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poldutor
10/6/2019
a aimé ce texte
Bien
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Ça swingue. Pour qui aime la musique c'est OK.
C'est de la poésie libre. |
papipoete
7/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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bonjour apierre
un moment de vague à l'âme, où pour oublier... une " raccomodeuse " de coeur brisé, fait tout son possible contre quelques billets, pour chasser le gris d'un être désabusé... mais sur une chanson de Cole Porter... Et le Champagne pétille de plus belle ; et l'on danserait volontiers...mais ici la musique manque cruellement ! |
Anonyme
7/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un sympathique clin d'oeil romantico-érotique à ce talentueux auteur compositeur.
" Un air pétillant rend les bulles de champagne encore plus fines nuit et jour " Comment ne pas penser au fameux "Night and day " - Ah, que de fois l'ai-je 'gratté' ! - " Une musique drapée dans des ailes d'anges voyage sur la lune bleue dans un wagon capitonné de rêveries ". Beau passage. " Des notes comme des billets pas si doux pour les amours tarifées " j'aime bien aussi. Une lecture agréable. |
senglar
7/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Apierre,
C'est un véritable bain de jouvence que tu nous offres là, je viens d'aller écouter Cole Porter sur You Tube : par Billie Holiday, un rêve ; par des étudiants, surdoués ; par lui-même, ambroisie. Mon impression est exactement celle de ta première strophe : pétillance et bulles de champagne, elle est aussi précisément celle de la deuxième strophe au wagon capitonné de rêveries, elle est enfin très précisément celle de la troisième strophe aux vagues à l'âme et corps lascifs. Pour la suite j'attends que tu nommes la chanson. J'ouvre les oreilles, je barre mes fesses. Et bien sûr "Juste une chanson" Je suis baba M'a des accents de Disney ce Cole (je m'en tiens là, devraient pas grandir les enfants !) Trop cool :))) ça donne envie d'acheter un vinyle tout ça. Dis-donc, te rend loquace le gars, à quand un poème de 3000 caractères ? Senglar :))))))) |
Vincente
7/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème sans prétention, aérien et dansant, libre, libre de se sentir raconter en quelques lignes, quelques portées (oserai-je de Porter ?...) Oui l'évocation est très sympathique.
Et puis cette jolie idée d'écrire un poème qui peut se lire uniquement composé de chaque premier vers de chaque strophe : "Un air... Une musique... Une mélodie... Des notes... Une biguine... Juste une chanson". Voilà le fil mélodique, le reste donne des couleurs (comme cette Blue Moon qui nous voyage...), trace un décor, accorde le propos qui nous raconte cette Divine Biguine du grand compositeur. J'ai beaucoup aimé l'art et la manière. |
Gabrielle
8/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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juste une chanson... quel joli titre pour une ébauche de mélodie à fredonner
lL'auteur'e) invite le lecteur à rentrer dans le monde de la musique par l'intermédiaire de l'"ecriture merci à l'auteur(e) pour ce texte plaisant. |
Donaldo75
8/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour apierre,
Cole Porter, ce nom est pratiquement devenu synonyme de jazz classique, parce que les musiciens de jazz se sont appropriés ses chansons et en ont fait des standards. A mon goût, c’est un peu de ce que Joe Jackson – qui a lui-même repris lesdits standards et composé un album entier portant le titre d’une de ses plus célèbres chansons – appelait la « night music » pas forcément fabuleuse mais juste envoutante. Et ce poème rend un très bel hommage à cette « night music » en l’imageant de beaux vers, dans une forme libre qui sied à cette époque volage que furent les années 20. Bravo ! |
Davide
9/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour apierre,
Un petit texte joliment construit, bien écrit pour un bel hommage. Mais n'est-ce pas un air de piano que j'entends, au loin ? Attendez-moi, j'arrive... "Une biguine si facile à aimer qui ne finit jamais" En somme, un poème si facile à aimer. Merci apierre, Davide |
Anonyme
15/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Je ne connais pas cet artiste et j'hésitai donc à venir commenter. Cependant, la douceur, la tendresse du narrateur pour ce parolier, chanteur, musicien est belle à lire. J'ai bien aimé la composition des trois premiers paragraphes où le verbe est placé sur la troisième ligne, donnant à l'ensemble un rythme régulier et musical. (le verbe "rendre" du premier paragraphe soit pouvoir trouver un synonyme plus léger) Le "juste une chanson" final, isolé apporte ce brin de respect du narrateur, mais aussi l'envie de réfléchir sur le rôle de la chanson, sur sa dose d'Art relatif ou "absolu". Merci du partage, Éclaircie |
Lariviere
16/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour apierre,
N'étant pas un érudit de jazz et ne connaissant pas du tout cet artiste avant ça, j'avoue non sans honte que le titre m'a d'abord fait croire que j'allais lire un texte pastiche en forme de calembour, type B. La pointe ou Raymond Devos, sur ce magnifique métier de camelot, type "la complainte du marchand ambulant" ... je m'en excuse auprès de l'auteur et de l'artiste, américain si je comprends bien (et si je lis bien Wiki), qui n'a peut être pas la notion du jeu de mot crée par hasard par l'association de son nom et prénom (oui, j'ai l'esprit tordu!^^)... Bien sur, en découvrant le texte précisément, je me suis aperçu que non... Je n'ai actuellement aucune clef (de sol) pour m'imprégner vraiment de l'atmosphère que dégagent les oeuvres musicales de Col A. Porter ; juste en lisant les quelques vers de l'auteur, je les trouvent crédibles avec une ambiance et une écriture musicale jazzy... fond et forme semblent bien coller ensemble pour réussir celà. En conclusion, un texte qui m'a séduit, malgré mon manque de culture dans le domaine qui ne me permet sans doute pas d'appréhender toute la subtilité de l'hommage ni son véritable succès, mais qui m'a fait découvrir un artiste de jazz que je ne connaissais pas, tout en me donnant l'envie d'explorer sa musique et son univers... alors déjà merci à l'auteur pour ça ! En espérant que ce commentaire puisse être utile à l'auteur, je lui souhaite une bonne continuation. |