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| Miguel
28/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème très émouvant et dont on sent qu'il vient d'un coeur sincère. Les vers sont très mélodieux, très doux, très tendres ; une vraie musique, un morceau en sol mineur. Un hommage qui sans aucun doute aurait fait plaisir à sa destinataire. Heureux celui dont l'absence suscite de tels regrets.
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| Mintaka
3/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La prosodie est belle, cet hommage poétique est empreint d'une réelle tendresse sans jamais tomber dans de mièvres formulations.
Seul le deuxiéme vers du quatriéme quatrain heurte quelque peu. Par ailleurs l'anaphore "Il restera toujours" que vous avez placée en tête de strophe 1 et 3 et en second vers dans la 2, sans que j'en comprenne la raison. L'ensemble est toutefois excellent à mes yeux. |
| papipoete
4/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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néo-classique
Vouloir oublier mauvaise personne, n'est pas chose facile ( les cauchemars s'en chargent ) mais dans un songe inespéré, retrouver cet ami parti, laissant un si grand vide pour qui le connut, pour qui une oreille attentive il tendit. Dans ce rêve, entendre sa douce voix, parler aux bêtes, se confier aux arbres, et m'entendre dire " es-tu là mon amie ? partons ! " NB des textes comme celui-ci, ne vieillissent pas pour moi qui ai connu telle bonne âme ; pas sûr que demain, l'on se rappelle de ce selfie, de cette victoire à la console ? Mais de cela, je me console en lisant de si charmants vers ! " êtes vous là chère auteure ? venez avec moi promener et sentir vivre la nature ! " Chaque strophe un peu de douceur nous offre, mais la dernière avec cette délicate invitation me plaît plus particulièrement ! néo-classique sans faute ! papipoète |
| Anje
15/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime respirer la mélancolie légère de ce poème. Je me sens comme pris dans la brume qui vient de chasser un soleil. La chaleur de son sourire restera même dans l'ombre du regret ; dans la mémoire du ruisseau, restera ce qu'elle composais. Mais partons, il va bientôt pleuvoir.
Un néo tellement proche d'un classique qu'il rappelle qu'une rime orthographiquement défectueuse, ni un "e" non élidé n'empêchent pas les jolies images et un très émouvant hommage. Merci beaucoup. |
| Anonyme
15/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Annick,
Que c'est beau ! Beaucoup de tristesse, de regrets mais avec retenue . Je suppose que la rime toi/courtois est la cause du classement en néo. Bof, ce n'est pas grave tant l'ensemble est empreint de douceur et de tendresse, malgré la tristesse du propos. L'ultime quatrain et surtout le dernier vers ont ma préérence. L'ensemble est de très bonne facture et le fond du poème émouvant . |
| Lebarde
15/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beaucoup de pudeur, de dignité, d'élégance, de "tendresse nostalgique", de poésie dans ce magnifique poème.
Une écriture délicate et fluide, des vers superbes de douceur, un ensemble touchant: "Dans mes songes heureux, j'aime t'apercevoir ; Sous un saule pleureur, je te vois endormie, Tu t'éveilles, me dis : « Es-tu là, mon amie ? Je t'attendais, partons ! Il va bientôt pleuvoir !" Belle dernière strophe, un beau dernier vers. Bravo Annick et merci. Lebarde sous le charme. |
| inconnu1
15/3/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour,
Il me semblait avoir commenté ce poème en EL mais il est possible que je n'ai pas pas pu aller jusqu'au bout. J'aime passionnément ce poème. Comme le dit bien Anje, l'émotion est préférable à la technique et ici on est porté par cette mélancolie. Tout est dit mais avec une pudeur qui enchante. L'utilisation des rimes embrassée renforce ce côté lancinant J'aime particulièrement la dernière strophe où finalement, ce qui manque le plus chez un être cher, c'est sa présence, et les petites choses de la vie qu'on partageait Bien à vous |
| Cristale
15/3/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Annick,
Quel bel hommage en ces mots d'une tendresse infinie. La poésie embrasse chaque vers et laisse dans dans l'éther des images fluides aux couleurs chatoyantes. Sérénité pérenne teintée de cette nostalgie qui n'a pas la dureté du deuil mais au contraire la douceur du souvenir. Merci Annick pour ce moment de grâce. Cristale |
| Lulu
15/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Annick,
Je ne pensais pas être touchée à la lecture des premiers vers, les ayant trouvés sans doute trop prosaïques, mais le charme opère et j'ai ressenti une vraie authenticité dans ce poème qui, sans prétention, dit les choses avec un naturel qui ne peut qu'émouvoir. En tout cas, cela a marché, en ce qui me concerne, notamment à partir du troisième quatrain. On ne devine pas nécessairement les traits du personnage, ni sur le plan physique, ni même moral, mais il y a bien ces mots qui disent en creux une présence qui a compté et qui compte encore dans cet hommage dont je dois dire que j'aurais bien aimé être la destinataire... (Sourire) Le titre est superbe, toujours aussi simple, mais cette simplicité dit tout, finalement. Merci de ce partage et au plaisir de vous relire. |
| Myo
16/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tant qu'il reste un peu de nous dans le cœur d'un autre, la vie n'a pas dit son dernier mot.
