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Gabrielle
15/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un texte qui fait appel aux consciences...
Une chute dont le terme "ferveur" met l'accent sur les atrocités de la guerre. L'auteur a su réveiller les consciences en opposant sans cesse les atrocités liées à l'état de guerre à la joie suscitée par l'arrêt des hostilités. Merci à vous pour ce partage qui entretient le souvenir. |
Anonyme
25/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un rappel du lieu où fut signé L'Armistice, dans le wagon du maréchal Foch.
J'ai trouvé ce texte assez descriptif. Il y a des images intéressantes comme " Guerre suspendue... à la parole donnée." " L'air froid de novembre mord le bois des sapins." Mais des maladresses aussi " un wagon est posé Sur ses rails " ça me paraît évident. "À l'intérieur du wagon, des soldats... " militaires serait plus adapté. " Les signatures sont couchées sur le papier " !! " On cesse le feu avant le traité de paix." C'est plutôt l'inverse. L'Armistice fut signé très tôt le matin alors que le cessez-le-feu est intervenu à Onze heures. "À quelques encablures..." je trouve le terme peu approprié à des batailles terrestres. En conclusion, je reste mitigé sur cette poésie. |
papipoete
25/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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alors qu'en forêt de Rethondes, bien au chaud dans un wagon posé là, où nul train ne passe, les " autorités " françaises reçoivent la capitulation des allemands en ce novembre 2018 ... au front, au fond de leurs trous puants, les poilus continuent à faire la guerre contre l'ennemi qui ne sait pas tout comme eux, qu'elle est finie ! Et tomberont encore des " bleus ", encore des " vert de gris " ...
NB je trouve que l'auteur, s'il relate bien le moment " ferroviaire ", évoque la guerre en empiétant sur la suivante, quand il évoque le " monstre ", la " bête " ... Si 14/18 fut une boucherie, la " bête immonde " ne sévissait pas encore ... ça n'allait pas tarder ! Le 8e vers avec sa rime pour monstre " si vil ", me semble vraiment " téléphonée ! Votre texte peine à me transporter dans cet épisode ! |
pieralun
25/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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Pardonnez moi, mais ce texte m’apparaît plus comme une prose anecdotique qu’un poème, hormis peut être le premier quatrain.
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plumette
26/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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"On cesse le feu avant le traité de paix"
qui précède juste " à quelques encablures, la bataille fait rage " crée un contre- sens pour le lecteur et c'est dommage. Je pense que ce "on cesse le feu" fait référence à la signature de ce qu'on appelle un cessez-le-feu, préalable à un acte plus complet et ne doit donc pas être pris au pied de la lettre. Globalement ce poème m'a semblé manquer d'élan, un peu trop factuel, avec ça et là des images plus poétiques mais noyées dans l'ensemble. je note ce qui m'a plu: " l'air froid de Novembre mord le bois des sapins" "Un obus éclate, l'arrête dans son élan, La terre, minée par le feu, gicle le sang !" Plumette |
Bidis
7/12/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Les faits sont trop connus, rien d'original dans ce poème. J'ai beaucoup aimé "L'air froid de novembre mord le bois des sapins". Par contre je trouve maladroits des vers comme "Les signatures sont couchées sur le papier" ou "Seuls les morts taisent leur colère tristement", d'autres encore, qui me semblent un peu plats.
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