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Anonyme
30/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
C'est frais, simple, limpide, l'ambiance générale m'a fait penser au mythe grecque de la naïade Salmacis observée par Hermaphrodite comme le raconte Ovide. Je regrette juste "Des houleuses cités encombrées de voitures" un peu maladroit qui vient mettre du gris sur mon carré herbe tendre baignée du soleil printanier. Félicitations Anna en EL |
Miguel
3/4/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Le poème est si beau que la photographie m'a un peu déçu : elle est fort belle en soi, mais le poème me donne infiniment plus à voir : un tableau "plus vrai que nature". L'art y est aussi, bien sûr, mais il y est tellement qu'un ne le voit plus: Et je préfère de beaucoup l'image que le poème imprime en moi, ou plutôt les images, car c'est tout un univers que ces vers fluides et mélodieux déroulent devant mon imagination. Ce charme bucolique, avec ses enchantements, débouche évidemment sur le souhait de la strophe finale, dont nos écologistes, au lieu leurs slogans politisée et stéréotypés, devraient s'inspirer.
Miguel, en EL |
papipoete
4/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
Sous les yeux du poète, l'étang semble lui dire " vois-tu comment je vis, en quelle compagnie ? " Et de sa plume, l'auteur nous montre avec finesse, la richesse du tableau ; pour ce que voient les yeux, des chevreaux bondissant, un rossignol s'appliquant dans ses trilles ; mais l'âme voit une ondine que les flots révèlent et dévoilent ses ondoyants attraits... NB un texte à l'esprit vraiment poétique, quand le regard montre ce qu'il pourrait toucher, et l'esprit ce qu'il voit en rêve. Les passages concernant l'ondine ont ma préférence, hormis cette ligne " les cheveux voletant sous le vent " alors que dans le flot cristallin, elle nage... je l'aurais " fait sortir de l'eau " auparavant ! mais il faut lire entre les lignes et anticiper... à part le hiatus au 15e vers ( pastoureau/en ), je vois de parfaits alexandrins ! je n'ose pas dire que le récit parait narratif, mais d'autres le diront sûrement... papipoète |
Lebarde
4/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli poème classique ( ou néo?) sur un thème bucolique, lui aussi classique qui en reprend les images, le ton, mais aussi.... tous les clichés et le vocabulaire:
"Le jour, avec douceur, disperse ses lumières" " les vertes clairières." "le soleil éclaire, Se ride sous la brise, étrange et solitaire" "éclats argentés" "gracile bergère Pour quelque pastoureau en quête de chimère" etc.... En effet tout a été dit sur le sujet et il est bien difficile d'innover; pourtant vous avez su le faire d'une écriture délicate, joliment poétique, douce et élégante qui peut séduire et je le suis. Rien d'original, mais tout est beau, agréable et bien plaisant à lire. Bravo et merci |
Cristale
12/4/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Smiley qui regarde à droite, à gauche, une main au dessus des yeux et scrutant l'horizon se demande où sont passés lecteurs et commentateurs parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils ratent...sûr qu'ils vont surgir tous tout-à-coup en criant "poisson d'avril!" une plume à la main ^^
Annick est peintre et poète et musicienne. Elle allie naturalisme, figuratif, fantastique, onirisme, le tout sur un tableau charmant où la pièce maîtresse est la poésie sur une partition en douze temps. "Dans le flot cristallin, nage une blonde ondine Aux longs cheveux épars voletant sous le vent Qui porte au loin, très loin, les accents de son chant. Écoutez au couchant sa plainte sibylline !" "blonde ondine aux longs..." ça en jette ! Bref, j'adore le mariage osé assonance "on on" allitération "d d", même la rime interne "chant-couchant" est musicale Merci Annick pour ce moment de douce fraîcheur buccolique et cette "Ondine" qui me plaît décidemment beaucoup. Cristale |
Corto
12/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je vois ici un poème attrape-tout qui a du mal à choisir sa focale pour montrer un tableau cohérent voire séduisant.
Dès la première strophe on passe des "oiseaux migrateurs" aux "chevreaux sautillants" comme s'il fallait faire vite sans prendre le temps de partager l'émotion, l'observation, la complicité. La seconde strophe respire un peu mieux et il y a tant à dire sur un "étang poissonneux". Puis la "blonde ondine" indispensable dans cette construction va de "chant" à "plainte sibylline" avant que l'illusion ne la fasse "gracile bergère". Le "rossignol" fait résonner "la forêt qui s'émeut et frissonne". Comme chacun sait les forêts sont pleines de "génies" qui ici veillent à maintenir au loin les "houleuses cités encombrées de voitures". Que l'auteur me pardonne mais il me manque ici une colonne vertébrale à une situation plus construite, plus émotionnelle, plus sélective dans les images et les personnages. Bref une démarche qui se disperse moins pour trouver plus de force. Une autre fois ? |
Annick
13/4/2022
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Anonyme
15/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Annick,
La photo est jolie, elle respire le calme apaisant que l'on trouve généralement en ces lieux... Mais c'est un vrai tableau de Maître que mériterait ton beau poème. Dans la peau du peintre je me vois suivre tes instructions et comme ''Le jour, avec douceur, disperse(r) ses lumières'' délicates. L'ambiance bucolique est empreinte d'une tendre douceur. Celle là même distillée par ton regard attentif à ta plume alerte pour en saisir toutes les nuances. J'aime beaucoup cette balade au bord de ton ''étang''. Les yeux fermés, c'est une belle toile naturiste qui a fait vibrer mon imagination... Merci pour le partage. Cat |
Vert-de-Gris
15/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour !
Joli poème ! Assez sottement, je me suis dit "oh oui une poésie qui nous décrit en termes lyriques une flaque d'eau ! :P" mais l'injection de la naïade m'a bien plu et m'a transporté dans un petit bout de monde onirique ;) Au reste, les vers sont beaux. Ils sont simples et efficaces je trouve, avec de ci de là quelques mots plus rares qui viennent rehausser la strophe avec élégance ! Voilà, je n'ai rien à dire d'intelligent je l'admets, simplement que j'ai aimé ! Merci à toi ! |