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Bidis
20/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J’aurais bien vu Valérie Lemercier dans le rôle de cette belle… Le début de ce texte m’avait pourtant trouvée plutôt sceptique et sur la réserve bien que tout de même accrochée mais très vite je n’ai pu m’empêcher de poursuivre avec plaisir et rire. C’est amusant, très polisson et gore tout à la fois, l’auteur a du talent.
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troupi
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Arielle.
Ça alors ! J'avais eu sous les yeux ce texte en EL et pas une seconde je n'aurais pu imaginer qu'il fut de toi. Il m'avait bien fait rigoler mais le temps que je me décide et il avait disparu de mon espace. C'est donc avec plaisir que je le retrouve ici avec en plus la surprise de l'auteur dans un style que je ne soupçonnais pas. Je me fourvoie peut-être mais je décèle parfois des accents de Cyrano dans certains de tes vers. Bonne chance pour le concours chère Arielle et à bientôt. |
Anonyme
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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" Les fées m'ayant vouée
au vice qui rend sourd… " Dès lors le décor est planté (euh... non rien) J'ai bien aimé ce poème élégamment grivois et déluré. Les sous-entendus, à peine déguisés, m'ont beaucoup amusé au fil de ma lecture ; je devrais dire mes. " Certes je suis scrofule et quelque peu bancroche," " Serait-ce mon menton pudiquement velu ou l'auvent de mon nez qui vous aurait déplu ?" "Faut-il pour un baiser risquer de trépasser ? Je ne saurais vous dire, c'est à vous qu'il échoit à la fin de choisir." Entre deux maux il faut choisir le moindre. Lequel ce prince charmant (!) aura t-il choisi ? |
Robot
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce texte découvert en pré lecture je l'ai lu plusieurs fois et je l'ai parcouru encore une fois publié car j'ai adoré dans l'esprit du concours ce lien avec les personnages des contes.
C'est vif est bien campé avec un humour noir mais aussi polisson tout à fait approprié. Madame quel est votre mot et sur le mot et sur "les" chose"s" comme à presque dit l'abbé de Lattaignant. |
Coline-Dé
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà ! Quand on sait ce qu'on veut !
Bravo Arielle pour cet éventaire bien pourvu en héros de notre enfance revus et corrigés à fort plaisante sauce ! J'ai adoré " fourbir la moquette" et imaginé la truffe du galant... Et commencé sur un ton quelque peu geignard ( quoi, lanterner un peu ne fait qu'attiser l'appétit...)la belle affermit son propos et finit par trouver le ton juste pour galvaniser les esprits... enfin... on peut dire ça comme ça ! C'est drôle, enlevé et ça m'a fait penser à Monique Tarbès chantant : Il y a longtemps bien longtemps Jadis vivait une bergère qui gardait ses moutons bêlants dans une clairière Les moutons étaient tout pelés et la bergère était affreuse, laide, souillon, mal peignée et paresseuse ! Le fils du roi vint à passer C'était un parfait imbécile Il n'était ni beau ni bien fait Ni juvé, ni juvé, ni juvénile etc.... Il faudrait mettre ta Belle en musique... |
Ascar
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quel longueur ! On vous sent bien inspirée Arielle. Est-ce une vengeance à régler avec les Princesses de Mickey's'house ? Le verbe est piquant, les tournures châtiées, les mots font mouche avec la précision d'un escrimeur.
Pour un thème imposé, c'est une belle prouesse. Je me suis amusé à vous lire. |
Anonyme
2/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonsoir,
Le fond me plait : humour et sexe, petite chute un rien mutine assez contradictoire avec le ton général de l'oeuvre, la princesse et le prince charmant, une poésie somme toute assez féminine dans son traitement, même si ... ça manque de sensualité, pour tout à fait me satisfaire, et les vers bien qu'irréguliers ne me paraissent pas si libres, quoi qu'on en classe ! Je m'attendais à plus de risque, plus de passion, plus de fantaisie dans le verbe. Les images sont faciles (je ne dis pas qu'elles sont simples, nuance) et ne me transportent que dans l'humour, alors que la fin permettait un vrai plongeon dans un délire riche de sous-entendus... mes excuses à l'auteur ce n'est certainement pas son intention, mais c'est ce que moi, lecteur j'ai recherché tout le long. Il me manque donc une véritable poétique, une métrique moins travaillée peut-être, ou moins évidente pour me convaincre. Un peu plus de liberté dans la construction n'aurait pas été pour me déplaire. De toutes les participations poétiques que j'ai lues jusque là pour le concours, c'est néanmoins celle qui me plait le plus. Je vous remercie donc pour le sourire, pour le début de rictus coquin, et vous souhaite bonne chance pour le concours ! |
luciole
2/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bravo, ce poème met dans le mille ! On est en plein dans le thème.
