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LeopoldPartisan
15/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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intéressant et même plus. j'ai apprécié particulièrement le leitmotiv "Brûle, brûle, la prairie..." ainsi que les 3 derniers paragraphes dont la puissance d'évocation grâce à des mots plus simples prend vraiment de l'ampleur, à contrario des premiers qui sont pardonnez moi l'expression plutôt dénaturé par une certaine sophistication du vocabulaire trop relatif à l'humain.
"berceau nuptial", carillon funèbre..." Ce n'est bien sûr qu'un avis |
Lhirondelle
24/1/2014
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Bonjour Andromeda
Pourquoi "danse de la pluie", cette dernière n'est soulignée dans votre poésie que dans ses "aubes perlées d'espoir" et son murmure final... la danse m'apparaît menée par les flammes. Mais bon c'est le ressenti que j'ai à la lecture. Pour la forme... je ne pense pas que "transi" de la 1ère strophe et "transies" de la 2ème soient un doublon choisi. J'ai relevé de plus, trop de prépositions en "en" : "en carillon funèbre en bourrasque cendrée en une pluie de braises en un crépitement funeste " La deuxième strophe me semble bizarrement agencée... n'aurait-il pas été plus simple d'écrire : Le soupir vide des pins, aux cimes transies, se fend.... "L'hymne vermeil qu'hulule la forêt" l'image est fort singulière.. mais pourquoi pas... Mais ce "qu'hulule" n'est pas très agréable à l'oreille. "Rien ne la retient, elle détient" pareil, ici, il y a comme un défaut de répétition qui appauvrit cette poésie libre de toute contrainte, dommage de ne pas en avoir profité... Nul carcan ne vous enfermait dans les pièges que peut amener une forme établie. Une poésie qui mériterait d'être retravaillée pour apporter plus de rythme et de métaphores travaillées à cette "danse de la pluie"... C'est un premier poème il me semble, je ne mettrai donc pas d'appréciation, espérant seulement que les points relevés vous donneront quelques pistes pour améliorer votre texte. Bonne journée |
emilia
25/1/2014
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La danse de la pluie, une évocation très poétique à travers ce titre, où l’auteur offre sa vision surréaliste d’un songe, sous forme d’un tableau visuel et sonore, fait de couleurs et de sons qui se répondent, dans un contraste saisissant entre le froid de la neige et la chaleur des braises, entre le blanc et le noir, l’obscurité et la luminosité incandescente d’une pluie qui se révèle être de braises… ; un tableau sensible et bien construit autour de lucioles à l’attrait mystérieux, comme une symphonie musicale qui commence par l’ouverture d’un tombeau…, pour s’achever sur sa fermeture dans un murmure, en passant par différents degrés d’intensité que la nature dirige en chef d’orchestre…, depuis « les feuilles grinçantes, le carillon funèbre, un cri bleu qui résonne ( une couleur symbolique ), un soupir vide, un hymne vermeil, un hululement, puis un bourdonnement écœurant, une bourrasque qui se gonfle…, convulse… et crie…( une image forte ), jusqu’au crépitement funeste qui s’éteint decrescendo sur le murmure final… ; un ensemble plein de promesses qui a retenu mon attention, malgré les points déjà signalés : « retient/détient , les répétitions de en, s’agitent …
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Anonyme
15/6/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Que de répétitions :
- en bourrasque, la bourrasque - le tombeau des lucioles, les lucioles mises ... - le tombeau des lucioles, se referme le tombeau puis tous ces "en" : - en une bouffée, en carillon, en bourrasque, en un bourdonnement, en une pluie, en un crépitement ... Le titre "La danse de la pluie" m'a étonnement surpris après lecture, il ne paraît pas coller au récit ... J'aurais plutôt vu "La pluie noire". Je ne suis pas complètement séduit pas ce poème, il y a de l'idée mais elle me semble prend forme qu'à partir de "Les lucioles mises à feu par les vents... " là, je vois davantage se dessiner le spectacle qui s'offre sous vos mots en apothéose dans la dernière strophe. "Brûle, brûle la prairie..." |