|
|
Anonyme
15/7/2017
|
Je dois dire que je me suis carrément perdu dans les pérégrinations de ce " têtard " avec en plus, l'allusion au Petit Prince.
Je ne donnerai pas d'appréciation puisque je n'ai rien compris. |
aldenor
15/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Peu importe ce que tout ca veux dire, tout est dans la forme, dans la « tornade » du souffle.
Pourtant, certains passages me paraissent nuire à la fluidité du poème. « Faudrait-il que j’écrive, D’un placard deux têtards, le portrait ? » Pourquoi le souci de ponctuation, quand la phrase reste ouverte à toutes les interprétations ? Un « mage accomplit » ? « Accompli » peut-être. « Il ne m’interrompt puis son écharpe si serrée » : une suite de mots qui me parait décousue. « Car le vent passe comme dans un squelette dans ces larges habits de velours. » Je ne voudrais pas déformer votre intention, mais je comprendrais mieux « Car le vent passe comme un squelette dans ses larges habits de velours. » Pour le titre, « balade » est-il bien approprié ? |
Proseuse
18/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Anton,
Vôtre texte a sans doute un peu dérouté les lecteurs ( qui souvent cherchent au travers des mots un chemin « praticable » !) Bon ! Moi, je n' ai, bien sûr, pas pu lire le poème les yeux fermés, toutefois je l' ai laissé faire à sa guise dans mon esprit et ma foi, ça fonctionne bien , je trouve ! J' ai eu cette sensation que vous parliez à cette part de moi-même qui ne comprenait pas tout quand , toute petite, on lui lisait des contes de fées .. mais qui adorait cela ! Il y avait là, l' empreinte d' une émotion, d' un émerveillement qui à cet instant, me suffisait amplement ! Ne vous découragez donc surtout pas et continuez d' écrire … les yeux fermés ! Merci pour ce partage |
Pouet
21/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bjr,
J'ai relu plusieurs fois le texte. Non pour tenter d'en percer le mystère mais parce qu'il semblait me demander de le relire encore une fois. Car, oui, d'une certaine façon ce texte "me parle". On est en plein dans l'onirisme, à l'intérieur même du rêve avec ce têtard qui nous titille tonitruant le ciboulot. Il y a beaucoup d'inventivité, de lâcher-prise dans ce texte. Une liberté d'écriture fort appréciable. On y trouve de l'invention pure à l'instar de "Atire antivore pervenche plétori". Il y a aussi de beaux moments de poésie comme : "Et m’émeuvent à pleuvoir jusque dans l’lit du monde Où se couchent chaque soir le vieux et la féconde." Bon c'est un peu fouillis et un peu inégal dans l'ensemble tout de même. Mais franchement je l'aime bien ce texte. Je crois en plus avoir lu quelque part que l'auteur n'avait que 16 ans (20 ans de moins que moi, ça nous rajeunit pas...). Cela laisse entrevoir de bien belles choses pour la suite. Bonne continuation. |