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Corto
29/1/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voici une très belle adresse au poète essentiel.
Quelle belle entame avec "Les dieux t'ont-ils ouvert leur porte surhumaine Pour avoir toute ta vie transmis leur parole ?" On sent tout au long du poème combien Homère est l'ultime référence, celui qui a envoûté lecteurs et rêveurs par ses écrits venus du fond des temps. La scène est très vivante "Leur as-tu raconté ta terrestre aventure ?" et l'auteur fait preuve de malice "A ton air exalté, le regard des déesses S'est-il posé sur toi, attendri et sublime". On a ici un bel hommage fait sur un ton fort original. Le final conclue dans une belle envolée "En tout cas, quand je cherche une oreille immortelle, O poète éternel ! C'est à toi que je pense !" Grand bravo à l'auteur. |
Donaldo75
3/2/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J’ai bien aimé ce poème que j’ai trouvé intéressant à la lecture, travaillé dans le genre. Son côté théâtral, son emphase à la limite de l’exagération vont bien avec le thème. Je ne suis pas un aficionado du genre mais je lui reconnais du style et j’en apprécie – avec modération – les représentations. Celle-ci me semble réussie, j’ai eu plaisir à la relire à plusieurs reprises et à imaginer la scène. Merci pour le partage. |
Anonyme
11/2/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Un texte sympa qui nous replonge dans les aventures d'Ulysse. De l'Iliade et l'Odyssée, de Charybde et Scylla, des sirènes, de Pénélope qui tricotait à l'envers et de tous les personnages. Quelques beaux vers entre autres : Toi qui fus toujours seul à déclamer ta rime ? Moi qui suis prisonnier d'une pauvre existence ? Un poème qui me replonge dans l'enfance. |
papipoete
11/2/2020
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Apolluc
" Homère, toi qui connus de la Terre aux mille saveurs, aux mille couleurs, aux mille tentations, sans les voir de tes yeux morts, y-goûtas-tu cependant ? Et te fit-on aux portes de l'Olympe mille révérences, célébra-t-on ta vie terrestre que tu n'occupas qu'à chanter les dieux ? Tu es mon modèle, mon inspiration ; je ne me confie qu'à toi... NB là où tu es désormais, plus besoin d'yeux pour savourer la béatitude, elle est en toi, comme ces déesses " au sel savant de leurs caresses " songe le héros qui semble ne pas être beaucoup entendu sur Terre... Je ne suis pas loin d'être illettré en mythologie, aussi ne puis-je m'avancer davantage dans le dédale d'Homère, mais pour un aveugle, je comprend qu'il vit tant de belles choses sur Terre, avant de " gravir les marches olympiennes " ! je ne sais sous quelle forme fut présenté votre texte, mais je vois quelques rimes fausses ( vol/parole ) beaucoup de hiatus ! le 6e vers me semble incongru dans ces tirades ( confiture... ) la dernière strophe, presque naïve me touche |