y a des transgressions syntaxiques reposantes, et d'autres qui fatiguent les yeux. Ici ça m'a un peu fatigué. |
ADN
9/10/2017
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Alors pour répondre à la question 1884 c'est tout juste cent ans avant le roman de George Orwell. L'objectif est d'opposer la froideur de la technologie de ce roman (et qui est aussi un thème contemporain) , avec la douceur d'un moment complètement épuré qui aurait pu se dérouler cent ans avant.
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Pouet
9/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bjr,
J'ai bien aimé la prise de risque, l'originalité dans l'expression et la ponctuation. Je retiens particulièrement la deuxième strophe, j'aime beaucoup même si le troisième vers m'a semblé un peu en-deçà, trop commun. Les trois premiers vers de la dernière strophe me plaisent aussi, notamment: "D’un temps qui avant était hier". Je n'aurais pas capté le dernier vers sans les explications de l'auteur. Voilà, un texte qui interpelle, qui ne laisse pas indifférent. |