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cherbiacuespe
19/5/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Aïe. La disposition du poème est majoritairement ABBA. Pourquoi rompre au troisième avec ABAB ? Même si il est exactement au centre du poème ?
Le ton est au diapason du fond, ainsi que la forme. Pouvait-il en être autrement avec le légendaire Orphée. J'ai mis un peu de temps à me fondre dans le texte, mais une fois qu'on y est c'est limpide, ça sonne bien à l'oreille, les mots glissent bien. C'est une belle composition, très réussie ( un peu trop triste pour mes goûts en poésie). Cherbi Acuéspè En EL |
Gabrielle
6/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un chant d'amour, "Chagrin d'Orphée", provisoire, attaché à une
une source d'espoir et d'espérance (quintal dont la chute). Merci à l'auteur(e) pour cette très belle poésie. Gabrielle |
papipoete
19/5/2021
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bonjour ANIMAL
Dieu sait si j'aime que l'on manie la langue de Molière, façon palais de Versailles où se presse un auditoire ravi ; mais ce " chagrin d'Orphée " me semble trop décalé avec notre temps, pour évoquer un terrible tourment, la mort d'un amant. Ainsi, ne noterai-je pas car il peut se trouver des oreilles attentives, que cette supplique pût provoquer un grand émoi ? Techniquement, vos vers s'emballent dès le 3e... adieu " classique " ( un hiatus au second vers ( calciné/aux ) |
Damy
19/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai été très sensible à ce « Chagrin d’Orphée » et au tragique que ce poème développe jusqu’au dernier quatrain où l’utopie est gage d’espérance.
Le nombre de rimes en « ure » aurait pu être une difficulté mais ici chaque mot les utilisant est à sa place. Petite prouesse. J’ai particulièrement aimé « la talure », je suis un peu plus réservé sur « aux ombres des ramures ». Le passage des rimes embrassées aux rimes alternées du 3° quatrain me paraît un peu dommage, par contre, trouver ces rimes en « ure » comme intérieures au dernier quatrain m’a paru judicieux. Elles n’embrassent plus mais sont enfin embrassées. Un bel épilogue. Merci, ANIMAL. |
Donaldo75
19/5/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour ANIMAL,
J’ai bien aimé ce poème qui avec des allures de classique reste dans les cordes du contemporain tout en déployant une tonalité d’antan. Il me fait penser à ces tableaux du début du vingtième quand le classicisme figuratif empruntait les paysages à une nature romantique ou triste ou les deux ; je ne me souviens pas du nom de ces peintres mais leurs toiles ont hanté mes manuels de classe. Et ce poème me donne cette même impression. La rime ne claque pas ; elle est comme la pluie d’automne, lancinante et persistante à la fois, musicale et discrète également. La métrique suit le schéma classique dans le mode « comme si que c’était du classique » même si en regardant de plus près ce n’est pas forcément le cas mais ce n’est pas grave on peut bien confondre un genre avec un autre tant que la poésie est là. |
Anonyme
19/5/2021
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Commentaire auto modéré
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Cyrill
21/5/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Animal
Je salue la belle écriture et le vocabulaire riche, les métaphores, mais le palpitant reste étrangement à distance. Peut-être un peu trop d'emphase, un classicisme un peu suranné, m'empêchent-il d'être en empathie totale. Merci pour le partage, cyrill |