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Anonyme
23/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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"sème des points de suspension pour oublier d'avouer ce
qui est important", j'aime beaucoup. C'est une très belle prose que tu nous offres là.Le rapport à l'écriture est personnel et très bien rendu. Bravo! |
Anonyme
23/4/2008
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Eh bien, j'ai eu du mal à en ressortir, de ce texte là !
Ni vers ni pieds, mais bon dieu, une dose de poésie en double concentré ! Tes mots sautillent et nous emmènent tout en légèreté de métaphore en métaphore, sans qu'on ait ni le temps ni l'envie de souffler. C'est beau comme un ruisseau qui coule, intimiste comme le creux d'un lit encore chaud du corps qui vient de le quitter. J'aime énormément. |
clementine
24/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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C'est bien toi qui disais dans un précédent commentaire:est-il indispensable lorsqu'on aime de faire des commentaires?J'aime cet écrit comme tes autres écrits et je n'ai rien d'autre à dire.
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Anonyme
25/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore ce texte ! "Les harmonies" que tu as trouvées comme paraboles de cette "vie par procuration", j'emploie un terme lié à la musique, parce que ton histoire sonne comme une mélodie...De ces trucs entêtants que l'on entend par hasard quand on se rend à son travail en voiture, et qui nous obsèdent toute la journée...parce que c'était "vachement" bien... C'est peut-être alors que ça a touché quelque chose de profond en nous...
"vachement" bien !!!! Meuuueuuuuuuhhh (LOL) |
Anonyme
26/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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le texte est un peu trop concentré. Il aurait besoin d'être aéré. Des espaces des petits points. Un texte plein de délicatesse agréable à lire à haute voix. Joli travail
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Anonyme
29/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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C'est encore là un texte de vous, qui "embaume" de poésie, je suis complète sous le charme de cette plume au talent "fracassant".
Cela semble si facile quand on vous lit, vous agencez les mots magiquement, les uns avec les autres, comme si, ils avaient toujours été les uns pour les autres. Comment ne pas succomber sous ces mots " elle s’épingle sur le contour d’un mot, unique, fragile, dans l’ombre des feuilles de l’arbre de sa vie, elle ligature la veine qui encre sa plume, détache la voile qui couvre son corps de femme, et s’éprend du temps qui l’enroule déjà du temps présent, au passé un peu, trop, souvent imparfait. " Vous me transportez si loin, de plus je suis plus enflammé et émerveillé par la virtuosité de votre plume. Il y a une telle musicalité au cœur de votre poème ; c'est époustouflant. |