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Damy
16/5/2010
a aimé ce texte
Pas
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Je ne sais pas si les règles de la poésie libre permettent l'absence de ponctuation? Le poème contient 2 points. Il m'aurait été plus agréable qu'elle soit complète mais, vu qu'elle aurait été en fins de vers, cela n'empêche pas la compréhension du texte.
Le poème ne me parle pas. Il doit faire, à mon avis, référence à une ville bombardée ou ayant subi une catastrophe naturelle? La nommer aurait permis de ne pas douter. S'il s'agit d'une ville anonyme, générique, je ne comprends pas les ressorts, les raisons de la fuite. Je n'ai pas compris: "Un papier d'argent soudain / Nous éclaire l'iris du désert et:" Après avoir rejeté masques et PERLES". Je n'ai pas trouvé ce texte d'une grande valeur poétique (images, musicalité...) Bref, je suis complètement passé à côté. Mon évaluation est donc entièrement subjective. |
Anonyme
30/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Ben j'aime bien.
je peux pas expliquer pourquoi, je comprends pas ce qui me retient, surement le ton complètement glacial des vers... J'aime la fin, beaucoup. Merci, selon moi seul le vers du ciel rappelant ses anges est en dessous, dans le sens où c'est trop déjà lu à mon gout... D'ailleurs si j'y regarde de près le reste aussi, mais je préfère regarder de loi, mon choix est d'apprécier parce que ma première lecture a été agréable. Oh, et je regrette, même si cette densité (c'est tassé sur soi) est cohérente avec le reste, j'aurais aimé un peu plus d'aération entre les vers... et puisqu'il est un point en fin de poème, j'aurais apprécié un peu de ponctuation au milieu, parce que lu d'une traite c'est...ouahou... Bref, merci et au plaisir de te lire. |
bulle
30/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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De belles sensations, des frissons.. juste ce qu'il faut pour que j'aime..
Je n'ai pas compris pourquoi ce titre, mais ce petit texte a eu sur moi un charme magnétique. Une forte essence qui concentre une atmosphère troublante. |
Anonyme
5/5/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Une esquisse, une ébauche, rien de vraiment satisfaisant dans tout cela... Non, je n'ai pas accroché du tout.
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Raoul
12/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'aime assez le tendu et ramassé de l'écriture pour parler d'un vaste sujet.
D'ailleurs, (et pourtant adepte du bref) j' aurais bien goûté une dizaine de vers supplémentaire… Le " Et le ciel à rappelé ses anges" est superbe. J'apprécie la juxtaposition de l'enfant affamé et l'image subliminale de la coupe glacée. Je trouve fort le "coup furieux" qui exprime tout de la sauvagerie en un mot. L'absence de ponctuation, qui n'est pas forcément un bien, passe sans problème. Toutefois… Les trois derniers vers me paraissent plus faibles que les autres, moins expressifs… "Nous partons très vite" manque cette précipitation… Le "après avoir" est un peu lourd à mon goût… Pour le "Nous essayons maintenant de perdre (la?) mémoire.", le "maintenant" aurait peut être mérité de passer en tête de vers, non? Peut être aussi que si cet ultime avait été détaché du corps général du texte, il aurait gagné en force, faisant ressortir l'urgence. |
Leo
9/5/2010
a aimé ce texte
Pas
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La lecture que l'on fait de votre poème dérange. Elle choque, par une mise en vers hachée, brutale, qui peut en première lecture passer pour désordonnée. Mais quand on se rapproche de votre écriture et qu'on essaie d'imaginer un autre découpage, on se rend compte que le moindre réarrangement change le sens, modifie la portée de vos mots.
Donc, il a soit beaucoup d'instinct poétique, soit beaucoup de travail – soit les deux – dans votre texte. Dans tous les cas, on peut aimer ou non, mais on ne peut pas vous recommander de changer quoi que ce soit, c'est l'essence même du poème qui changerait. Je n'aime pas, je dois l'avouer. Trop sec, trop brutal, trop haletant. A mon goût. Top dérangeant aussi, et c'est finalement ce qui ne me plaît peut-être pas : être dérangé par la vision d'un futur des villes à laquelle je n'ai pas envie de croire, tout simplement. Je n'aime donc pas, ce qui ne remet pas en cause la qualité intrinsèque de votre poème. |
Anonyme
12/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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ça démarre en force, des vers qui claquent, et...et ça tombe à plat à partir de " Un papier d'argent..." bien que je saisis le fond, le ton est assez faiblard tout d'un coup, ainsi qu'au niveau du rythme, haletant au début dû aux vers courts, et ensuite le rythme s'essouffle.
Un sujet grave qui aurait mérité d'être un peu plus développé. |
Chiffon
12/5/2010
a aimé ce texte
Pas
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Un poème à mon sens trop court et trop évasif. Les mots et leur association ne m'ont pas vraiment ému.
Bon, où est-on, une ville en état de guerre ? Qui s'en va et pourquoi : les images de papier d'argent, d'iris du désert ne sont pas claires pour moi. Les cris d'enfants, la souffrance est donnée comme ça, dans un raccourci trop rapide à mes yeux. Pour moi, il s'agit presque d'un premier jet, soumis trop rapidemment sans plus de construction. Inachevé et un peu faible. Le dernier vers est cependant assez puissant, et je suis sûr que l'auteur peu beaucoup mieux dépeindre cette scène. |
PHIL
12/5/2010
a aimé ce texte
Pas
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désolé ce poème me paraît incohérent, d'un style haché, quand au titre je ne vois pas le rapport précis avec le reste!!!!
