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Anonyme
17/3/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Voilà un texte qui me semble intéressant au plus haut point. Ignare (à vie je le crains) en matière de Jazz, je suis bienheureux de trouver dans ce texte une sorte de décodage poétique pour m'emmener en douceur dans ce voyage musical.
Mêler à foison des termes de Jazz à la poésie est une belle idée et en ce qui concerne ce texte la maîtrise est parfaite. Rien à redire, tout me convient ! Si l'auteur veut ultérieurement nous préciser sur quel standard il a composé ces vers je suis preneur ! Edit : à la relecture je pense que ce poème mérite mieux que ma note initiale ! |
Proseuse
17/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Je pense que votre poème a de belles qualités, et le sujet du train fou est bonne, et certaines images excellentes, pourtant, j' ai l' impression que vous n' en avez pas tout à fait bien tiré parti , peut-être le poème est-il légèrement trop long , et qu' il nous perd un peu en route ( en tout les cas, moi) j' ai la sensation de temps en temps d' être descendue en marche ... puis raccrochée aux wagons, je suis repartie avec une autre strophe ! ceci dit le poème n' est pas déplaisant à lire ..... A vous relire Edit: à la relecture, et avec l' éclairage des commentaires, je m' aperçois, que dès le départ, j' avais, si j' ose dire, fait une erreur d' aiguillage ! en effet, je suis partie avec la seule musique du train .. j' ai loupé le parallèle avec le jazz !! Oupss! en plus, je n' avais pas vu l' incipit ! ça doit être pour cela que je décrochais de temps en temps et que le poème m' a paru long ! du coup, je relève d' un cran mon évaluation! |
LenineBosquet
17/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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En voilà une excellente idée de comparer l'impro jazz à un train en marche! Fort heureusement le thème revient se poser sur ses rails à la fin du morceau. Vraiment un chouette poème.
Et comme dirait Bob (c'est pas du jazz mais votre poème m'y a fait pensé quand même) : "Stop that train, I wanna get on !" |
Arielle
17/3/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Un magnifique voyage entre jazz et poésie. Vous m'avez vraiment embarquée au point que je n'ai pas vu venir la gare alors que je renâcle généralement dès qu'on dépasse les quatre strophes.
Quelques pépites : Il expose une étrange danse Qu’on ne peut danser sans faux pas. ou Il explose toutes les vitres Et les recompose en vitrail. ... et les trois dernières strophes qui sont un vrai bonheur En revanche je ne parviens pas à prononcer sans me vautrer: Comme kaléidoscopé |
Vincent
17/3/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour,
magnifique ce texte il pourrait être joué l'ensemble de sons est merveilleux j'aime le train je l'adore même mais là vous m'avez soufflé bravo pour votre mélodie |
Anonyme
17/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien trouvé ce parallèle entre le train et l'ambiance jazz.
Tout y est, en suggéré: le thème lancé, les chorus, les impros "On a peine à suivre la trace D’un train qui vogue vers les cieux," Puis tous les "wagons" "Retombent enfin sur les rails " et le thème revient pour finir. Et tous ces moments traduits par de belles images. Oups ! 305 à la noire ! Le be-bop est détrôné ; le TGV aussi... Parker doit faire la gueule là haut, hihi. |
BeL13ver
17/3/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je ne connais pas grand chose au jazz. Mais le caractère empressé de ce poème renforce l'idée de l'improvisation qui résout l'équation entre harmonie et vitesse d'exécution. Vous avez choisi de ne pas nous laisser respirer avec cette course des vers qui s'enchaînent à la vitesse de l'éclair.
