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David
1/5/2008
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Bonjour AnGer,
Si l'écriture venait au moment du bonheur, il serait sans doute moins bien vécu, elle fait le sale boulot, noircir les pages blanches, ou dessiner dessus, j'ai bien aimé. |
clementine
1/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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AnGer, tu dois commencer à le savoir je suis devenu inconditionnelle de tes écrits/délires profonds des sens au coeur de ton essence.
Au plus profond de tes sentiments. Comme je le suis des écrits de Notrac. Lorsque je te lis c'est un peu comme si je pénétrais sans visa dans un monde où les mots les plus simples transcendent nos émotions. J'ai le coeur qui éclate et envahit tout l'espace de ma cage thoracique. Oui vraiment j'adore et j'adhère! Merci AnGer. |
Mimi-Crazy
1/5/2008
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C'est super beau, fou je ne sais pas vraiment !
Bravo !! |
irisyne
3/5/2008
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Je suis toujours "fan" des écrits d'AnGer
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Anonyme
4/5/2008
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Confessions d'un soir sur l'illusoire d'une vie ?!
Laissons nous porter par l'émotion brutale et douce. |
strega
10/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quelle crétine je fais de n'avoir pas lu AnGer plus tôt...
C'est ahurissant ! Pour parler technique, pour moi c'est parfait. Style haché menu, beaucoup d'adjectifs alignés les uns derrière les autres sans jamais perdre le fil conducteur. L'ensemble est cohérent, le tout est impressionnant. Quant au fond... Il parle de lui-même, les images sont puissantes et pourtant chacun peut y voir ce qu'il veut. Dans le sens où on peut adapter facilement vos mots à notre vie. (c'est pas plus clair c'est ça..., :) Bref, j'adore quoi ! Aller, une phrase préférée pour la route : "Engourdie, droguée d’avoir trop abusé de ces doses, je contemple ma peau mise à nue. Griffée par ses rides, les injures du temps ont fait craqueler les contours de mon cœur, sutures qui s’effilochent par l’usure des années." |
Anonyme
30/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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" À un amour de papier qui s’est consumé d’avoir trop peu aimé être aimé. "
Je devrais relever tous les mots, toutes les phrases de ce texte qui m'est si parlant. Là, encore la souffrance est présente, mais elle est posée avec pudeur, ce qui rend cet écrit bouleversant. " Je dérape, glisse." Qui n'a pas instant eu cette "désagréable" impression, comme si le sol se dérobait sous nos pas. Je continuerai par cette phrase si " Je m'affaisse contres les mois sans toitures et je m'affiche sur les murs des heures. Encore une fois, je voudrais relevé chacun de mots, de vos phrases, de vos formulations, de vos expressions, tout me subjugue, vous êtes encore une fois dans la justesse, votre émotion est palpable, et transmissible. Vous m'emportez dans votre tourmente. Votre texte est si vivant. Je vais longtemps me souvenir de deux phrases-ci : " Je perds la nuance des voyelles. Me cogne contre le socle lourd des consonnes, et je m’assoupis sur le coussin de la vie qui me berce de ses bras. " " Entortillée dans le berceau des mes décennies passées, je sens le drap lourd des années à venir se poser sur mon cœur solitaire." Comme je comprends tout à fait la puissance à nouveau énoncé de ce : "Je dérape, je glisse" ... |