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Poésie libre
apierre : Une nuit au Québec
 Publié le 27/02/20  -  8 commentaires  -  486 caractères  -  162 lectures    Autres textes du même auteur

Une nuit d'un mois de juillet au Québec...


Une nuit au Québec



Guimauves grillées
la nuit sur un feu de bois
près du fleuve Saint-Laurent



Ma mémoire crépite dans l’air du soir


Un vent léger se lève
bruissement d’étoiles
les feuilles des érables scintillent



Nous avons dansé ensemble
on s’est aimés
chacun dans son souvenir


Les arpèges des guitares
se sont évanouis
à jamais


Et la nuit a fermé ses milliers d'yeux


 
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   Corto   
11/2/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Souvenir apparemment personnel.
Le tableau est touchant.

Mais puisqu'on est au Québec il me manque quelques détails plus caractéristiques. Oui pour les érables mais où sont passées les baleines qui bravent le fleuve et lancent dans les airs leurs jets puissants ?

En complétant vraiment ce tableau on se serait volontiers enfoncé dans les immensités québécoises.

A vous relire.

   Anje   
13/2/2020
 a aimé ce texte 
Pas
Libre
Moi qui ne vit pas du même côté de l'Atlantique, je me suis laissé embarqué par l'appel du Québec. Mais déception ! C'est une nuit au bord de l'eau qui pourrait être Seine, Loire, Rhin ou Rhône. Ou bien d'autres encore. Le voyage imaginaire, si ce n'est la forêt d'érables, n'a pas décollé. Je suis déçu.
Peut-être un autre voyage.
Anje en EL

   Gabrielle   
14/2/2020
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un texte , rétrospective sur un souvenir avec deux espaces temps qui se chevauchent et s'entremêlent.

Le souvenir ici revient à la mémoire et semble transcender le temps.

La romance décrite a pris fin (3ème tercet ou 4ème strophe) mais le souvenir persiste (texte dans son ensemble).

La chute renvoie aux regrets du/de la narrateur/trice (lettre).

Belle continuation à l'auteur(e).

   VictorO   
17/2/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Une poésie simple et douce, pleine d'images (les feuilles des érables scintillent), de musique (les arpèges des guitares), d'odeurs (sur un feu de bois), de saveurs (les guimauves grillées) et de caresses (nous avons dansé ensemble on s'est aimés). Tout cela se mélange agréablement avec les souvenirs, dans des tercets qui ressemblent à des haïkus. Merci pour ce voyage.

   hersen   
27/2/2020
 a aimé ce texte 
Beaucoup
J'aime la simplicité de ce poème qui raconte la simplicité.

Une soirée autour d'un feu, même si perso je mettrais plutôt des petites pommes que des guimauves au bout de ma pique, est pour moi ce qui s'apparente au luxe et j'aime beaucoup la tonalité du poème, qui retranscrit assez bien cette luxueuse simplicité.

"Et la nuit a fermé ses milliers d'yeux", cette image de fin est magnifique !

Merci pour la lecture !

   papipoete   
27/2/2020
 a aimé ce texte 
Un peu
bonjour apierre
nous avons grignoté près de fleuve ; nous avons dansé puis fait l'amour...et la nuit venue, avons éteint les étoiles avant de fermer nos yeux.
NB je vois bien quelques feuilles frissonner sous le vent, mais celle que vous écrivîtes sur cette " nuit au Québec " me semble bien timide, trop banale pour que cette nuit reste inoubliable ?

   Lebarde   
27/2/2020
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Apierre

Pa très fan de ce genre pourtant un de vos poèmes avait su par le passé me charmer.
Ici pas trop. Peut-être un peu court et décousu même s'il se dégage de belles images bien poétiques:
" Ma mémoire crépite dans l'air du soir"
ou bien
"Et la nuit a fermé ses milliers d'yeux".

Lebarde déstabilisé.

   BlaseSaintLuc   
21/4/2020
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Mince alors, c'est plutôt vide !
Pas un bibitte qui traîne ? Au mois de juillet, c'est louche !
Et ta "blonde" on ne lui voit pas le blanc des yeux !
C'est qu'il est long le saint Laurent , ça ne situe pas bien l'endroit de la guimauve, bon,il reste le souvenir, ah, la nostalgie Camarade!

PS: je module l'appréciation , pour la note nostalgique qui ressort tout de même.


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