Je sais que je ne suis pas très fût-fût , mais je n’ai pas compris de quel personnage il s’agit. Un gardien de nuit peut-être ? Mais alors quid de "On le dit éternel - Par grâce intemporelle" ?
Un père de famille alors ? Dans ce cas que faire avec "On le sent assagi - Par les années de nuit" ?
J’aurais sans doute eu plus de plaisir à lire ce texte sans prétention si j’avais été plus maligne...
Du point de vue de la poésie, je ne trouve pas d'images spécialement belles ou scotchantes.
Dans "Visage imberbe
Sourire en herbe,
Sourcils arqués
Et jetant, amusé,
Un regard aux nuées"
je trouve que le "visage imberbe" est un détail qui gâche une jolie esquisse.

Bonsoir ANIMAL ! Je donne ma langue au chat ! Je n'ai pas trouvé de qui il s'agissait mais n'est-ce pas le thème du concours ?
Pour ce qui concerne la forme, je trouve ces vers un peu simplistes mais peut-être est-ce voulu par rapport au "personnage" ?
Dans le doute je m'abstiendrai d'y mettre une appréciation qui serait peut-être injuste, dans un sens comme dans l'autre...

Bonjour ANIMAL
Alors là je sèche, je ne sais pas qui c'est. Je penche pour la figure paternelle pour moitié du poème, après je ne sais pas du tout.
Peut-être ce personnage est-il décrit par la même personne mais à des âges différents ?
Je trouve les mots jolis, choisis mais le tout, bien que très doux est un peu plat.
Bonne continuation à l'auteur.
EDIT : sous éclairage du forum (merci ANIMAL) la description dans les 8 premiers vers est pertinente et change l'ensemble.

Ah! C'est que vous m'avez fait cogiter. En fait de prix je vous donne déjà le premier prix de la cogitation obligée.
Bonjour! ANIMAL!
Moi-aussi, comme coquillette, j'ai pensé, en fait elle m'a bien aidé en me confortant dans cette idée, au père, à votre père à vous...
et à mi-chemin: "On le dit éternel"!
Le Père Eternel? Dieu! Mais non! Celui-ci est "imberbe", et Dieu, de notoriété publique est barbu.
Le père Noël aussi!
Aux yeux de qui un père peut-il paraître éternel? et "géant" et "habile" et confident et gentillement moqueur et patient et travailleur et toujours présent et... tout et tout...
Mais de ses enfants pardi!
Ce père c'est votre tendre et cher, car vous l'aimez et l'adorez tout autant que vos enfants, peut-être aussi un peu autrement, mais ça c'est une autre histoire... Excusez-moi, ANIMAL...
Le titre devient lumineux:
"Pour nous, tout simplement"
Je ne note pas, non! car vous avez triché. Vous avez présenté deux personnages au lieu d'un! Voilà! Vous êtes punie!
Je vous félicite cependant pour avoir résolu aux deux tiers le mystère de la Sainte Trinité, ce que moult conciles n'ont pas réussi à trancher! Attention! je n'ai pas dit que votre mari était les deux tiers d'une trinité!
Fait chaud!...

Edit.: Bon! Je me suis trompé et je cafte pour les suivant(e)s. L'indice a été trouvé par coquillette: il s'agit d'une même personne à des âges différents de la vie. Héh! Héh! Moi, j'ai assez travaillé pour aujourd'hui... Je m'étais pris pour Sherlock Holmes mais je ne suis que... Herlock Sholmes!

euh, je sais pas trop comment commenter.
C'est un peu léger, les rimes en é/er... ent/ant... bon, déjà vu... rien de bien original... en plus limite pour la description.

Beaucoup de choses m'interpellent, mais je ne les comprends pas ou c'est hors de ma portée poétique.

Désolée, mais ça n'a pas du tout marché sur moi.

Bonjour, Animal ! Je viens de lire attentivement ce portrait... Il n'était qu'un enfant, ôtait les peurs... Il avait le visage imberbe, jetait un regard aux nuées... Et nous savons qu'il est présent, pour nous tout simplement...

Alors, je pense à l'ange gardien... Oui, nous savons qu'il est présent, mais pas toujours... Il doit, parfois, prendre des vacances...

Ton ange me souffle de noter "Bien+"

Bonjour, Animal,
très beau portrait de quelqu'un qui est là tout simplement et que l'on sait sur qui pouvoir compter. C'est bien le rôle de Père, comme dit Brabant. Un rôle ingrat, parfois, je ne le sais que trop bien, mais ô combien utile pour accompagner les enfants au long de leur parcours le mieux possible. Il me touche beaucoup votre texte, j'en apprécie la clarté, la vérité toute simple, même si ce n'est pas toujours drôle à savoir. Bravo et bonne continuation!

