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strega
16/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Waouh ! (c'est constructif hein comme commentaire)
Bon, que dire, que c'est beau déjà ! J'ai aimé la douceur tout au long du texte, même lorsque les passages étaient ensanglantés, ça restait doux, suave presque, charnel incroyablement. J'ai aimé tout les termes liés directement à l'écriture, l'orthographe ou la conjugaison, cette sorte de mise en abîme de l'écriture me plait beaucoup. Et si je ne me trompe pas, il y a d'autres texte de l'auteur qui présente déjà cette caractéristique. Montée en puissance tout au long du poème, j'ai aimé, bravo, et merci. |
Anonyme
16/5/2008
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Voilà une cicatrice et un mal d'aimer qui se transcendent dans un élan artistique aussi éloquent que doux à l'oeil et à l'oreille ... on a envie de partir sur la pointe des pieds, en laissant les émotions se mettre en place, lentement, à leur rythme, sans rien bousculer.
C'est un cri sourd, mais mélodieux, là où la douleur parvient à se donner à l'autre, avec retenue, comme un présent, comme tout ce qui reste à offrir en attendant que les chairs de la plaie se rejoignent. |
clementine
16/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Chaque fois que je te lis j'éprouve la même émotion, le même sentiment, tu transcendes tes propres mots, c'est tout simplement magnifique et incroyablement charnel ce que tu écris là.
L'amour blessé, hagard suinte, dégouline, s'imprègne dans nos prunelles à travers ce texte. "Tandis que tu traces mon cœur, je dessine ton corps. Alors que tu drapes nos jours, je déshabille nos nuits" "Si tu m’assènes tes mots d’amour, je vais m’enrouler dans ma robe de douleur, " Juste citer ces 2 extraits pour le plaisir mais la beauté est partout.. Merci AnGer. |
David
16/5/2008
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Bonjour AnGer,
J'ai bien aimé, ça m'a rappelé le célèbre vers de Rudyard Kipling dans "tu seras un homme, mon fils": "Si tu peux être amant sans être fou d'amour," Rien que ça, est-ce que tes proses poetiques iront un jour se risquer dans une plus longue écriture ? |
Anonyme
5/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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C'est vrai, je ne suis pas le premier à le dire, mais au sien de cette prose poétique, nous y sommes !
Il ya du bon, sauf, qu'il manque un certain vocabulaire, et c'est là bien dommage, car tu y tirerais une force supplémentaire. Dans l'ensemble, le poème est satisfaisant. |
Anonyme
3/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je dirai mais quel cri dans ce"Ne m'aime pas", et que dire encore de ce paragraphe-ci :
" Ne me demande pas de t’aimer, ne me demande pas de te parler, laisse-moi mettre le repos dans ma poitrine qui se soulève à grands pas devant la violence de tes murmures douloureux d’homme amoureux. Si tu m’assènes tes mots d’amour, je vais m’enrouler dans ma robe de douleur, et étouffer mon cœur sous les cendres de celui qui m’a fait mourir d’aimer… " Je sens palpiter sous votre phrasé tellement criant de votre vérité qu'il en vient à rejoindre par ricochet parfois le mien, que c'est troublant. L'être humain est bien compliqué, il veut être aimer sans être aimer, l'amour d'hier, n'est pas l'amour d'aujourd'hui, seulement sur le moment, il y a "confusion", le temps nous apprend à faire la différence, car il instaure en nous la confiance en soi et vient alors la confiance en l'autre. Superbe écrit, que j'ai pris plaisir à lire et à relire très attentivement. |