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Mintaka
28/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir,
Ce poème rimant quelque peu semble ne devoir être compréhensible que par son auteur(trice). Pourquoi pas, mais alors il doit être , à mes oreilles, compenser par une belle musicalité, ce qui n'est pas le cas pour moi malheureusement. Je ne dirai pas que je n'aime pas car j'ai pu, au tournant d'une expression, y ressentir quelque chose. Mais je n'irai pas plus loin. Au plaisir de vous lire par ailleurs. En E.L |
Cyrill
30/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je me demande pourquoi l’auteur a choisi de présenter ce poème en prose, alors que la régularité rythmique des propositions ou des ensembles les composants s’entend très distinctement, avec en prime des rimes très lisibles elles aussi. Cela dit j’aime assez cette forme.
Je lis l’exergue et je me dis que c’est bien ça, on se balade autour du moi, d’un moi écrivant. Il y a un jeu (je) qui me paraît, à moi, un peu trop égocentré, une sorte de vanité des mots. Bien entendu je ne suis pas la police poétique, et rien ne dit que la poésie doit ceci ou cela, doit se tourner vers le monde et se détourner de soi. Et d’ailleurs je ne suis peut-être pas le dernier à me regarder écrire. Mais bon. À la fin de ma lecture j’ai une légère sensation de vide, celle d’avoir vu de jolies fioritures sur un cadre qui m’a légèrement empêché de regarder le tableau lui-même. Finalement, je me dis que c’est sans doute de cette vanité que j’évoque plus haut qu’a voulu nous entretenir l’auteur. |
Donaldo75
30/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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J’aime ce poème pour sa forme tout d’abord, avec cette poésie libre qui ressemble fortement à de la poésie en prose par son découpage. L’utilisation des phrases courtes sujet-verbe-complément donne du rythme à la lecture et habille le tableau de touches tonales. Ce qui me fait marrer, c’est quand je relis l’exergue parce que c’est exactement le genre de sujet qui ne m’emballe pas – pour employer un euphémisme qui ne vexe personne – alors que le résultat me semble plus rock’n roll et moins recentré sur soi-même à la sauce resucée de Nouvelle Vague avec Jean-Pierre Léaud hantant les EPAHD où s’est réfugié son public d’antan. Bref, ce poème a du corps, de l’authenticité, un style.
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papipoete
17/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Ancolie
Bien que vos vers ne me montrent pas la direction... où aller pour poser une réflexion, j'y vois des phrases semblant aux temps d'une valse, d'une valse à courts temps, et Void se remplit de pas, à défaut de pieds, pour l'air d'une " danse sans rien " |
Queribus
17/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'éprouve une impression très curieuse à la lecture de votre écrit: en effet, celui-ci ressemble un peu à de poésie rimée présentée sous forme de prose. Le tout est sautillant, j'allais même dire amusant et pas trop long. Alors pourquoi pas. En ce qui concerne le fonds, je suis plus dubitatif ; je ne sais pas trop où vous voulez en venir et je ne vois pas de fil conducteur à votre poème. L'ensemble me laisse quand même sur une note positive pour son originalité. Bien à vous. |
BlaseSaintLuc
17/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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À l'ancolie, la mélancolie, des chemins pourpres, bleus ou bien de suie.
Un moment où l'on s'égare sur le chemin des mots, fuyards ou sans échos. Je vois d'ici la couleur de l'encre, c'est celle de l'âme, celle des yeux. C'est de l'ancRolie ! |
apierre
17/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Ancolie,
J' ai beaucoup aimé ce texte court et original et me suis laissé emporter avec plaisir dans son rythme.Je trouve que ça fonctionne bien et que la longueur est tout à fait adaptée. "Sur une danse sans fin.Sur une danse sans rien." La fin est très réussie. |
Provencao
18/5/2022
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Bonjour Ancolie,
Ce " Je me recompose. Je me décompose." aussi fort que complexe, est une assez bonne illustration de la gêne éprouvée face à son Moi. Ce que j'ai lu et perçu, c’est non pas à clarifier, illustrer ou interpréter ce que l’on peut connaître de nous-même en première personne et en première intention, mais ce qu’on peut approuver ou induire à partir du fait que nous nous savons ressentir, imaginer et recueillir : " Je pose l'encens, rose de sang" . Au plaisir de vous lire Cordialement |
Vert-de-Gris
20/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Oh la jolie chose !
J'aime assez ces couples de phrase que vous tissez, c'est un beau rythme, cadencé, qui rappelle assez le mouvement d'un bateau qui nous porte bord contre bord. De plus, c'est hermétique à souhait ! Juste assez pour qu'on ne voit qu'une brume, et suffisamment peu pour qu'on puisse sympathiser (à tord souvent peut-être) avec l'émotion qui affleure. J'aime aussi la structure générale. C'est adipeux, sans forme, on touche en passant l'oeil des rugosités qui nous fait sentir le rythme qui pulse derrière... Au plaisir de voguer de nouveau en votre mer ! |