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Robot
2/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Par cette enfant le poème évoque avec beaucoup de sensibilité le moyen orient, son passé qui fut glorieux et biblique et son présent entre désolation et espoir.
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Eskisse
6/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour ALDO,
Peut-être pas encore des notes mais une rythmique créée par l'anaphore "elle nous dira" et l'écoulement des autres vers. Une poésie- berceuse. Un vers très évocateur : "une enfant loin du pays d’enfance" qui dit justement l'éloignement de ce royaume d'insouciance". Une anaphore donc qui insiste sur le témoignage de sa propre vie. Une langue hiératique aux accents bibliques. Un mariage sur une autre terre où l'on se réfugie. " Le rire de la bête", peut-être celui, noir, de la guerre. Et pour finir un hermétisme très doux à l'oreille... |
Provencao
6/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour ALDO,
"Et son chant est simple qui monte vers un ciel simple… " J'aime beaucoup ce chant, ce rythme avec cette articulation fluide, mobile, improvisée. Le rythme de votre belle poésie se veut flux, jointure, ce rythme offre la mise en chemin. Belle courbe mélodique et douce oscillation qui vibre entre la force des mots et le sens . Au plaisir de vous lire Cordialement |
Dameer
6/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Hello ALDO,
Très beau poème qui évoque plus qu’il n’explique, autour de la figure mythique de Maryam, ou Marie, révérée à la fois par les Musulmans et les Chrétiens. Alliance ou voyage symbolique entre l’orient et l’occident, représentant le passage du temps, la quête spirituelle, et l'espoir face au silence et à la souffrance. Le mal est évoqué par l’innocence perdue et le rire de la bête, il faut comprendre Satan. J’y vois une évocation du conflit Israélo-Palestinien Je ne sais pas si j’extrapole.. |
papipoete
6/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour ALDO
Maryam, loin de son Orient interroge les étoiles, leur raconte son union avec un homme de l'Occident, leur redit son rêve de matins simples, dans une vie simple ici sur cette terre d'asile où l'accueillit genou en terre, un Prince. NB même si elle semble avoir trouvé la paix, déracinée qu'elle est, Maryam vit de l'autre côté, sans les siens ; elle est seule on sent une tristesse mélancolique dans ce poème, non point de haine pour ces " autres " ; mais elle regrette si fort sa Terre... les trois premières strophes me plaisent particulièrement. |
Corto
6/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Aldo.
Ce poème relève du mystère, de l'évocation, de l'espoir. A l'image de l'exergue, on flotte à son appel dans un courant où notes et mots se font concurrence et complicité. Ce voyage "où l’on jette le dé...vers des couchants" nous emmène au niveau des nuages, ceux qui portent ou ceux qui inquiètent. Car profondément on sent encore que "les montagnes soufflent noires, on a soulevé le masque de fête… " et l'on n'oublie pas "qu’elle est seule, la neige fine retombée sur l’Anti-Liban." Un ressenti superbement exprimé qui entraîne le lecteur dans un imaginaire subtile sans être sûr qu'il soit totalement imaginaire sans oublier que Maryam n'est pas une inconnue. Bravo pour cette richesse. |
MarieL
11/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Un très beau poème, sensible et très émouvant, une lecture qui touche beaucoup et dont l'expression, mélodieuse et onirique, est parfaite.
Le final est superbe. |