|
|
Corto
29/1/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Le titre est bien trouvé. "Vignettes" est le mot qui convient à ces menues observations de notre environnement.
Chaque strophe est bien typée. "la voiture toute rouge ne sait plus où se mettre"; "les valises... dégourdissent leurs roulettes". Mais ma strophe préférée, celle qui montre le plus de poésie est la finale "Le petit chat est mort/ le réfrigérateur ronronne". Sans prétention mais si bien observé. Merci à l'auteur. |
Anonyme
8/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Bonjour
Ce petit texte libre est un joyau d'images se succédant au rythme de son déroulé comme un collier de perles. Mais pour moi, ce collier s'est cassé sur le petit chat mort, je ne comprends rien à l'enchaînement avec le réfrigérateur mis à part qu'il semble ronronner à la place du chat, mais pourquoi. Dommage pour l'ensemble, la fin est souvent ce que l'on retient d'un texte. |
hersen
8/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Chaque strophe, jusqu'à l'avant-dernière, nous parle de cette abondance de transports, de déplacements dans des lieux surpeuplés, aéroport, parking, gares. Un monde qui bouge, qui brasse, et qui au final ne communique pas, et les messages électroniques s'égarent dans les boîtes aux lettres des maisons.
un monde trépidant. Et la dernière strophe, celle qui m'a tout montré du fond : une extrême solitude, où le narrateur vient de perdre un unique compagnon... que le ronronnement du frigo remplace; Ainsi, tout est matériel, un monde où les machines et leurs impératifs (aller vite) remplace le contact vivant, ici un chat. Un monde de solitude extrême; merci pour ce poème bien vu, que je n'ai pas "vu" sur le coup, il m'a fallu me laisser pénétrer par les images, et ça en valait la peine ! |
Anonyme
8/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour apierre,
J'ai vraiment un faible pour la dernière strophe, le sentiment d'abandon qu'elle induit, la presque démission de la conscience qu'elle démontre. Merci. |
Michel64
8/2/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour apierre,
J'ai beaucoup aimé vos vignettes pour leur originalité et les trouvailles d'humour léger qui s'en dégage. J'aurais même enlevé deux vers qui diluent un peu vos brèves scènettes. "Arrivée du train sur le quai de la gare les valises ensemble dégourdissent leurs roulettes en grondant de plaisir" "Dans ma boîte aux lettres devant la maison un message électronique un peu timbré s’est égaré" Merci pour cet agréable moment. |