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Anonyme
21/7/2014
a aimé ce texte
Pas
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Je suis vraiment désolé mais ce texte ne m'apparaît que comme un exercice de style alors que l'incipit nous permettait d'attendre plus, beaucoup plus, d'expression PERSONNELLE de son auteur(e).
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Lulu
21/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup cette plongée dans l'abîme ; non que j'aime l'abîme, mais ce texte qui sait le dire si bien.
J'ai bien aimé lire "la ténèbre" au singulier. Cela allège le poème et renforce l'idée. Un très beau sonnet. |
Miguel
21/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un lyrisme funèbre qui parle au coeur, et suscite chez le lecteur un peu de cette angoisse : efficacité des procédés d'écriture. Pourtant à la fin, ce silence plénier apporte comme un apaisement ; ma personnalité y perçoit quelque chose de positif, annoncé par ce supplice qui se noie : fin de la souffrance, indolence : l'acceptation, ou le fait que le passage soit moins terrible qu'on ne l'a craint ? En tout cas les images, le rythme et les sonorités confèrent à ce poème une grande force d'expression.
J'aurais mieux vu "nié" que "renié". |
Anonyme
6/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Arcanod... J'ai eu l'impression de lire un poème écrit par un moribond... mais ce n'est qu'un poème et j'imagine que le narrateur et l'auteur sont bien distincts. Ca aurait aussi pu s'intituler la descente aux enfers mais j'y ai trouvé de beaux passages avec une préférence pour les tercets et surtout pour le vers de chute et son silence plénier...
Moins aimé ces deux vers, un peu grandiloquents à mon goût : Et mon âme s’exhume en un essaim rougeâtre Sous le ciel insondable aux corps iridescents. Pour "renié", qui prend la diérèse en classique, il faut donc pratiquer ici la synérèse ou, comme le suggère Miguel, utilisé "nié". Ce n'est qu'un détail et, même si le thème n'est pas réconfortant, l'ensemble est de bonne facture... Un bon moment de lecture. Merci ! |
Anonyme
6/8/2014
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour
Ce poème est plus que lugubre mais il sied bien à mon humeur de l'instant et j'aime bien ses beaux vers : Le monde m’apparaît comme le feu d’un âtre Sous le ciel insondable aux corps iridescents. entre autres. Une ultime plainte en espérant trouver un monde meilleur. Un dernier chant du passage sur cette Terre où l'auteur ne se fait pas d'illusions : J'agonise esseulé sans laisser une empreinte. Quelle belle musicalité de ce vers. Juste un - car j'aurais aimé plus de prosodie classique. |
Vincent
8/8/2014
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Commentaire modéré
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Pouet
8/8/2014
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Commentaire modéré
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noyan
8/8/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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La forme du sonnet est respectée mais pour "(un) long supplice", je trouve cela trop court, pas assez détaillé.
Les deux premiers quatrains auraient pu avoir des rimes différentes afin d'enrichir le texte. On reste dans le morbide coloré de rouge, il n'y a pas suffisamment de nuances à mon goût. Il y a toutefois quelques passages intéressants:"Et mon âme s’exhume en un essaim rougeâtre" Pour le reste je n'ai pas accroché. |
Arcanod
13/8/2014
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Anonyme
11/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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Un texte qui donne une vision étrangement sombre, de ce moment ultime, "devant mes yeux voilés de larmes et de sang" (pourquoi de sang, n'est-ce pas un peu trop), c'est une notion que je peux comprendre, cependant je ne suis pas totalement parvenu à "rentrer" dans le texte, il ne m'a pas apporté de ressenti, je trouve qu'il impose une certaine distance du fait sans doute du vocabulaire employé, avec l'émotion. C'est un texte au rythme monotone, il est banalement ténébreux, trop théâtral à mon goût " J’agonise esseulé sans laisser une empreinte"..
Je ne pense pas que ce soit la forme poétique qui soit en cause, mais plutôt le fond, qui me semble manquer de profondeur, la thématique est trop convenue, c'est du déjà lu. |