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papipoete
18/6/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour antonio
<< Viens, je t'emmène ! >> nous allons explorer la soute de nos souvenirs ; ceux de l'époque où rien ne manquait à notre bonheur, où le moindre coquillage du fond de mer était une pépite ! Te-rappelles-tu ? Aujourd'hui, la nef de nous-deux prend l'eau, n'est pas loin de sombrer, et nos silences en disent plus long qu'une tempête sans fin ! NB ceci est mon interprétation de ce voyage que l'auteur nous narre, d'une façon quelque peu houleuse . |
Marite
18/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Séduite par cette plongée dès la première strophe, les trois premiers vers de la seconde ont terni la magie du voyage que j'ai cependant poursuivi, avec bonheur jusqu'à son terme :
" Nous serions doués comme des plongeurs exceptionnels pour naviguer selon un flair providentiel ..." J'aurais préféré une formulation plus poétique pour traduire l'aisance des plongeurs hors du commun et le flair providentiel ... |
Anonyme
18/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé l'idée ; cette " plongée " pour retrouver " l'épave " de ce qui fut beau, dans un temps, à présent, révolu.
Une façon originale d'analyser le déclin d'une vie à deux. « Tu te rappelles, en ce temps-là nous étions un peu trop heureux, un peu trop comblés, trop ensoleillés. » " dans le palais meurtri de silence et d’oubli nous avons touché d’un regard ébloui le long, le lointain voyage évanoui, le corps échoué d’un astre inassouvi. " sombre constatation mais indéniable, parfois ... |
Gabrielle
22/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce poème renvoie à ce qui fait les trésors d'une vie.
L'auteur utilise l'image du navire qui voyage et emporte le lecteur avec lui jusqu'au terme du voyage, symbolisé par le "silence" et "l'oubli" puis par "le corps échoué d'un astre inassouvi". Ainsi, l'auteur nous emporte sur les sentiers de la vie avec tout ce qui fait sa richesse. Merci à vous pour ce partage. Cordialement. G. Michel |