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David
19/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour AnGer,
Une prose qui va de plus en plus fort, qui tend presqu'à l'ivresse ou la folie douce dans le quatrième morceau. J'ai bien aimé "dans le gouffre de l’incomprise" et "je pacte avec l’espoir", je l'aurais souhaitée encore moins terre à terre, encore plus libérée. |
Anonyme
19/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voila un beau poème en prose
De nombreuses rimes internes (mieux qu'un jeu de rimes forcées de certains vers) cinq paragraphes dans un ensemble à l'unité poétique certaine Un sentiment d'enlacement par le début "Tout ce qui se détache de nos pensées" et la fin "les sombres souvenirs…" Un poème en prose vrraiment 'abouti'.. Merci. |
clementine
19/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Des mots qui disent avec beauté la difficulté d'être, la difficulté d'aimer, la difficulté d'être femme.
La peur en même temps que la quête parfois inconsciente et permanente de l'Amour. Quelles phrases viennent se briser sur moi avec force et violence: "je fais râper les lettres contre mes écorchures, infimes déchirures "Je m’essouffle contre ceux qui ne peuvent me posséder" "des spasmes lourds des heures qui ricochent sur mes mois, mes années d’apnée d’amour. " Et aussi et surtout: "aimer festoyer autour du mot « amour », " Merci AnGer pour cette prose poétique qui m'a caressée l'âme. |
Anonyme
22/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bizarrement, je ne suis pas entièrement séduite par cet écrit, comme vos autres textes, il ne manque pas de qualité à tout point de vue. Mais je ne suis pas parvenu à vraiment entrer dans le texte.
Votre plume sait écrire, toute la dextérité est bien là, cependant j'ai trouvé la résonance des mots un peu monocorde, votre dialogue finit par devenir une longue tirade qui m'a un peu rebuté. Tout l'ensemble de ce paragraphe m'interpelle " Tout ce qui s’avoue ne fait plus mal, car accepter c’est ne plus souffrir, ne pas accepter, c’est entacher Ces pensées de souffrance. Puisqu’il me faut accepter d’aimer pour pouvoir être aimé, alors je pacte avec l’espoir de ne plus côtoyer d’amour, pour ne plus jamais l’espérer, des spasmes lourds des heures qui ricochent sur mes mois, mes années d’apnée d’amour. " Vous ne semblez pas être en de bonne disposition, face au sentiment amoureux, j'ai trouvé un certain pessimisme appuyé dans vos propos, c'est sans doute ce qui a fait que ma lecture ne fut pas tout à fait plaisante. |