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Anonyme
2/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, c'est expressif, bien rythmé... Je ne suis pas enthousiaste, mais pense qu'il s'agit plutôt d'un moment où mon humeur ne s'accorde guère à ce qui est dit. En fait, je ne vois pas trop pourquoi la migraine dans ce tableau de paix ; là encore je suis injuste, le narrateur ou la narratrice marque le contraste entre le monde extérieur et son ressenti, pourquoi pas ? Sauf que je n'attendais pas ça, quoi, et je n'aime pas l'expression "grenaillent les heures", c'est trop brutal. Très expressif, oui, sans conteste.
J'adore les plages repliées ! Pourquoi préciser qu'elles sont de "sable fin" ? Cela gâche un peu pour moi, l'adjectif est de trop. Mais vraiment un joli travail. L'expression est au rendez-vous, nette et délicate. Je pense à une eau-forte, et c'est peut-être ce qui me gêne : trop de précision au vu du sujet, manque un certain flou, un abandon... Cela dit, si le narrateur ou la narratrice a la migraine, c'est logique : chaque sensation se grave ! Non, vraiment, mon peu d'enthousiasme vient de moi, le poème a quelque chose d'irréprochable, tout y concourt à son objectif. |
Pimpette
3/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est très bon!
Ce Dimanche songeur qui traîne les pieds fait ma joie! SUr un thème connu, toute le fraîcheur d'une vraie écriture poétique! Sanctas simplicitas! J'en reprendrai bien encore un peu!!! |
Marite
20/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Contemporaine ... libre ... si la première catégorie n'était pas présente dans les choix offerts je verrais très bien ce poème en poésie libre. Bien aimé ce morceau. Dès la première strophe, ma préférée, une curiosité m'a envahie pour découvrir la suite et je n'ai pas été déçue. J'aime ce genre de poésie qui fait naître les images, les souvenirs accompagnés des émotions. Merci à l'auteur pour ce "Dimanche d'Octobre" si plaisant.
Edition : Je comprends la classification en poésie contemporaine après avoir lu le commentaire d'Alexandre : " Un mélange d'alexandrins et d'hexasyllabiques ". C'est peut-être ce rythme qui a séduit, inconsciemment, certains commentateurs parfois (souvent?) hostiles aux rythmes de la poésie classique. :-))) |
Anonyme
20/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je ne saurais vraiment dire pourquoi mais j'aime ce poème tout simple.
Certes il ne raconte pas beaucoup de choses (un mal de crâne dominicale peut-être lié à des abus le samedi ou alors à l'ennui ?), mais il y a une sorte de réminiscence d'instants doux (la plage, le bronzage, les vacances) et j'ai senti l'hiver qui pointe son nez glacial. Agréable vraiment. |
Anonyme
20/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Arielle. Superbe ! Un mélange d'alexandrins et d'hexasyllabiques d'une grande beauté pour bâtir un poème empreint de la douceur de cette époque qui n'est plus tout à fait l'été sans être encore l'automne... Je cherche en vain un tercet qui sorte du lot mais n'en trouve point car ils sont tous d'une égale poésie.
Je note l'absence totale de ponctuation qui ne gêne en rien la lecture... C'est du grand Art ! Bravo ! |
leni
20/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voilà un poème tableau d'une grande simplicité Il est fait d'images qui se succèdent dans une mélodie de mots J'ai lu votre poème plusieurs fois à haute voix Il n'y a pas que la langue italienne qui chante!Je me suis retrouvé comme dans votre herbier J'aime beaucoup:les plages repliées...Le dimanche songeur Je suis plus réservé pour:grenaillent les heures La migraine du week-end ne me dérange pas Merci pour cet excellent moment tout simple Bien vôtre
Leni |
domi
20/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau poème, tout en émotion, le rythme est très beau...
Autant j'aime la personnification du "dimanche songeur qui traîne un peu les pieds", mais "les genoux de l'été" "les mains", c'est trop pour moi, ("l'été à genoux" aurait passé), et c'est la strophe que j'aime le moins, mais l'ensemble est très prenant et poétique, un grand bravo! et merci pour ce moment spécial de lecture... |
brabant
20/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Arielle,
Ah oui !... Je dis Ah Oui ! J'acquiesce et ré-acquiesce à ce tableau habillé d'Octobre, habillé de Dimanche où la mélancolie se fait aubade, où la page de l'été s'est tournée pour s'ouvrir sur les heures d'un automne de deuil, qui grenaillent et se raillent en indiquant l'hiver. Que faisiez-vous aux temps chauds de l'insouciance ? Pâlissez maintenant ! C'est vrai quoi ! lol :D Merci Arielle, une fois de plus ! Ne me décevrez-vous donc jamais ? :) "..." Ah si, il vous faut vous exercer à exerguer ! |
widjet
21/10/2012
a aimé ce texte
Bien
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Si certaines images ne sont pas toutes bien neuves ("Dépouillé des oiseaux"), il y a suffisamment de quoi se consoler avec l d'autres ("souvenirs iodés" et j'aime l'idée du vent qui "chante seul").
