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jaimme
13/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Personnage qui joue sur le registre de l'éphémère, qui se prend pour le dieu Janus... Pas encore trouvé. Le sommeil qui disparaît.
Mais franchement le jeu m'a séduit. Beaucoup aimé: "L’équilibre de l’expire retient une poussière ; Et je crée Un bécarre À son être en nuances." Je reviendrai. Promis. Edit: et je relis et je me réveille, je m'émerveille. |
Marquisard
9/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je suis séduit, tout simplement.
Entre simplicité et lyrisme "doux", comme une chanson, un petit air au réveil, une volute, tout simplement. Je ne sais quoi ajouter d'autre.. juste j'aime beaucoup. |
Lapsus
9/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bout de temps placé entre parenthèses, si ténu et fragile qu'il ne tient qu'à un souffle complice.
Il ne se passe rien. Ou presque rien. Et c'est déjà beaucoup. |
Anonyme
9/9/2009
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Magnifique moment de lecture... J'aime tout dans ce texte, qui glisse et évoque, sans heurt.
Un très beau travail sur la ponctuation l'utilisation du point virgule au deuxième vers des strophes paires, par exemple. Le métronome du temps qui déraille, le glissement dans les deux présents, l'équilibre de l'expire,je meurs d'un renouveau... j'ai trouvé tous ces passages magnifiques, cette sensation de temps suspendu, surtout cette sensation que créent les mots... J'ai adoré ! (un bon point pour l'utilisation très réussie de la mise en italique) |
pieralun
9/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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quelques très beaux vers en italique, un vers totalement décalé dans l'ensemble du contexte "Le réveil tarde à lancer ses infos et la station grésille." La chute est bonne, et l'ensemble aussi.
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brabant
10/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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De belles expressions, heureuses; des bonheurs d'expression... pour qualifier l'éveil, la phase transitoire "entre ((les)) deux présents".
J'aime énormément: "L'équilibre de l'expire retient une poussière;" funambulisme acrobatique visuel, instant figé retenu en suspension ponctuelle de lumière. J'aime énormément: "Et je crée Un bécarre A son être en nuances." Quel accord parfait! