Toi ma fleur bleue, toi ma pervenche,
Toi mon velours, toi mon satin,
Je pose mes mains sur tes hanches,
Alors ton corps, me va si bien,
Je pose un baiser sur tes yeux
Je te tendresse un petit peu,
Et puis soudain en avalanche
Un grand désir qui me tourmente,
Étreint mon cœur, étreint mon corps
Je suis séduis, conquis, j’adore !

Toi mon totem, toi mon serpent,
Mon amazone et mon diamant,
Je te murmure, je te caresse,
Et je t’apprends du bout des doigts,
Je suis serments, je suis promesses,
De pour toujours, de rien que toi,
De si tu pars, je te suivrai,
De si tu meurs, je me tuerai,
De si tu pleures, je te console,
Avec mes plus douces paroles.

Toi mon jouet de grand Noël,
Toi mon étoile, toi mon soleil,
Toi ma campagne, mon océan,
Toi mon été et mon printemps,
Tu es l’orage et la tempête,
Tu es le glaive et le couteau,
Quand tu t’en vas faire la fête,
Tu es mon juge et mon bourreau,
Mais tu es aussi mon arc-en-ciel
Quand dans tes bras, je me réveille.

Petite dame de mes nuits,
Tu sais que sans toi, je m’ennuie,
Petite femme de mes jours,
Je veux encore te faire l’amour,
Je veux encore poser mes mains,
Sur tes épaules et sur tes seins,
Je veux encore suivre le galbe
De tes deux hanches et de tes reins,
Je veux encore mille nuits blanches,
Je veux t’aimer jusqu’à ma fin.


FFS/783