Mélodieux (malgré tous ces "double L" à un peu partout, comme un auto-clin d’œil) et séduisant dans l'ensemble. W |
funambule
21/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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De la belle musique à nouveau et cette façon de peindre les paysages en images douces, mouvantes... et le plus souvent originales. Honte aux étourneaux qui viennent de débarquer dans nos vergers du sud pour faire mentir la belle envolée et à nos pluies Cévennoles qui deux fois l'an s'en viennent couvrir le vent dans la plaine (je plaisante). Un bien joli moment de paix, de rêverie... jusqu'au final très fort que j'adore.
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ristretto
21/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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quelle belle émotion à la lecture de ce poème
contraste de la douceur de ce dimanche d'octobre - encore beau, encore doux et le mal être du narrateur j'ai beaucoup aimé merci |
Arduinna
21/10/2012
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Je me joins aux louanges.
Un texte tout en finesse, une aquarelle, dont la légèreté réussit à créer une vraie ambiance. Les sonorités sont très réussies, l'ensemble très musical. J'aime beaucoup, merci. |
Mona79
22/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très beau poème : fluide et doux, comme je les aime. Des images douces-amères mais où l'ennui n'a pas sa place. On est en octobre : mélancolie d'automne !
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Charivari
23/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Arielle.
Tout coule à merveille, tout est limpide dans ce texte. Une poésie du quotidien, le fameux blues post-vacances, qui arrive à trouver le ton juste sans excès, qui se finit subtilement sur le temps qui nous vieillit (splendide cette dernière strophe) On nous parle de choses bien réelles, très évocatrices pour quiconque, comme les "draps de bain" (j'avoue avoir un peu tiqué qu'on dise "drap" en parlant des serviettes, mais pas grave), les souvenirs iodés, la migraine, le dimanche qui traine des pieds, le verger "depouillé d'oiseaux" (j'aime beaucoup cette image). J'ai un peu moins apprécié le reste de cette même strophe (le raclement de feuilles), un petit poil cliché, et la strophe 2, les genoux de l'été, que j'ai trouvé forcé. Mais l'ensemble m'a beaucoup plu. |
melancolique
24/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Arielle,
Un poème tout en douceur, de belles images, et un rythme juste parfait comme d'habitude. J'adore surtout la première strophe: "Plages de sable fin sagement repliées entre les draps de bain des souvenirs iodés" "Le dimanche est songeur et traîne un peu les pieds en raclements de feuilles au tournant de l'allée" "le vent chante seul" Merci beaucoup pour cet instant poétique. Au plaisir de vous relire. |
Arielle
25/10/2012
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fugace
20/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Si Monet avait peint cet instant, comment aurait-il rendu "les plages de sable fin sagement repliées entre les draps de bain des souvenirs"?...
Une mélancolie tendre, en couleurs douces. Merci Arielle de ce beau moment cueilli au crépuscule de l'été. |
Anonyme
20/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup d'expression et une imagerie sobre.
Sobre mais tenace. Un grand sens poétique, de la délicatesse, de l'élégance. Une belle lecture. |
Lyl_mystic
23/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je trouve une grande force d'évocation à ces images pertinentes, j'aime beaucoup cette personnification de la nature avec les "genoux de l'été", ou les "mains de parchemins" vermeilles des treilles, il y a aussi cette musicalité, presque tous des alexandrins ou hexasyllabes. J'aime cette grande mélancolie qui se dégage de la solitude de la nature avant celle du poète. Des images reposantes, des métaphores, j'aurais aimé peut-être mais ceci est très personnel, juste un trait de lyrisme, de présence humaine plus importante que la tempe de la fin. Le tout est peut-être juste un tout petit peu trop descriptif même si c'est très poétique.
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jfmoods
17/6/2015
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Une alternance d'hexasyllabes et d'alexandrins structure efficacement cette évocation d'arrière-saison. Les notations visuelles des deux premières strophes, porteuses d'exaltations passées des sens (« plages de sable », « treille », personnification : « mains de parchemin »), sont relayées, dans les trois dernières, par une abondance de notations auditives, la plupart agressives (« traîne un peu les pieds », « raclements de feuilles », « le vent chante seul », « migraine », « maillet railleur », « grenaillent les heures »), qui avalisent la lente et douloureuse agonie du temps. Les allitérations en « r » signalent une certaine rudesse de la perspective, tandis que les assonances en « ou » et « en », savamment dispersées au fil du texte, matérialisent une sensation d'oppression.
Merci pour ce partage ! |