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Proseuse
22/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour !
Voilà un poème que j' aime beaucoup, je l' ai lu une fois et me suis laisser embarquer par les images .. j' y suis revenue une autre fois et j' en découvre d' autres ! j' aime ce genre de poésie qui offre aux lecteurs plusieurs niveaux de lectures et un grand espace d' interprétation , je cherche un passage qu' éventuellement, je préfèrerais à d' autres .. non! décidément, je prends "tout" !! merci de ce bel instant de poésie |
Anonyme
6/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un beau texte, doux et mélancolique.
Je regrette deux choses, même si je n'ai pas de solution à apporter: - l'utilisation du "que" (il se peut que / saisiras tu que) un peu lourde et contraignante à lire. - la répétition de lune un peu lourde parfois. Mais j'ai tout de même bien aimé. |
MissNeko
6/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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J ai apprécié la douceur et le ton mélancolique de tes vers.
J ai une préférence pour la deuxième strophe. merci pour ce partage |
Lulu
7/10/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Alcirion,
j'ai pris le temps de lire ce poème et de le relire, mais je peine beaucoup à le saisir. S'il s'en dégage des vers parfois sympas, comme "C'est une faille une crevasse / Une déchirure à repriser", d'où s'esquissent de belles images, je ne comprends guère l'ensemble du texte que j'ai trouvé, de fait, trop long. C'est pour moi trop confus. Peut-être, s'agissant de vers libres, ne m'en serais-je pas tenue à cinq strophes de poids à peu près égal. Ainsi, pour la première, j'aurais bien vu deux strophes car le passage du "je" au "tu" m'a posé problème. Je n'ai pas perçu qui parlait à qui... J'aurais donc fait une strophe jusqu'à "Dissoudre la douleur", puis commencé une seconde avec "Saisiras-tu que c'est la lune"... pour que ce soit plus clair. Par ailleurs, j'aurais évité "La lune énorme" que je trouve un peu lourd, du fait de la répétition du mot "lune" et de la tournure. Je trouve qu'il y a un problème de rythme ici : "Mon éclat d'étoile changeant / D'allure et de couleur". Finir le premier vers par un participe présent, cela fait bizarre. J'aurais poursuivi (Mon éclat d'étoile changeant d'allure et de couleur) quitte à faire un vers plus long. Plutôt que cet autre participe présent, j'aurais bien vu un présent simple : "M'offrant visions étranges" pour "M'offre des visions étranges". J'ai trouvé par ailleurs "l'aurore de ma vie" un peu lourd à cause du possessif "ma" qui renforce trop le "je" déjà bien personnel. Là, j'aurais bien vu simplement "Pour chaque aurore"... pour épurer un peu. Je ne vais pas décortiquer tout le texte en détails, mais il est vrai que j'ai manifestement tendance, en vous lisant, à vouloir le décortiquer, faute d'avoir pu lire un texte fluide. En espérant que ces différents éléments pourront vous apporter. Cordialement. |
Sodapop
8/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Ce poème rassemble tous les codes qui, à mon sens, qualifient de façon parfaite la poésie surréaliste. Il y a un rythme entrainant qui nous fait lire ce texte de façon haletante, sans jamais en perdre le fil, sans jamais s'ennuyer, nous offrant des visions fortes d'images venues tout droit d'un autre monde. Certainement l'univers qui reflète votre âme. Je ne serais pas loin de dire qu'il s'agit du poème le mieux construit que j'ai lu sur oniris à ce jour. Un surréalisme percutant, retravaillé, avec des clés que seul l'auteur peut comprendre. Vous nous les offrez dans ce texte et chacun doit en faire ce qu'il souhaite. Merci et bravo.
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Alcirion
8/10/2016
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Anonyme
8/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je reviens sur ce texte qui m'avait beaucoup plu dans l'espace lecture. La beauté indicible, elle est là et vous nous en avez fait largement profité! Curieusement ce texte n'a eu qu'assez peu de coms et c'est bien injuste. Tant pis pour les distraits qui sont passés à côté de ce beau texte.
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GeorgesSang
27/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un texte très beau et très agréable, et ce n'est pas peu pour un rimier invétéré comme moi ! Bravo
Les images et les mots se lisent avec beaucoup d'aisance, et elles sont pleines d'esprit "Se peut-il que j'aie perdu ma main" quand on s'attend plutôt à voir une clé, clé qui réapparaît quand les yeux réussissent à "Trouver l'acier secret". La deuxième strophe s'est littéralement enflammée, puisque'elle est d'abord "lumière" qu'on "supplie" de briller, puis un feu qui s'embrase et d'où jaillissent les "flammes", et enfin les "cendres nouvelles" qui meurent pour mieux renaître. Très bien ! Je trouve en revanche que l'usage des participes présent donnent des lourdeurs à votre travail, mais ce n'est que mon avis. A vous relire, Alcirion |