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Anonyme
12/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un écrit où chaque mot se pèse et fait évaluer sa fourchette de possibles. Pourtant leur ensemble forme un tout.
Le défaut de ponctuation ne me gène pas en ce sens (pourquoi avoir gardé encore un point ?) puisque les images savamment délayées, permettent de développer son propre rythme et sa propre respiration. Voilà le récit d'un drame et de ses traumas bien amené qui ne tombe pas dans le pathos. Pas de racolage technique ici, pas de sentimentalisme dégoulinant, juste une impression forte et profonde. "impression" comme celle de la lumière sur les sels argentiques d'une émulsion photo-sensible. Une sorte de reportage très dense et direct ...qui agirait longtemps encore après qu'il soit assimilé. "perdre mémoire" ou gagner exutoire ? J'aime beaucoup. |
Anonyme
13/5/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Mais que voulez-vous dire ? Je n'ai pas trouvé la réponse. C'est loin d'être mal écrit mais je ne saisis pas le sens. Voilà pour moi c'est confus.
Peut-être ouvrir un forum pour que ma note j'affine... |
Anonyme
13/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai vraiment bien aimé les quatre premiers vers, et les deux derniers.
Entre deux, je trouve le phrasé confus, et ce passage maladroit : "Un papier d'argent soudain / Nous éclaire l'iris du désert / Nous partons très vite". Et "nous tient muet" : pourquoi le singulier ? S'agit-il d'une forme de "on" indéfini ? Pourquoi pas, mais la fin semble tout de même indiquer un "nous" pluriel. Au final, ce texte me paraît délivrer un message profond, que je crois effleurer et qui me plaît. Dommage que le milieu soit un peu confus, au niveau de la construction surtout. |
ristretto
13/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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plusieurs lecture ce poème me fait penser à un "arret sur image"
cette écriture condensée, courte, sans ponctuation je la ressens comme une apnée provoquée par une grande émotion, le souffle coupé, un instant paralysé certes, je n'ai pas vraiment saisi le pourquoi, mais ici, cela ne me dérange pas vraiment - j'en ai fait une interprétation perso et peu importe à bientôt |
Mwa
15/5/2010
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Commentaire modéré
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Chene
18/5/2010
a aimé ce texte
Pas ↓
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Bonjour
Cette écriture très concise aurait pu avoir une portée poétique d'une grande intensité, compte tenu de la gravité du thème traité. Mais à mon sens elle passe à côté de son but. A cela trois raisons : - la première tient à ce que l'auteur n'offre pas au lecteur de "clé de respiration" et une mise en forme qui la traduirait... Il manque quelques intervalles qui auraient facilité l'approche du lecteur. - la seconde tient à l'absence de choix clair entre ponctuation et non ponctuation : je me demande quel élément réflexif a pu conduire l'auteur à ne ponctuer que les deux derniers vers. - la troisième : "Et nous tient muet"... une orthographe pour le moins singulière, non ? Bref, un poème qui n'est franchement pas abouti à mon sens : une première ébauche trop perfectible et c'est vraiment dommage car l'expression poétique est présente. Chene |
tibullicarmina
2/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'effroi muet qui nous tient, plutôt que l'effroi qui nous tient muet(s)? C'est sans doute l'explication de cette orthographe.
Il y a un rythme dans ce poème bref. La construction technique est curieuse. Chaque vers, moins les deux derniers, est constitué par un "syntagme" logique, c'est à dire par un groupe de mot cohérent ayant une fonction logique propre dans la phrase: groupe sujet, groupe verbal, complément... Les deux derniers vers, qui sont aussi les seuls ponctués, regroupent plusieurs syntagmes: le dernier vers est même une phrase indépendante. Cette technique n'est pas l'effet du hasard, c'est elle qui donne son rythme un peu saccadé au poème. C'est un poème travaillé, certainement. Deux difficultés pour moi: les vers " Un papier d’argent soudain Nous éclaire l’iris du désert " que je ne comprends pas du tout. Je ne visualise pas l'image, s'il en est une . Qu'est-ce que l'iris du désert? Et puis surtout, je suis peu sensible à l'atmosphère mise en place, glaciale, détachée. Tant pis pour moi. Evaluation subjective mais qui essaye de tenir compte aussi du travail fourni. |
Anonyme
14/6/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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J'ai lu et relu l'écrit, je n'ai pas vraiment compris où vous vouliez en venir, j'ai cherché des explications dans le titre "Dans la ville à bout de mythe", aussi dans les commentaires. Mais vraiment rien n'a éclairé ma lanterne.
Je suis dans le flou le plus complet, je suis désolé mais je n'ai trouvé aucun intérêt à cet écrit, pas de ressenti, après la lecture de ces phrases. je trouve qu'elles manquent de réalisme, elles sont posées là, et après, moi le lecteur j'en fais quoi, bon peut-être que ma compréhension est hermétique, voilà pour le fond. Quand à la forme, une ponctuation pratiquement inexistante, un peu singulier ces deux points isolés. Autant ne pas en mettre du tout. |