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| jaimme
9/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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L'exergue m'a trop donné d'attente.
Pour un proche... je m'attendais donc à un ressenti extrême. Or les images me semblent trop fades pour un thème aussi dur. Rien ne m'a vraiment accroché, arrêté, pris par le bras pour m'insurger ou m'identifier, compatir. Ce n'est pas mal écrit, certes non, mais un thème aussi fort mérite, attend... plus. Une question: "ces cris à jamais entendus". Je ne comprends pas bien. Ce sont ceux des condamnés? En quoi sont-ils "illusion immonde, un monde imaginaire vers la liberté salutaire"? Critique de la réinsertion? |
| Anonyme
9/10/2009
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
je n'ai pas aimé du tout ce texte, que je trouve pour ma part, terriblement mal écrit, sans la moindre poésie, avec une lourdeur et un manque de musicalité absolument dramatiques pour un texte qui se veut poétique. Il y a un côté premier degré qui me gêne terriblement, quand on croit qu'il suffit de parler de choses graves pour qu'elles s'imprègnent comme par magie d'une force propre au thème qu'elles évoquent. Ben non, ça ne marche pas comme ça, il faut travailler les choses, prendre de la distance et réinvestir les sentiments en les parant d'une émotion recomposée, d'une force revisitée. Là, tel quel, ce texte me semble sans intérêt, et c'est dommage. Je n'ai pas saisi non plus la raison du passé simple "j'entendis" qui alourdit considérablement le vers chaque fois. Bonne continuation cependant. |
| calouet
9/10/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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L'intention reste louable, et j'imagine que la personne à qui est dédié ce texte saura l'apprécier pour sa valeur "morale"... Mais sans être un esthète de première, je dois t'avouer que ça m'a semblé à la fois banal et maladroit. tiens par exemple, ces "ombres obscures et noires"... Une lapalissade, une ânerie quasiment, qui fait sacrément tache à mon avis. L'image des colombes me semble aussi fort mal choisie, tant c'est devenu un cliché volant. Et là en plus, c'est le leitmotiv du poème.
Bon, bref, je préfère être franc. Désolé de n'être pas plus sympa sur ce coup. |
| Mr-Barnabooth
10/10/2009
a aimé ce texte
Pas
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Un peu d'accord avec les trois premiers commentaires, l'intention est très certainement louable mais l'ensemble, composé de beaucoup trop "d'images bateau" ("survole la colombe", ombres obscures et noires"), manque de corps, de tripes et d'esprit poétique.
Amicalement Mr B. |
| brabant
17/3/2013
a aimé ce texte
Pas ↑
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- Quelle est l'utilité de la première strophe avec ses "cours emmurées" d'écoles" ?
- "J'aperçois tes yeux briller..." : "tes yeux briller" ? 'qui brillent', non ? - Pourquoi "à jamais proscrits" ? Condamnés à perpétuité ? - "oubliettes", vous n'avez sans doute pas tort, mais fait trop moyenâgeux. - "pardons" : demande de pardon ? - "Je présume" est trop marqué Stanley/Livingstone. Lol. Le reste de la strophe me semble tirer à hue et à dia. - J'attendis qu'ils nous entendent..." : Qui est ce "ils" ? Cette condamnation du monde carcéral est louable, mais à qui s'identifier ici pour compatir ? Et où sont les cris de haine, de bêtes, de déments ; où est le vacarme ? Où est la violence exacerbée ? AMHA ce texte a du mal à atteindre sa cible. Désolé :) |
| Anonyme
6/7/2016
a aimé ce texte
Pas
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Le texte n'est pas vraiment à la hauteur de son idée, cela commence par le titre "Les oubliés du royaume", j'aurais simplement écrit "Les oubliés".
Dans les propose de ce texte, le vocabulaire n'est pas toujours adapté, il ne met pas assez en avant le ressenti. Il y a trop d'images clichées comme "des blanches colombes, le fond de ton cachot, les cours emmurés d'écoles". Je comprends la démarche, mais elle est exprimée de façon trop maladroite. Je n'arrive pas à éprouver une quelconque émotion, rien ne transparait vraiment dans cet écrit, de ce milieu carcéral. Ce n'est qu'une tentative, loin d'être réussie, cela manque de réalisme. |
