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Anonyme
9/10/2022
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Lus’,
Wesh, j’ai pas capté un broc à ton slam Mais man, pour le rap j’dois dire, je rame Les rhinocéros, j’les kicke en saucisses Avec de la mayo, faut qu’ça glisse J’ai des poissons sur mon édredon Un vampire qui squatt’ le salon Du cou y faut que j’y ail Avant d’êt’ mordue aux entrailles Et comme j’ai niqué mon crayon Sur le beat d’un vilain garçon J’vais pas pouvoir biffer mon flow Le swag est resté en rade, bro Anna la Kaïra EDITH et TRADUCTION : Je suis bien incapable de porter une appréciation sur votre texte, je le pense réservé aux amateurs de poésie urbaine dont je n'ai pas les clefs mais merci pour la lecture gratuite et le temps que vous passé dessus. |
papipoete
9/10/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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bonjour Agate
Malgré la possibilité que j'ai de mesurer chaque ligne, je me prend les pieds dans le tapis, à vouloir comprendre chaque allusion... qui je n'en doute pas est le fruit d'une recherche approfondie. Si l'ensemble du texte ressembla à la dernière strophe, je pus suivre le fil de cette complainte, mais... |
Raoul
9/10/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Bon, alors je ne suis pas spécialiste, c'est donc en noob que je m'exprime. On n'échappe pas aux poses du genre (égo, amour(s), fric et positionnement sociétal). On retrouve un quotidien morose –forcément – que "Je" cherche à transcender par des moyens... peu convaincants (de mon point de vue). Pas de punchlines particulièrement mémorables, un vocabulaire plutôt simple et sans surprises, des images téléphonées ("nucléaire, explosant mon crâne"...), pourquoi le "saloon", pourquoi le "poisson ", que vient faire ici la "vaisselle" – questionnement humoristique, masculiniste, féministe ? – alors que l'image du Rhinocéros (en tant qu'homme à carapace et corné d'un symbole phallique) est complétement abandonnée en cours de texte. Bizarre aussi le "communier" emprunt d'une religiosité anachronique et soudaine. L'écho entre [ ] me semble une tentative de mise en espace, mais je ne parviens pas à entendre l'apport cette chorale artificielle. "Tendais-tu vraiment l'oreille" aurait esquivé un possessif un peu... À mon avis (qui n'est que le mien) ce texte reste à affiner, à préciser. À votre prochain texte. |
Anonyme
9/10/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un poème qui dénote sur Oniris ! Quel beau mariage le rap qui dénonce le manque de romantisme, Coolio s'en retournerait dans son gangsta's paradise !
Néophyte en la matière, c'est à tâtons qu'on cherche le rythme qui convient. À tâtons qu'on se laisse porter par des images râpeuses plus que rappeuses violentes. Lorsque, surprise, on s'entend reprendre en chœur les mots mis entre guillemets... C'est là qu'un semblant de rap ostensiblement vous gagne. De ce côté c'est pari gagné ! Reste à vouloir comprendre de quoi l'histoire retourne. Cherche plus me dit l'exergue mignonne comme tout, ce n'est pas Agate the blues, mais Agate the rap qui tente de rêver dans son salon en attendant de nous faire découvrir d'autres facettes de son talent de poète ! |
Provencao
13/10/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Agate et bienvenue.
J'ai lu , relu et me suis dit comment se comporter précisément lorsque dans ma lecture, la pensée devient confuse, abstraite....bien lire et relire pour en évaluer la pertinence.... J'ai hâte de découvrir votre éclairage qui me conduira, à éprouver, déceler, préciser, le sens de l'aperçu de la poésie, et surtout son domaine de convenance . Au plaisir de vous lire Cordialement |