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Robot
1/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte m'a fait penser aux chœurs antiques, quand les récitants déclamaient sur les tableaux de la tragédie.
Un texte qui ne se révèle pas à la première lecture et que j'ai relu pour m'en imprégner. Et c'est en ayant l'idée de le lire à haute voix (ce n'est pas naturel d'y penser en prose) que j'ai ressenti toute la force de cette image d'opéra sur laquelle on superpose inconsciemment des grondements orchestraux. |
Sodome
1/8/2016
a aimé ce texte
Pas
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Ce n'est pas couvrant les belles choses de noir, de sang et de boue qu'on les rend poétique ; une auréole tombée dans la fange, ça n'existe pas, c'est juste de la fange avec l'idée d'une auréole, et ça n'a pas de sens.
Poème païen vulgaire, inspiré par les trucs bien laids dont tu parles. |
MissNeko
1/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J ai adoré la puissance du texte, la suggestion d images sombres et sanglantes. Ce texte donne vie à une symphonie par les mots.
Les vers sont longs et lourds reflétant ainsi le tragique de la situation. Le petit trait d humour vers la fin : on tuerait père et mère (non, quand même…), on vendrait ses enfants (oui, c'est mieux!) Un bon moment de lecture. Merci. |
Vincente
2/8/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir Alcirion,
Dans la première lecture, je me suis noyé dans l'écriture emphatique du récit. La surenchère d'images et de formulations, le séquençage concentré, plutôt aggloméré, rend l'assimilation du propos difficile. En même temps cette abondance apporte une puissance à l'évocation, que l'on sent de mieux en mieux dans les lectures suivantes. Ainsi apparaît la tourmente exacerbée du sujet, avec la mise en évidence du ciselé des scènes à la façon des peintures de Géricault. C'est alors que l'on appréciera la qualité du regard et la volonté appuyée de l'expression. Mais le phrasé n'est pas très agréable, la scansion est hachée alors qu'on l'imaginerait lyrique vu le romantisme "noir" qui lui sert d'expression. Il est plutôt extrusif, déclamatoire, avec des phrases à rallonge, allant jusqu'à environ quatre-vingt mots dans les deux derniers paragraphes...! Si bien qu'il m'a semblé que la plastique exacerbée de l'expression était pratiquement votre exclusive intention dans ce texte. Désolé de n'avoir pas pu entrer suffisamment dans votre poème. |
funambule
2/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Texte qui m'évoque (surtout) la musique du même nom avec son imagerie païenne, un certain esthétisme révolté et même un peu paumé... et du coup une bien jolie nostalgie attachée à quelques acteurs de ma vie qui se réfugient toujours là en espérant être moins abimés par la vie.
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Johannes
2/8/2016
a aimé ce texte
Un peu
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J’ai du mal avec la présentation qui ne m’aide pas vraiment pour la compréhension du texte. Que faut-il entendre par « la lumière de la vierge noire », ou « les lisières de la chair septique » ? Je ne saisis pas le lien avec le poème.
Par ailleurs, la lecture de cette œuvre « symphonique » m’a fait penser à mes traités d’orchestration dans lesquels les compositeurs sont constamment mis en garde contre une utilisation abusive des tutti. Gustav Mahler, un des plus brillants orchestrateurs de l’histoire et qui a pour habitude d’écrire pour des ensembles gigantesques, n’utilise en fait que rarement les tutti orchestraux. La grande variété des instruments qu’il met en œuvre lui sert essentiellement à créer des musiques à géométrie variable, aux coloris chatoyants et où l’écriture s’apparente parfois même à de la musique de chambre. Par contraste, les tutti qu’il utilise avec parcimonie en sont d’autant plus saisissants. Or, dans le texte qui nous est soumis, il n’est question de rien moins que de « trois orchestres symphoniques qui arpègent de noires mélopées électriques dans un crépuscule affligé… » ! Et, à la lecture du poème, j’ai effectivement l’impression que trois orchestres jouent ensemble sempre fortissimo du début jusqu’à la fin. C’en est trop ! Je ressors de cette lecture essoufflé, éreinté. |
Alcirion
2/8/2016
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Zoe-Pivers
2/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'arrivée cacophonique de la muse défigurée par la jalousie, ça commence fort !
Les images m'ont emportée dans un univers Fantasy dès l'intro. La mise en scène, les effets spéciaux, les personnages, les cordes, les cuivres, cet ange que l'on chasse comme un démon, le narrateur qui lui parle comme s'il existait entre eux une proximité, un vrai fan, et ces petits traits d'humour qui viennent taquiner le décor... Et puis ce petit air qui m'est venu à la fin : knock knock knockin' on heaven's door :) J'ai beaucoup aimé, tout simplement. Merci |
Anonyme
13/6/2018
a aimé ce texte
Pas
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J'ai beau insisté, franchement je n'aime pas ces textes "torturés", qui me proposent des images hideuses, violentes, et de la souffrance en veux-tu en voilà à foison.
Ce "Je" rès déroutant, se met en scène dans ce décor nauséeux. C'est ce qui est le plus déstabilisant. Je n'adhère pas vraiment à ce genre d'écrit, qui n'apporte au réel aucun plaisir en lecture, sinon celui d'éprouver un certain malaise constant, il faut savoir faire face à une exposition permanente de projection sombre et négative. |