J'aime tout particulièrement la cinquième et la huitième strophes, mais tout est millimétré comme un concert de haute volée. |
Zorino
17/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Archibald,
J'avais déjà été contemplatif face à votre précédente publication (Le temps qui passe et le temps qu'il fait) mais là, avec ce présent commentaire je renforce mon admiration. Le parallèle est très bien trouvé et très bien maîtrisé. Ce que j'apprécie le plus dans votre poème, c'est ce rythme que vous lui avez donné. Plus on avance dans la lecture et plus on ressent cette accélération presque fiévreuse, à l'instar du train qui quitterait sa gare. En jetant un œil à vos autres publications, j'ai pu noter que le thème de la musique est récurrent. Êtes-vous vous-même musicien ou un "simple" mélomane passionné ? Merci en tout cas pour ce beau partage |
Cristale
20/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Archibald,
Le train de ce concert de jazz m'entraîne dans la féerie, un voyage vers Onirie entre les ailes de pégase, octos en tempo sur tes mots hors du temps s'enfuient dans l'espace où les rails de leurs trémolos ouvrent l'orchestre de l'audace. Poésie et jazz sont la voix de leur compositeur immense, et me voici sans autre choix que d'entrer dans sa danse ! Je monte la note en écho de ce train-musique de vie : entends le concert des bravos sur les rails de ta mélodie. Mais je garde encore en présent le plus du sacrement suprême et sa flèche en haut de l'extrême, oui, pour cette ode que j'attends, une encre un peu moins mécanique, un souffle un peu plus onirique. Sous la cuirasse de son train la locomotive soupire, elle qui rêve de lui dire : envole nous, oublie le frein. Cristale soufflée, essoufflée, enchantée ! |
Francis
17/3/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Quel beau voyage au pays du jazz et de la poésie ! J'ai envie d'une trompette, d'un saxo... pour accompagner ces vers. Quel combat entre le rail qui guide la course folle du train et la liberté, l'improvisation qui nous entraînent vers des chemins inconnus, aériens. Un bouquet final qui se termine par un silence, une gare qui donne envie que le voyage recommence. Merci pour cet instant de lecture !
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Anonyme
17/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Ignare en matière de jazz, intrigué par le rapport que vous établissez entre la machine infernale et la musique, j'ai dû recourir à une mini recherche sur le Net au cours de laquelle j'ai pu constater que le mot "train" revient dans nombre de standards de jazz, que J. Coltrane était surnommé "trane", etc. Ce poème sera donc davantage décodé, goûté et apprécié à sa juste valeur par les initiés au nombre desquels je ne figure point. Qu'importe ! J'ai été néanmoins sensible au travail formel (alliant rigueur et assouplissements) de vos quatrains, aux images qui les ponctuent, à la musique de vos octos. A. |
Anonyme
18/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup apprécié le voyage. Le jazz n'étant pas ma tasse de prédilection, vous me l'avez finalement bien vendu, à travers ce parcours de fer et d'acier.
Vos comparaisons entre la musique et la machine, se marient de belle manière. N'étant parti que sur deux accords, il n'y a pas à dire, vous avez su les jouer, de façon à en tirer toute la quintessence, qui se reflète admirablement dans votre poème. Et là, c'est juste pour me la péter un petit peu, mais n-y-aurait-il pas du Duke Ellington, là-dedans, avec son fameux ; ''Take the ''A'' train''. Non non, je n'ai aucun mérite, je vous en donne ma parole. |
jfmoods
18/3/2017
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Ce poème est composé de douze quatrains en octosyllabes, à rimes croisées, pauvres, suffisantes et riches, alternativement féminines et masculines.