Un très bel hommage à cette amie qui comptait tant. Une écriture délicate et sans prise de risque. Une simplicité qui sert le propos et le rend encore plus touchant, comme cette " petite âme aimante" Un joli moment merci. Myo |
| GiL
16/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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De beaux vers classiques (ou presque), doux, sereins et touchants qui évoquent la disparue par l’empreinte que son âme a laissé sur les lieux et les êtres, dans l’espace et le temps.
J’ai beaucoup aimé la nostalgie pudique du dernier quatrain. J’ai trouvé l’anaphore bien venue ; ma lecture a été (légèrement) troublée pas les allitérations de « ta petite âme aimante », mais c’est véniel… Merci, Annick, de nous avoir fait partager ce sensible hommage. |
| Myndie
17/3/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Annick,
Quel beau poème, délicate évocation de cette amie disparue (qui fut peut-être elle-même poète ?) et si chère à ton cœur ! En même temps qu’il éveille en nous le sentiment de cette douleur universelle liée à l’absence et au manque, il expose avec pudeur ce qui, avec son souvenir, avive ta tristesse : l’amitié, l’affection que tu lui portais et cette reconnaissance en forme de gratitude pour la belle personne qu’elle était. Nulle emphase, nul lyrisme ne viennent ici alourdir la grâce des vers, leur douceur et leur fluidité. Une écriture sensible, mélancolique et si sincère que l’émotion nous touche. Une poésie toute en dentelle et en musicalité sur laquelle flotte une jolie mélancolie et que l’ai lue et relue avec beaucoup de plaisir. myndie |
| Pepito
17/3/2022
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Coucou Annick,
Ce que tu me fais faire, quand même, venir du coté obscur. Je vais finir par me perdre, ici. ^^ Un très bel hommage à l'amie disparue, toujours tendre, toujours légère, sans ce pathos que l'on voit trop souvent alourdir les peines. Envolée comme une âme en partance, laissant là un souvenir chéri. |
| Ascar
17/3/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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J’ai adoré cet hommage : triste sans être sombre, Profond par le sujet traité et pourtant léger par les pensées joyeuses qu’il fait naître.
Douceur, respect et sincérité sont les mots qui me viennent après cette lecture. Bravo |
| Anonyme
18/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'émouvante sagesse qui court en filigrane derrière cette tendre résignation, me laisse interdite, tant je suis révoltée habituellement par ce drame de la vie qui nous ôte, un après l'autre, nos êtres chers.
En même temps, autant de douceur dans ta « plume soyeuse empruntée à l'oiseau » me réconcilie avec cette triste sagesse. À se réciter comme un baume apaisant s'étale sur une brûlure profonde. La dernière strophe boucle joliment l'ensemble, comme pour nous dire que la vie continue envers et contre tout : « … partons ! Il va bientôt pleuvoir ! » Merci, Annick, de partager cet hommage à l'amie. Venu d'un cœur empreint d'une indéniable sincérité, il me touche forcément. Cat |
| Queribus
3/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un poème tiré à la corde (comme quoi le "néo" peut aussi bien faire que le "classique", surtout si on lit à haute voix). Vos mots sont simples sur un thème très souvent traité: celui de l'absent. Votre écrit m'a fait un peu penser à nos grandes poétesses du XIX me siècle sans faire pour autant dans le rétro.. Je me permets toutefois une (toute) petite remarque: j'ai remarqué des rimes à l'hémistiche: Empreint d'une bonté Tant elle rayonnait Ceux que tu chérissais Et quelques fleurs semées Tu t'éveilles, me dis: Es-tu là, mon amie? Vous l'aurez compris, ce sont là que remarques de "pinailleur" qui l'enlèvent rien à la qualité et à la beauté de votre poème. Bien à vous. |