Bonjour Animal,

Un personnage idylique, c'est un ange gardien peut-être. Le narrateur utilise le "on", le "nous" à la fin, je préfère le second plus intime alors que le "on" conviendrait mieux à une foule, des personnes indéterminés et sans liens particuliers entre elles. C'est aussi un ton et pour ça c'est plutôt bien, assez léger, mais le côté idéal du personnage aurait pu se manifester dans le poème par un langage plus exigeant.

Concernant l’aspect purement poétique, je n’ai rien ressenti de vibrant, d’original ou d’émouvant à la lecture de ce poème. J’en suis désolé.

La simplicité ne me dérange pas dans l’écriture à partir du moment où elle s’exprime de manière percutante ou originale mais j’ai trouvé qu’il manquait ici un peu de souffle pour évoquer la figure paternelle sur laquelle il y a tant à raconter.

hmmm, je reste très.. sceptique, je n'ai pas du tout accroché.
Les rhymes simplistes, la description enfantine.. encore si s'avait été une écriture enfantine, mais là..
non, je passe à côté
Pour le personnage j'opte pour l'ange gardien

Bonjour Animal,
Hummm... un dieu dépeint comme un "monsieur tous le monde"... Pas sûre d'être conquise, navrée. Par à cause du fond : pourquoi pas, la personnification est une bonne idée. Mais ici, ce que tu dis de ce personnage reste dans le registre du classique et attendu à mon sens. Pas de surprise, pas de "ah! Tiens, j'avais pas vu ça comme ça!".
La répétition du "on" me semble alourdir les ailes de ton poème et accentue le côté classique et un peu scolaire.

Mes vers préférés, ceux qui ont le plus de caractère (à mon humble avis) :
"Un peu plus ciselé,
Peut-être, échevelé,"

Au plaisir !
Je ne note pas cause concours

Il aurait manqué peut-être un peu de corps à ce poème somme toute charmant et doux. J'ai aimé ce secret qui ne se dévoile pas.

Parfois la simplicité peut dégager une forte émotion. Ici le texte est simple, va à l'essentiel, mais ne m'emporte pas. J'ai essayé de deviner, j'ai pensé à Dieu le père, mais imberbe, ça ne le fait pas, une sorte "d'ange gardien", un saint ? je donne ma langue au chat... le "on" impersonnel me fait me poser la question... il est là pour tout le monde ?

Meuh non, z'avez rien compris, c'est Mickaël Jackson ! Peut-être Jésus...
Blague à part, le poème ne m'a pas du tout parlé. J'ai trouvé ça enfantin, autant dans la thématique que dans la forme.
les mini strophes oppositions sont pour la plupart bancales.
Opposer habile et utile, ascète et honnête, pas très convaincu.

Bref, pas pour moi.

Selenim

Un portrait dont certains passages ne manquent pas de charme (comme celui qui commence par "visage imberbe"), mais que je trouve globalement assez plat (notamment l'avant-dernier distique).
Je n'ai pas été conquise ...

Je sais bien que le nom du personnage ne devait pas apparaître dans le texte, mais encore eut fallu qu'il soit identifiable. Là, ce n'est pas le cas...du moins pour moi.
De plus, je trouve que ça manque un peu de poésie. Désolé.

J'ai eu envie de le relire à peine fini, alors que je ne le découvre pas. Il a une résonance, ce texte, un mystère... je pense au Merlin de Barjavel, mais si mon souvenir est bon ce n'est pas cela.

Un de ces textes périlleux: à lire vite, il a l'air simple, presque trop, presque naïf. Mais on peut le relire avec un plaisir égal, plusieurs semaines après.

Les "on" ne sont pas très plaisant à lire, ils donnent au texte, un côté très plat, trop neutre.

Je vois bien la description d'un personnage en effet, mais vous n'avez pas su à aucun moment, le rendre attachant, votre texte est trop détaché, il n'apporte aucune émotion. Peu importe d'ailleurs qui il est, ce n'est pas l'intérêt.

bonjour ANIMAL
Nul autre que moi, le voyait le sentait, put le peindre dans son habit de lumière !
Il me suit depuis tout enfant, jamais de moi il ne s'écarta, et le temps sur lui aussi a creusé les sillons de l'age !
NB il put être le père ; il put être Dieu ; il put être l'ange gardien... mais aussi un frère qui veilla, un ami au lien plus fort que l'acier...
Tout son cheminement à travers une vie, apparait dans ces lignes touchantes, où le mystère peu à peu se dévoile... sans rien trahir !
De jolis vers, assurément !