L'ensemble de jazz évoqué ici est assimilé à un train et les rails à une partition. Un instrument ("la locomotive") sert de point d'appui aux autres ("ses wagons") pour mener le morceau de son ébauche à son terme ("se présente le thème", "Le thème s’épanche et se moire", "Le thème au bout de son parcours"). La musique dont il est question ici apparaît pour le moins débridée (image déconcertante : "La roue est à côté du rail", métaphore maritime : "Le tempo pour tout gouvernail", hyperbole : "Tous ses wagons à l’aventure.", expression familière : "L'on verra bien", complément de lieu : "Vers des chemins qu'il ne faut pas", groupe nominal élargi : "une étrange danse / Qu'on ne peut danser sans faux pas", gradation hyperbolique : "il s'élance", "avance", "accélère", "Il roule de plus en plus vite", "On a peine à suivre la trace", verbes imprimant une trépidation : "vibre et crisse"). Puissante et exaltante ("superlatifs : "Rien n’est trop beau pour sa cuirasse, / Rien n’est trop fort pour ses essieux"), déroutante (constat : Les premiers échos déconcertent", groupes nominaux : "curieux ornements", "Spectacle grotesque et baroque", questions ouvertes : "Pourquoi c’est faire ? À quoi ça sert ?", "Pour aller où ?"), elle dynamite les codes établis, transgresse les normes, provoque, insufflant un élan et, aussi, un nouveau rapport à la spiritualité (préposition signalant l'avant-gardisme : "devant", parallélisme : "Il explose toutes les vitres / Et les recompose en vitrail", complément de lieu : "sous une croisée d'ogives"). À ce stade de sa réflexion, le lecteur s'interroge. Depuis le début, quelque chose le chiffonne... L'impression, vague jusque-là, que le poète nous parle de quelqu'un en particulier. N'est-ce que pure extrapolation ? Voyons... Nous avons là un ensemble musical plutôt porté vers le free-jazz. Nous avons cette personnification filée du train. Le train. The Trane, surnom du saxophoniste virtuose John Coltrane. Et puis il y a ce vers 22 ("D’un train qui vogue vers les cieux") qui fait vaguement penser à "Interstellar Space", un album de 1967, d'un abord plutôt aride, dédié à quelques planètes du système solaire (https://www.youtube.com/watch?v=gCKUi0Z3ZXY). Bon... Je m'égare peut-être. Merci pour ce partage ! |
luciole
18/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quand la forme ( octosyllabes nerveux qui défilent à toute allure à la lecture) épouse le fond ( le jazz et ses improvisations). Un poème qui garde toujours le bon tempo. J'entends plutôt du free, non ?
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emilia
20/3/2017
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Merci à vous de m’avoir fait découvrir la force symbolique du mot « train » en rapport avec la musique noire américaine et le jazz… De nombreux titres de chansons empruntent en effet ce mot évoquant l’image du voyage, de la fuite à grande vitesse et de l’implacable machine à tempo qui se retrouve aux racines du blues… ; à travers le jeu des sonorités l’on perçoit bien l’accélération de la cadence qui s’emballe comme si l’on ne pouvait plus l’arrêter quand « tout « vibre et crisse (tel) l’acier du rail en mêlant au rythme syncopé « un kaléidoscope » musical aux combinaisons infinies avec un effet d’harmonies démultiplié de sensations, puis s’apaise jusqu’au point d’orgue du silence… en affichant un tableau esthétique de l’orchestre sur fond d’écran et de ses instruments rutilants…, ce qui caractérise sûrement la passion éprouvée par le narrateur…
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Queribus
21/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour archibald,
Une bonne idée que d'avoir fait un parallèle entre train et jazz ou musique; Arthur Honegger, en son temps, avait déjà composé Pacific 231, comma quoi musique et train font bon ménage. En ce qui concerne la forme, j'aurais peut-être préféré une forme plus "délirante" au lieu d'un poème très régulier et fort bien écrit du reste quoique, peut-être, un peu long; j'aurais aimé aussi plus de références au jazz mais peut-être n'ai-je pas pris le bon train (Take The A Train!) et me suis égaré un peu en route. Quoi qu'il en soit, l'ensemble est tout à fait honorable et se laisse lire avec plaisir. Bien à vous. |
Meaban
1/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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parfois il m'arrive de jouer ce train a la clarinette basse, mais 350 a la noire, je sais pas faire ;)
c'est comme une communauté sensible ce texte c'est du jazz je pense ;) |