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Anonyme
29/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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" Une déesse qui veille inlassablement " "Depuis cent vingt-huit ans " La date de construction (1889) ainsi que ce " Ce lieu lumière " qui serait une allusion à Paris m'a fait penser à la tour Eiffel.
" Sur un phare naissant d'une aurore magique " je ne détermine pas bien le sens de cette image << Penseurs et écrivains, sur ces terres bénies, Ont prêché sans arrêt, la culture et l’amour>> S'il s'agit bien de Paris, je pense qu'elle n'a pas le monopole de la naissance de << Connaissance et savoir >> En attendant la solution. |
Bidis
29/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien sûr, fute-fute comme je suis, j'ai attendu qu'un autre commentateur ait trouvé de quoi il retournait. Du coup, le poème, qu'à la première lecture j'avais trouvé fort obscur, m'a semblé beaucoup plus agréable à lire. Et je me suis demandé comment je n'avais pas reconnu le plus emblématique monument de Paris...
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Vilmon
29/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour, j'ai cru y voir la Statue de la Liberté, New York, mais elle a 3 ans de plus, inaugurée en 1886. Un poème bien ficelé, en grâce et élégance comme le monument qu'il présente.
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papipoete
29/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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bonsoir,
Le phare de Paris qui n'aurait pas dû survivre à l'exposition universelle de 1889, se dresse " solennel au fond du firmament " où l'âme de Gustave Eiffel tutoie les étoiles . NB les 7e et 8e vers vont bien à la Grande Dame de fer, qui malgré sa taille de naine face à la " Burj Khalifa ", attire les gens dans ce " havre de génies ", pour au moins 128 ans encore ! le 6e vers mesure 11 pieds le 9e vers mesure 10 pieds appel ne rime pas avec ciel ceci explique peut-être la forme " contemporaine " ? |
Anonyme
30/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai aimé le fond comme la forme.
J'ai pris le temps de vous lire et de vous relire. La description est là, plaisante, élégante, envoûtante, dès les premiers mots, qui ne serait pas fasciné par "Une déesse". J'ai aimé la teneur de votre propos, tout au long de ce poème, sa justesse, son côté paisible, et vous lancer une invitation aimable, qui ne demande qu'à être suivi d'effet : " De l’empyrée, elle lance un appel Généreux aux humains : « Venez tous, sous mon ciel. Ce lieu lumière, ô gens, est havre de génies. " Vous donnez l'envie de la découverte, je suis conquis. |
David
1/11/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je n'aime pas trop "en tout puissant antique" et "ce lieu lumière" que je vois comme des collages en contrepoint avec le ton du poème, et plus généralement, comme du vocabulaire pas du tout littéraire, même si un par un, ce sont des mots cohérents dans le contexte. Le titre également joue là-dessus et donc ne m'engagez pas tant du bon pied. Le jeu des rimes fait des facilités (rimes en ement, en ique, des suffixes courants, "amour" aussi a peuplé de nombreuses rimes) mais n'est pas lourd à mon goût, je crois que c'est parce que la syntaxe des vers ne les surjoue pas trop, en enjambant leur intonation comme dans "le divin monument/Se moque" ou "elle lance un appel/Généreux". |
embellie
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup le fond de ce poème. Pour la forme, les vers 6 et 9 claudiquent, c'est dommage.
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