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papipoete
14/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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contemporain
L'heptasyllabe rare, évoque une ballade peu commune, celle de personnages figés non morts, puisque pas nés ! Ces foetus couchés ou assis dans le formol, avec quelques mois de plus, eurent fait grand vacarme, dans la chambre de bébé . Quand tombe la nuit sur l'officine, ne dansent-ils pas la farandole, au coeur d'un sabbat ? Je vois fort bien, à lire vos vers inspirés, ce scénario macabre que je ne souhaiterais pas rêver ! Pour peu que mon cerveau en rajoute, et imagine l'inimaginable ! Certaines lignes brillent particulièrement ;" placenta de formol " " vous n'aurez pas de beaux langes, ni droit au carré des anges " papipoète |
luciole
16/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien sûr votre poème ne vaut pas celui de Mac Nab mais il est agréable à lire et ne manque pas d'esprit.
Il aura le mérite de faire connaître aux curieux ce petit chef-d'oeuvre. Merci. |
Alcirion
1/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une approche naïve, ingénue du phénomène macabre, le réflexe commun étant à priori la répulsion. Il y a une grande légèreté dans le texte qui contraste avec le thème choisi. Au-delà, j'ai du mal à vraiment cerner l'objectif de ce texte à la forme simple et fluide.
Le thème m'évoque forcément des paroles de Death Metal, notamment les deux premiers Carcass (1989 et 1991) pour l'approche médicale de la morbidité ! |
Anonyme
1/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sensible inspiration du poème de Mac Nab (comme l'incipit le précise).
" Qu’être mort avant de naître ". En plus, cette idée originale que de les imaginer " à la lueur d’un candélabre, Comme une danse macabre Qui se ferait à l’envers, Menant une ronde folle " |
Anonyme
3/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Votre poème a eu un double mérite : me faire connaître Mac-Nab et me distraire agréablement. Si l'inspiration mac-nabienne est très prégnante, je trouve néanmoins que votre texte est supérieur au modèle ; oui : supérieur ! Je le trouve plus drôle et plus recherché. Cette danse macabre poétique et de mauvais goût, m'a ravi. A. nb Il manque, çà et là, quelques pauses ponctuées, particulièrement aux premier et avant-dernier quatrains. |
Anonyme
5/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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je ne connais pas Mac-Nab mais ceci étant ce poème a suscité ma curiosité.
Il m' a renvoyé plus loin en arrière quand gamin j'avais eu l'occasion d'observer dans un chateau-musée un squelette de nouveau né sous une cloche de verre. Il en reste toujours une impression étrange et fascinante. J'aime par ex beaucoup la deuxième strophe (bien que rêves et songes dans le même vers me paraissent redondants) avec ce coté méditatif sur la vie/la mort et cette vague notion d'entre deux renforcé joliment plus loin par : "Vous n'aurez pas de beaux langes Ni droit au carré des anges" Un moment fort du poème. Après ça part sur quelque chose de plus farfelu avec cette fantasmagorie non moins intéressante. Je suis en revanche moins séduit par la toute dernière strophe qui semble faire office de rajout par ailleurs ambigu. Une bonne lecture dans l'ensemble. |
Raoul
19/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle danse macabre car - on pourrait en lisant écouter du Saint-Saëns - elle joue sur plusieurs niveaux.
Elle est compassion, horrifique, "scientifique", drolatique, successivement et concomitamment de façon fort enlevée. On y sent le Chat Noir (boîte à chansons, boîte de ronron, porte bonheur ou/au malheur) et le cabinet - de curiosités - du docte Caligari. La composition en "Au pair préféré l'impair" fonctionne bien, et les rimes, même si quelques unes sont un rien approximatives (ça fait parti du jeu), sonnent bien. Les jeux - d'os - du vocabulaire sont excellents. Beaucoup aimé la lecture de cette expérience pré-génétique. |
Anonyme
19/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Dernier vers
On imagine des choses… Qu’on nE SOUPCONNERAIT pas Splendide, dire tant de choses "qui se tiennent" sur un fœtus, félicitations ! “C’est une pitié profonde Que de contempler le monde Par le prisme d’un bocal !” Top ! Je ne connais pas votre modèle, pour l'heure, (car j'irai voir ses textes), mais faut-il qu'il soit fabuleux pour égaler votre poème. A moins que vous ayez pratiqué un copié-collé ! Je plaisante ! Encore bravo ! |