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VictorO
25/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poème simple en apparence, mais qui respire l'authenticité, l'actualité, la pureté des émotions. Le doux souvenir d'une balade à vélo.
J'ai apprécié les images : "mes pensées tressautent", "des gouttes de silence illuminent le bitume" ; et les références culturelles en formes de souvenirs : le pont Mirabeau d'Apollinaire, l'orchestre de Count Basie. A la fin, le vélo l'emporte, tellement l'évocation était forte. La boucle est bouclée. |
Stephane
26/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Attention quand même, le confinement ayant commencé en Mars, non en Avril... Blague à part, j'ai bien aimé cette petite ballade matinale dans les rues parisiennes, même si cette petite pluie fine m'a un peu dérangé (au figuré). C'est un matin calme et tout est silencieux (ou presque). Une belle poésie (des rues, si j'ose dire) ! Cordialement, Stéphane |
Anonyme
26/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très joli poème tout en simplicité mais dans lequel la subjectivité transfigure le paysage: " des gouttes de silence / illuminent le bitume" C'est aussi une balade dans l 'esprit du"je" dont on aime découvrir les tessitures ( "poèmes anciens" ou " les cuivres de l'orchestre de Count Basie ) à mesure que le vélo avance.
On aurait aimé que le trajet soit juste un peu plus long. Merci pour le partage |
Luz
27/4/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Je trouve que c'est un bon poème. Les trois premières strophes se présentent sous la même forme de 3 vers, avec parfois un alexandrin caché dans chacun des deux derniers vers. Puis il y a la 4ème strophe qui relance le rythme du poème avec les cuivres de l'orchestre, et la 5ème qui conclut sur le bonheur simple de rouler à vélo à tous âge. J'aime beaucoup : "des gouttes de silence illuminent le bitume" Merci. Luz |
Lebarde
28/4/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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C’est primesautier, c’est léger, c’est enlevé, c’est « À bicyclette », c’est gai, mais n’est-ce pas un peu superficiel?
C’est une poésie libre donc « libre « pourtant le vers 11 et dans une mesure moindre le vers 12, bien trop longs viennent casser le rythme. Comme je ne connais rien en libre, c’est peut être voulu par l’auteur(e) mais ça me dérange et je trouve ça dommage. Habituellement je ne commente pas ce genre de poésie par méconnaissance du sujet. Ici c’est court et j’ai pris un certain plaisir à la lecture avec les réserves énoncées. En EL Lebarde qui sort de sa « zone de confort » et de compétence |
Gabrielle
29/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un souvenir heureux symbolisant une période orchestrée par des instants de bonheur comme celui relaté ici.
Le lecteur est invité à partager cet instant de vie et à ressentir le bien-être généré par la ballade. La pensée du narrateur suit le fil des saccades et du trajet, plus doux, sur le bitume puis s'arrête sur l'écho d'un orchestre. Ce texte symbolise la nostalgie des instants de liberté et de bonheur qui semblent bien peu présents en ces moments de troubles. |
papipoete
29/4/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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libre
nous ne sommes pas en confinement, pourtant cette ballade à vélo semble profiter de ce décor. il doit y avoir les bruits habituels de la circulation, et tous ceux auxquels l'on ne fait plus attention ! pourtant, le cycliste semble en plein mois d'avril façon " covid ", avec Paris pour lui tout seul, et rien ne le perturbant, des poèmes et des accents de musique lui parviennent, et il oublie qu'il est un " grand ", il pédale comme un gamin... NB étrange coïncidence que cet avril " normal ", avant que la ville s'éveille et s'enflamme de décibels ! j'aime bien ces petits vers qui nous montrent, que le bonheur tient à peu de chose ! papipoète |
Robot
29/4/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je ne suis pas emballé par ce poème libre que je trouve assez platement écrit. Je trouve que le libre n'a pas été exploité pleinement pour éveiller mon intérêt poétique.
"des gouttes de silence illuminent le bitume" En dehors de ces deux vers qui ressortent, je ne me sens pas porté par beaucoup de sensation poétique dans la description de cette balade. Certes, il y a un récit sympa d'un parcours à vélo, mais rien qui sublime le texte dont le final ressemble à une conclusion de rédaction scolaire. |
Donaldo75
29/4/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
J’ai eu du mal à me projeter dans la poésie en lisant ce texte. Je l’ai trouvé très descriptif et il ne m’a pas vraiment donné l’impression de dépasser cette description. Je trouve que dans un poème aussi court, il est nécessaire voire indispensable d’aller au-delà des simples mots. C’est heureusement trop court pour m’ennuyer en tant que lecteur mais pas assez dense pour m’intéresser. Une autre fois. |
Anje
19/5/2020
a aimé ce texte
Bien
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J'avais lu, et aimé, ce poème en espace lecture. Je ne l'avais pas commenté parce que je n'avais pas indentifié ce qui me gênait. C'est Paris, le fait de faire du vélo en ville. Les voitures, les odeurs, les feux rouges, etc. C'est ce détail qui m'a perturbé. Pourtant, à la lecture j'ai ressenti le vent dans les cheveux (oui, je roule sans casque), le petit crachin qui frappe le visage et cette impression de presque s'envoler en tenant son guidon. Seul au monde en laissant tourner les jambes et les rêves. Le vélo permet çà et c'est un grand plaisir. A condition de ne pas se prendre pour Lance Armstrong !
La rime n'aurait-elle pu rythmer le pédalage ? Non, je souris... Merci pour lepartage de votre jolie selle. |
Myo
19/5/2020
a aimé ce texte
Bien
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Une atmosphère bien rendue de ce moment de liberté, comme volé au quotidien bouillonnant de la ville.
Une écriture épurée qui ajoute à cette légèreté. Peut-être un rien trop simple pour vraiment me faire tressauter. Mais, une lecture agréable malgré tout. |
Malitorne
23/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Tout ce qui a trait aux deux-roues a le don de m’attirer et je ne pouvais que rendre visite à votre poésie. Las, je dois avouer que j’ai été un peu déçu. C’est une balade bien sage que vous nous proposez, pas déplaisante mais franchement trop légère. J’aurais apprécié davantage de consistance dans les états d’âme du cycliste ou dans les descriptions de l’environnement. On reste sur sa faim, comme si le tour était déjà terminé à peine commencé. Pourtant, je vous assure, le vélo peut mener loin, très loin. Lisez ma dernière nouvelle (« El pueblo ») pour vous en rendre compte. Et hop, un peu de promotion au passage :-)
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