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Anonyme
7/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Qu'il est regrettable qu'un si joli texte ne soit pas travaillé, comme il le mérite !
L'humour, servi par de tels paradoxes, démontre à quel point vous avez le sens de la dérision. Vous êtes, je présume "pince sans rire". Il n'est pas très difficile de rimer avec humour, exemple : Enfant inattendu d'un vierge endurcie Et d'un vieil infécond, ne s'étant pas connus, Nul ne peut concevoir que comme le messie, Je suis le fils de dieux quelque peu saugrenus Il n 'empêche que j'ai bien aimé ce texte qui m'a fait sourire, et dont j'ai aimé le style, toujours en quête d'antiphrases. |
BlaseSaintLuc
8/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Fameux auto portrait, précis et déroutant, chantant et rigolard.
La locution latine Perinde ac cadaver, qui signifie littéralement « à la manière d'un cadavre », illustre depuis l’époque des moines du désert (IVe siècle) l’idéal ascétique d’obéissance parfaite (ou aveugle) présentée comme la voie permettant au religieux d’accomplir infailliblement la volonté de Dieu dans sa vie. Je sens le facétieux, qui n'as de la locution, que la préoccupation de la rime ... j'ai aimé le tableau qu'il a peint de lui-même. |
papipoete
10/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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contemporain
Tout au long d'un texte truffé d'oxymores, ( gai rossignol aphone ) ( je suis un laborieux qui ne fait que la sieste ) ( je chanterai bien fort dans un dernier soupir ), l'auteur nous fait un numéro de haute-voltige où l'on se dit << jusqu'où va-t-il aller ? et sans filet ! >> C'est vertigineusement attrayant, et chaque strophe brille plus que la précédente ! La première cependant est tout à fait " plausible ", si le héros est né en éprouvette ? NB Je me suis encore instruit de 2 termes ( aporétique et " perinde ac cadaver " bien qu'enfant je chantais la messe en latin par coeur ! ) Merci pour cela ! Vous avez opté pour la forme " contemporaine ", aussi je ne vérifie ni métrique, ni rimes, mais l'ensemble est fort musical et harmonieux ! papipoète |
Anonyme
25/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il es heureux que le texte ne le soit pas, aporétique ; j'aurais eu du mal à écrire un commentaire.
Des contradictions amusantes et sérieuses à la fois, tout au long de cet " autoportrait " qui me semble plus relever de la fantaisie que de l'aporie. j'ai trouvé intéressants ces passages : " J'ai lutté par faiblesse et grandi par hasard " " Je sais m'enorgueillir des revers que j'essuie." " J'avance pas à pas en prenant du recul " |
Andre48
25/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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J’ai lu avec plaisir ce texte, autoportrait d’un individu lucide :
« Si l’on est différent, il est fatal qu’on soit seul. » Aldous Huxley La catégorie poésie contemporaine permet de s’affranchir des règles classiques, ce qui est heureux ici. « Toute tentative d'apprendre est autodestructrice. Lorsque vient l'érudition, la poésie s'en va. » Jack Vance. Merci d’excuser cette attirance pour les pensées célèbres, cela m’évite bien des efforts. |
Anonyme
25/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Le jeu particulier sur le sexe des rimes - rencontré quelquefois chez Verlaine - est suffisamment rare et compliqué à mettre en œuvre pour être salué bien bas.
Et puis que dire ? C'est drôle, enlevé, gai, fort adroitement écrit. Que demande le peuple ? Le troisième "passionnément" que j'aurai décerné en presque 10 ans... et toujours au même ! nb On devrait prononcer "perindééé ac cadaver" : seule larme d'eau salée dans un océan d'eau de pluie |
Castelmore
25/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Oxymores, paradoxes antiphrases à foison
Jetés sur le papier sans ordre ni raison Se retrouvent liés la queue par dessus tête Par la main du génie qui nous les a fait naître Dans l'éclat d'un grand rire ... jusqueS à en pleurer Un grand merci |
Hiraeth
26/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel bonheur que ce texte, simple et travaillé, presque parfait, humoristique et intelligent, sans aucune prétention... Le rythme, les images, le plaisir de l'aporie : merci. On a envie de l'apprendre par coeur.
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Anonyme
26/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
Un bien joli portarit plein de sel et de verve et qui pourrait servir à beaucoup. Les jolis vers sont nombreux, je n'en citerai que quelques uns : J'ai poussé de la terre ou suis tombé des nues. J'ai le visage franc et l'âme déguisée. Entre beaucoup d'autres. Bref, une description que La Bruyère n'aurait pas désavoué, bien au contraire. |
Annick
26/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un poème fondé sur des antithèses, (parallélisme de construction et sens contradictoire,) il fallait le faire !
Dans ses chansons, Charles Aznavour aimait aussi jouer avec ces figures de style, de haute voltige, comme un saut périlleux. Le tout est de retomber sur ses "pieds". Je doute que le poète ait une personnalité aussi contrastée mais après tout ce sont souvent des êtres pour le moins contrariés, pour le plus, torturés. En tout cas, c'est un portrait qui a du relief ! Je vois ici avant tout un jeu habile, une véritable performance, ludique, et tellement agréable à lire. Je suis tombée sous le charme de votre poésie. |
Cristale
31/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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L'automne promenait sa chevelure de brume, les premiers frimas caressaient la côte océane quand, bien au chaud devant l'âtre, je vis dans mon écran ce poème et pris connaissance de la surprenante similitude phonique des rimes masculines et féminines, : messie/ici, connus/nuEs, tout au long des 32 vers...rien que ça !
Oxymores, emphases, antiphrases, hyperboles, et que sais-je encore anti et hyper pleins de malice (la fièvre embrumant mon lexique-mémoire) titillent un tantinet mes neurones en joie. Un jeu de l'ego... dimensionné au talent du rhéteur dont les scènes déstabilisantes régalent mes zygomatiques. Sortie des sentier battus et rabattus, cette plume n'aura de cesse (d’esbroufer?!) d'ébouriffer la candeur de la mienne. EDIT : suite à ton communiqué de ce jour, c'est en implorant ton pardon (oui mais pas trop quand même l'imploraison*...) que je corrige le mot : /nues et non /nus et reconnais l'esbroufe de mon penne pantois qui abusa de ma fièvre en dénaturant ma noble pensée : bien évidemment que cette plume "ébouriffe" la mienne consciente des qualités de sa consœur. Puisqu'il en est ainsi, je reconnais ma défaillance en avalant ma fierté et plussoie mon évaluation. Ne dis pas non par modestie, c'est de bon coeur. Une plume de plus pour ton édredon, l'hiver s'annonce précoce. * licence poétique |
emilia
27/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le narrateur a pris plaisir à dresser cet autoportrait avec humour et dérision en jouant sur les contradictions ; son naturel audacieux (si l’on suit l’étymologie de son pseudo) l’a poussé cette fois-ci à relever un nouveau défi à la manière du grand Verlaine cité en exergue et extrait de son recueil « Ariettes oubliées »/ « Romances sans paroles » VI, se donnant pour règles, en lien avec la chanson populaire, des rimes homophones approximatives au masculin et au féminin en alliance systématique offrant un certain exemple de l’aporie ainsi qu’une citation latine valorisée… ; un défi parfaitement relevé à travers ce « portrait aporétique » qui propose une illustration à la fois didactique et pédagogique nous permettant de mieux cerner ce concept philosophique assez complexe… ; bravo à vous pour votre talent…
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JcJaZz
28/10/2018
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C'est génial ! De grand art !
Bien que les propos soient en apparence contradictoires, finalement on n'est pas déboussolé, on n'est pas bringuebalé dans un sens puis dans l'autre Il y a une cohérence et du sens C'est que j'aime dans ce poème tout à fait réussi et très original Merci |
LenineBosquet
29/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Archibald,
vous aimez les contraintes de forme, pour mon plus grand plaisir, et n'utilisez jamais les mêmes. Pour cette fois vous faites rimer des féminins avec des masculins, tout en respectant l'alternative, chapeau, du grand art. Sur le fond c'est excellent,à chaque vers son contraire, quel travail. J'ai pensé à cette chanson, je vous la laisse. Merci. https://open.spotify.com/track/2nY4gVP9C2a05lCWAiz7fk |
Quidonc
29/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Archibald,
Voila un personnage haut en couleur, si votre plumage ressemble à votre ramage vous êtes le sphinx des hôtes de ce site, tant votre personnalité est contrastée. J'aime beaucoup votre peinture, de l'humour mais je ressens aussi une certaine mélancolie à la lecture de vos vers. Merci pour cette agréable lecture |
4168
3/12/2018
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Modéré : commentaire trop peu argumenté.
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4168
3/12/2018
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Modéré : commentaire hors charte (se référer au paragraphe 6 de la charte).
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4168
4/12/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Willis, je trouve votre alternative de quatrain moins subtile, quoique plus humoristique il est vrai dans un sens mais dans un sens simplement (un sens unique, ah ah). Plus recherché mais moins percutante au final. Vous avez de l'audace en tout cas. Je n'irai pas jusqu'à proposer une version de remplacement en supputant qu'elle est meilleure. Quel écueil, mon bon môsieur !
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