|
|
nico84
11/11/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Le vocabulaire du vin est une bonne idée même si je ne suis pas fan d'alcool, il se dégage de ton texte une originalité, un bon mélange d'odeurs, de parfums qui nous enivre imodérément.
|
clementine
20/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
La parabole est belle, les images volent et les odeurs s'exhalent.
Tous ces écrits, ces non dits, ces silences ne trouvant leur écho que dans l'encre du stylo. Ces feuilles bleuies, enfouies au fond d'un tiroir, au fond de notre mémoire. Sentiments oubliés, niés, dénigrés. Ta prose et évidente et je l'ai apprécié. |
Anonyme
30/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Le titre m'a séduit, et tout l'écrit plus encore. C'est très judicieusement avec beaucoup de subtilité, un texte a savouré sans modération.
Je vous ai lu et relu, c'est un vraiment un texte bien délicatement posé où chaque mot est à sa place. Ce qui rend ce texte étonnant, c'est la manière de voir s'emboiter les mots les uns avec les autres, avec une dextérité sans pareil. Je m'attache à ces mots-ci : " Elle écrit de ce qui ne parle pas, elle parle de ce qui ne s’écrit pas, juste pour emplir ses bouteilles de mots, les placer dans la pénombre d’une cave, et parfois, parfois, les jeter dans l’oubli sans raison, elle replie alors l'évaporation de cette saveur contre les jambes de ses maux. " Et puis ces mots-là : " Elle parcourt les vignes de ces cécités à venir, grave, elle met le grain de ces pages dans le pressoir de sa plume, coule le breuvage coloré de ses boucles d'écrits pour lui, pourtant si proche, si loin, elle recouvre l'écru sans âge de cette écriture fragmentée, et le dépôt de son cœur se forme sur ses feuilles de vie… " Je crois que je vais finir par citer tout ce texte, tellement il m'a subjugué. C'est une petite merveille. |
Asrya
13/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un excellent texte bien savoureux.
On sentirait presque les arômes du vin et le développement de la vigne à travers vos lignes. Le lien entre la nature et l'écriture ; un beau parallèle entre saveurs d'une boisson et celles d'un écrit. J'ai beaucoup aimé la délicatesse de vos mots, justes, qui sonnent une mélodie bien agréable. Le passage " le fruit de sa raison ne pousse que dans les tableaux d’alphabets, A, elle compose, B, s’impose, C, la décompose, si loin, si près." est rudement bien lové dans cette prose. Je me suis délecté du breuvage de votre poésie, Merci, Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |