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AnGer
13/5/2008
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parce que les mots savent nous transporter sans que nous ayons pris de ticket, merci pour ce joli voyage,
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ristretto
13/5/2008
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cette lecture m'a plu, surtout la quatrième strophe car le rire (de tout) est tout ce qui nous sauve
merci |
marogne
14/5/2008
a aimé ce texte
Bien
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mais c'est parfois si agréable que de s'embarquer sur le bâteau de l'imaginaire, et même si il faut faire poinçonner (non, composter) son ticket...
Je l'ai lu avec plaisir, des images intéressantes qui poussent à s'intérroger, des mots simples, sans apprêts, du naturel. |
Anonyme
16/5/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Pas franchement persuadé pour ma part...
"univers impénétrable", "flottant au milieu des quais pour le plus grand des voyages", "gouffre sans fond", "virevolte au grè du vent"... Désolé, non, tout cela sonne trop commun à mes tympans... L'idée du ticket n'est pas mauvaise mais... |
David
16/5/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Alexis,
J'ai bien peur que de jeter à terre ce ticket n'épargne à personne ce grand voyage, c'est une attitude ironique ? Il y a comme un désordre dans la forme, les images marines sont plus communes en poesie, ce "ticket" aurait pu renvoyer à d'autres ferroviaires, et j'aurais plutôt pris un billet pour le bateau ? Un décalage entre le titre et le poême qui m'a interrogé dés l'entrée dans le texte. |
TITEFEE
17/5/2008
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à la première lecture j'ai vu un quai de gare, des existences inconnues qui se noient dans le mystère des voyages et l'incognito des salles des pas perdus
et puis j'y ai aperçu la métaphore de la vie et de la mort... des interrogations interrompues sur ce qu'est ce ruban que l'on déroule et dont on ne connait pas la longueur |
Anonyme
25/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte déroutant, malgré plusieurs lectures, il me reste obscur, le mystère demeure tout comme en notre vie, son déroulement nous échappe, nous sommes pris dans un tourbillon d'événements tantôt heureux, tantôt malheurs, à la fois acteurs et spectateurs.
Attachante cette strophe, peut-être la plus "parlante", pour moi : " Pris dans un vaste tourbillon, Suspendu les quatre fers en l'air, Je vois un gouffre sans fond Et j'y cherche la lumière. " La dernière strophe justifie le titre "Un ticket à composter", pourtant elle me laisse sur quelques interrogations, mais n'est-ce pas le propre de l'homme, de se poser des questions sur les tenants et les aboutissants de sa vie, sans pour autant en attendre des réponses "convaincantes". La forme présente, souligne un fond curieusement dérangeant par son côté abstrait. |