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Anonyme
18/4/2022
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Un instantané érotique et équatorial, on y est.. Les poncifs du ventilateur, des perles de sueur, des draps froissés et des peaux cuivrées, tout est là. C'est une pub pour le Club Med que viennent déchirer les glaçons interlopes d'une fin brutale. ça me donne envie de relire Un Anglais sous les Tropiques À vous lire sur quelque chose de plus torride Anna en EL |
Anonyme
4/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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C'est bête, avec ce poème je me sens au bord du plaisir, une ambiance se dessine, je comprends bien qu'on me convoque à l'orgasme littéraire, et puis patatras ! le soufflé retombe. Des draps froissés, les glissements progressifs du plaisir, les perles de sueur sur les peaux forcément cuivrées, eh, dites : ils/elles sont photographes les amants ou amantes, là, ils/elles ramènent du boulot à la maison pour ensevelir ainsi le pieu sous les clichés ?
Les trois derniers vers rétablissent un tantinet du caliente, mais du coup je me rappelle la bossa nova du début, la moiteur, les pales du ventilateur, et je me dis que décidément je m'étrangle dans les serpentins de pellicule d'un film qui va à la facilité. |
Lebarde
6/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une poésie minimaliste extrêmement suggestive, délicieusement érotique dont on ne peut pas s'empêcher, à la première lecture, de voir l'inspiration de "L'amant" de Marguerite Duras.
Mais peut être ne suis-je pas sur la bonne piste? L'atmosphère torride et moite, la pénombre d'une chambre aux "persiennes en bois acajou", " deux corps nus sous les draps froissés" qui s'initient, inventent et savourent sans retenue , les "jeux épicés", dans la torpeur d'un après midi indochinois. Pas de description inutile, une économie de mots, seulement une sensualité nonchalante et brûlante et une poésie efficacement susurrée, dans des phrases tout juste ébauchées. Joli poème qui touche là où il faut. Je dis bravo. En EL Lebarde |
Anonyme
18/4/2022
a aimé ce texte
Pas
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Les gens se mettent au lit , là on ne sait pas si c'est un couple hétéro ou homo ou transgenre Mais comme aurait dit Thierry Roland "" mais ce là ne nous regarde pas "
Et on se fait monter la température avec des jeux épicés, et on se met le feu au bouts des lèvres ( lesquelles, ? Les grandes ou les petites ? Là ce serait une bonne indication sur le couple) Et on se mets le feu au bout des doigts Et on se met le feu au ( ha non, là ce serait indécent ) et au bout du compte ON N ASSUME PAS On veut des glaçons Ben non, ça casse tout , ça jette un froid Surtout en accessoire érotique , forcément , après les jeux épicés , passer du chaud au froid , ca grippe Bon, vous lire est certes distrayant , mais pas plus , niveau poésie le dictionnaire de la sexualité est quand même mieux |
papipoete
18/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonjour apierre
" il fait trop chaud pour travailler... ", mais point pour s'encanailler ! Et tel un oeil voyeur, on découvre une post-scène d'amour, deux êtres au souffle court... NB rien d'extraordinaire, que cela se passe du pôle nord ou sous l'équateur, ça donne des gouttes de sueur, on reprend ses esprits, et ça repart ! " pas de glaçons " me semble tomber comme un cheveu sur la soupe, bien que je comprenne l'allusion... |
Mintaka
18/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Apierre,
Une jolie scène de film, sans parole et sans tabou. Vous suggérez avec un minimum de mots quelques suaves heures sous les tropiques. Enfin c'est là que je vois ce couple. Deux petites choses me conviennent moins: le mots progressif peu sensuel, alangui aurait ma préférence et le dernier vers un peu brutal.mais tout celà est tellement subjectif. L'ensemble est suffisamment évocateur pour être suffisamment sensuel et je pense que tel était votre objectif. Merci pour ce poème |
Polza
23/4/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Dans l’ensemble, j’ai plutôt apprécié votre texte. Je ne sais ce qui me fait dire cela, mais à la fin de ma lecture, j’ai aussitôt pensé qu’il s’agissait du scénario d’une scène sensuelle d’un film tourné en un quelconque endroit d’Amérique du Sud. Il y réside quelques clichés je trouve, mais vraiment je trouvais ça pas mal et puis voila qu’arrive cette chute venant refroidir l’ardeur. Mais pourquoi diable ne pas assumer ce côté torride, sensuel, érotique… jusqu’à la fin ou pourquoi ne pas pousser encore plus loin l’excitation plutôt que de refroidir mon imagination avec cette sentence sans appel « et pas de glaçons » ! Si quelques banalités disparaissaient et si ce récit allait encore plus loin dans le voluptueux et surtout s’il n’y avait pas cette chute qui m’a profondément gâché mon plaisir, j’aurais sûrement beaucoup aimé ce texte. P.-S. En lisant le commentaire de Chacalchabraque je m’aperçois que j’ai omis de vous dire que votre poème m’avait également fait penser à quelque chose de Bernard Lavillieeeeeers (si vous ne connaissez pas la chanson des Fatals Picards ça le fait moins bien !)
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Anonyme
18/4/2022
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Bonjour,
D'ordinaire, j'aime plutôt votre écriture quelque peu en mage. Concernant cet écrit, je lui trouve la rémanence d'un arrangement poétique qui effectivement fait ses preuves, ici et ailleurs. Sinon la temporalité ou le voile exotique, je ne vois rien de neuf, neuf qui aurait été une bonne note sur dix. Merci. |
chacalchabraque
23/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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j'aime bien car ça fait penser à un couple qui fait l'amour dans un hôtel au Brésil dans une ambiance saturée de chaleur et d'humidité, d'intimité sans timidité, en nudité. Fille,rhum et Bernard Lavilliers ;-)
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