Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie néo-classique
Ariane : De l'être à soi
 Publié le 03/11/07  -  5 commentaires  -  464 caractères  -  40 lectures    Autres textes du même auteur

Il y a un long chemin de la naissance de l'être à la naissance de soi.


De l'être à soi



De charges émotives
Aux faveurs excessives
Je me plie à l'angoisse
De trop lourdes menaces

Le destin accompli
Se révèle à mes nuits
Vérité soupçonnée
Je ne veux rien gâcher.

Mais le sombre dessein
Qui s'avoue à ma peine
Éblouit mes matins
Des questions qu'il amène.

Je plains de tout mon drame
La sotte, l'ingénue,
Qui croit que de son âme
S'inspire sa vertu.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   nico84   
3/11/2007
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'aime bien le dernier quatrain mais le reste ne me parle pas trop.

   Anonyme   
3/11/2007
 a aimé ce texte 
Un peu
On reste dans du banal sans beaucoup de relief

   Anonyme   
5/11/2007
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Bon cela ressemble à de l'humeur vagabonde sans chemin précis...

   brabant   
27/3/2013
 a aimé ce texte 
Bien ↓
J'ai trouvé ce texte plutôt élégant :)

- l'être se construit mais dans un ciel lourd, peut-être un excès de précautions.
- il semble étonné d'avoir survécu et de s'être d'une certaine manière réalisé.
- Et alors qu'il pourrait être heureux reste en proie au doute.
- Le problème est qu'il sait que son âme lui a échappé.

Remarquable lucidité mais aussi méandrique que ce cerveau façonné, d'où le "moins".

   Anonyme   
24/7/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup
"De l'être à soi", voilà un titre qui vous appelle, pas simple le tourment de nos sempiternelles interrogations. Mais elles sont nécessaire à notre avancée, sans elles, nous ferions du sur place.

Il nous faut cette démarche intérieure, ces réflexions nous grandissent, peu à peu, elles tracent le chemin de notre accomplissement.

Les trois premières strophes ont ouvert un dialogue intéressant, par contre la dernière strophe m'a fait prendre de la distance, je trouve qu'elle colle moins avec le reste de l'écrit.

L'ensemble de l'écrit, fond comme forme, sont fluides, plaisant à lire.


Oniris Copyright © 2007-2023