J'adore les contes parce qu'il y a vraiment matière à dépoussiérage, c'est un tremplin pour l'imaginaire. Et ici le lecteur est gâté, tous ses personnages d'enfance ou presque sont au rendez-vous ! La langue utilisée avec des tournures d'époque me plaît bien, le ton ironique, les allusions bien salaces... C'est jouissif ! |
Lulu
2/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Arielle,
le titre fait déjà sourire... et le texte est d'une telle qualité. D'ordinaire, je n'aime pas trop le registre familier, mais ici, il n'exclue pas la poésie qui se dégage de l'ensemble. Il est au service de personnages, qu'on connaît par ailleurs, et qu'on est bien contents de retrouver. J'ai découvert des mots... Ainsi ai-je dû m'arrêter sur le vers suivant : "Certes je suis scrofule et quelque peu bancroche,"... "scrofule" et "bancroche", deux mots qui sortent de l'ordinaire... J'ai trouvé votre texte très drôle, vraiment bien mené. Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Francis
2/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Jadis les fées m'avaient fait rêver, sous votre plume, elles m'ont fait sourire ! Pour la Saint Valentin, ces contes sont revisités avec talent et beaucoup d'humour. J'imagine le travail qu'ont nécessité de nombreux vers mais vous avez dû y prendre plaisir. Merci pour le partage.
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leni
2/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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a Arielle
Quelle écriture on s'y croit je citerai les fées m'ayant vouée au vice qui rend sourd… Oyez mon amertume. e refuse de croire aux ragots éhontés : votre langue donnée, dit-on, au Chat botté, réjouirait ce faquin minaudant du croupion, qui trousse sans égards chausses ou cotillons ! Certes je suis scrofule et quelque peu bancroche, mais vous-même, Riquet, êtes-vous sans reproche ? Serait-ce mon menton pudiquement velu S'il faut qu'on vous bouscule j'ai, parmi mes laquais, un preux de la férule qui vous attendrira les rognons sans faillir. Admiratif Admiratif Leni |
hersen
3/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est toujours la même chose : on nous fait prendre des vessies pour des lanternes et les contes pour enfants des contes pour enfants.
Je suis bien aise que l'auteur remette les pendules à l'heure, en tout cas en ce qui concerne les contes et que, du même coup, il y ait un amusement amusé (si,si, j'aime bien comme ça) tout au long du texte; Melle de Rais, empruntant ici le surnom paternel de Barbe Bleue, a bien l'air de la même trempe que son papa que l'on surnommait "le Saigneur du château". Qui, lui, malheureusement, n'était pas un conte, mais un comte. Non, juste baron, mais ça ne va pas pour mon jeu de mot. Et on a quand même fait toute une histoire de sa vie ! Ah, que j'ai été, le temps de votre poème, replongée dans le monde culturel de mon enfance ! |
Ramana
4/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les amateurs de bandes dessinées pourront retrouver ici quelque chose de Gotlib, qui a lui aussi revisité les contes populaires d'une manière un peu similaire à celle de l'auteur. Je vous laisse imaginer entre autres sa version de la chèvre de monsieur Seguin !
Après cela, qui osera encore soutenir que les victimes de violences conjugales sont uniquement les femmes ? J'espère que ce mari possède assez d'imagination créatrice pour susciter la réaction physiologique voulue, à partir d'une belle image mentale venant enjoliver la réalité, sinon c'en est fait de lui. Bravo pour ce texte humoristique rédigé avec esprit et maîtrise. |
LenineBosquet
4/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Merci, je me suis bien marré, du début à la fin ("le vice qui rend sourd", "les frasques des 7 nains", "le brandon humide", le Chaperon rouge violée par la grand-mère lubrique etc... J'en passe, et des meilleurs!).
C'es excellent, même en poésie libre ça coule tout seul. Bravo. |
Anonyme
4/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir,
"Quant au Chaperon rouge avez-vous oublié qu'après avoir été honteusement violé par sa grand-mère indigne, une harpie lubrique, " Voilà l’unique passage qui m'a déplu : Je le trouve d'une trop facile violence, dans sa volonté de bousculer la sensibilité du lecteur ; le mot "violer" est extrêmement brutal. En revanche, le reste est nettement plus drôle, plus enlevé, plus gai. Et bravo pour la richesse de votre poème qui rassemble bien des figures de bien des contes de notre enfance. A. |
jfmoods
4/3/2016
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Avec une grande jubilation, la poétesse s'amuse à dynamiter les codes du conte pour enfants (expression d'une sensualité exacerbée, laideur physique à contre-emploi du rôle, patchwork des personnages et des contextes, mélange des registres de langue, politesse et vulgarité, violence verbale et sadisme assumé).
Merci pour ce partage ! |
Lylah
7/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Iconoclaste et primesautier, ce texte se lit avec le sourire aux lèvres du début à la fin. Merci pour ce défilé de portraits délicieusement acidulés !
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Arielle
7/3/2016
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silvieta
21/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'avais vu passer devant moi il y a plusieurs semaines cet intéressant poème et je le cherchais vainement depuis. Le voilà.
Très bien écrit, fourmillant de contes, polisson, évocateur, spirituel il n'y manque rien et j'ai particulièrement apprécié dans la dernière partie la révélation inquiétante autant que cocasse ( la fille de Barbe Bleue ). |