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StayinOliv
27/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'ai aimé votre poème car il suit une logique. Il aurait même pu figurer en contemporain je pense. Vous devriez retravailler la longueur des vers et il serait encore plus homogène. Nous pourrions partir sur des alexandrins par exemple : Sur la tombe d’Albert Camus je me suis incliné - devient - " Sur la tombe d'Albert Camus me suis penché " et nous avons douze syllabes. J'aurais rajouté un " en " à " j'ai fait un beau bouquet, j'en ai fait un beau bouquet. J'ai adoré ce passage " Pensant que leurs racines avaient pu puiser Un peu de leur génie et me le communiquer ". Par contre le dernier vers est mal trouvé, je pense que vous pouvez faire mieux pour conclure ce poème ! |
papipoete
3/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Votre promenade à Lourmarin me plaît, car le cimetière ( hors mise en terre d'un cher défunt ) est pour moi un grand jardin, toujours fleuri ; votre 7e vers en est une brillante illustration !
Et, cueillant romarin et coquelicots poussant près des tombes de A. camus et H. Bosco, vous rêvez qu'elles vous offrent " un peu de leur génie " . Que voici un charmant tableau bucolique ! NB " beau/bouquet " , peut-être un autre qualificatif ? papipoète |
Lulu
19/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Antonio,
J'ai bien aimé lire votre promenade, dont on sent qu'elle vous a inspiré, vivement touché. La cueillette des fleurs est belle, de même que cette envie surprenante de puiser un peu du génie des autres au travers d'un geste simple. Ce que j'ai moins aimé, dans votre poème, c'est le manque de rythme. Le vers suivant, étant trop long : "Couverte de pluie blanche des vergers, me suis agenouillé", je l'aurais abrégé. Peut-être aurais-je enlevé "des vergers", car cela n'apporte rien de particulier dans l'image que l'on se fait de la tombe et de la pluie. Enfin, la présence de romarin et de coquelicots embellit l'endroit, apporte quelque chose de vivant au cimetière, des parfums, des couleurs, bref, quelque chose de positif, loin de la mélancolie que l'on peut éprouver dans ce type d'endroit. Bonne continuation, Antonio. |
Anonyme
19/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour antonio... Votre visite à Lourmarin sur la sépulture de deux éminents écrivains valait bien un poème. Dommage que vous n'ayez pas choisi de l'écrire d'une façon plus académique... ou pourquoi pas en vers libres.
Cela dit, vous n'avez aucune raison de vous battre la coulpe dans le vers ultime. Vous avez écrit comme vous savez le faire, avec sincérité, même si je crois qu'une bonne métrique, une recherche un peu plus approfondie du vocabulaire auraient donné de la valeur à ce texte qui le méritait bien. C'est écrit avec le cœur et c'est le principal... Le reste peut toujours s'acquérir avec un peu de travail. Bonne continuation. |
Mourmansk
19/3/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je n'ai pas aimé cette promenade, que j'ai trouvé beaucoup trop terre-à-terre (ce qui est indispensable pour cueillir du romarin et du thym, je le concède volontiers).
Votre texte ne m'a pas fait voyager, je n'ai pas aimé la métrique. Enfin, je n'ai pas trouvé ce texte mélodieux. |
Anonyme
19/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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" Pensant que leurs racines avaient pu puiser
Un peu de leur génie et me le communiquer " Ah , si ça se pouvait ! J'irais bien cueillir des fleurs près de la tombe de Brassens (pas très loin de chez moi )... Lecture agréable sans plus. |
Teneris
19/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai beaucoup aimé le sens de ce poème, où la fleur se fait lien entre vivants et disparus. Les images que vous choisissez soulignent fort agréablement la douceur de l'instant et la profondeur de l'estime que l'on perçoit pour ces grands hommes.
J'ai trouvé l'idée de varier les rythmes en soi plutôt bonne, mais un peu déconcertante : j'ai plusieurs fois du relire certains passages pour voir comment les dire et même ainsi n'ai pas toujours trouvé de diction satisfaisante. Comme l'on déjà indiqué plusieurs commentaires, uniformiser un peu plus le rythme et chercher un vocabulaire un peu plus riche pourraient encore renforcer la narration - que je trouve déjà fort plaisante et sensble. |
Anonyme
20/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il faisait trente-huit degrés, je suis allé sur la tombe de Camus, en me disant que lui devait avoir bien froid, et pour toujours. Cependant, et malgré cette canicule, lui m'a réchauffé le coeur, quand moi je n'ai rien fait. J'aime dans votre texte le magnifique mot 'racine' que vous employez, racines des autres où l'on peut puiser et agrémenter sa propre sève. C'est vital et essentiel. Même si la forme et la structure de votre texte n'entrent pas dans mes préférences, je ressens votre poème, le sentiment qui en découle, ce témoin de vie et d'esprit que l'on tente de recueillir, même sous la pierre.
Merci antonio |
Ioledane
20/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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C'est écrit avec simplicité et j'en aime l'esprit, toutefois je trouve dommage que ce texte ne comporte pas vraiment de rythme - d'autant que le premier vers, alexandrin, nous offrait la tentation d'y croire ! (et quelques autres également).
Bref, il manque pour moi quelque chose de chantant qui donnerait beaucoup de charme à cet écrit, et m'aurait aidée à partager un peu mieux ce moment magique que vous avez semblé y vivre. |
Anonyme
22/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'ai visité ce cimetière par le passé, et je dois dire que votre évocation est bien trouvée.
Mais il y manque quand même un petit quelque chose pour que je sois conquis vraiment, peut être un peu plus d'emphase. Ca reste néanmoins un beau sonnet. |
Raoul
24/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est un poème tout simple. Vrai. Il évoque avec ferveur le mystère des forces telluriques des noms, de certains lieux, et des pierres parfois tombales.
Et puis il y a ces "simples" (on parlait de simplicité) et leurs "racines" : c'est un sonnet profondément terrien plein de spiritualité. Un joli texte. |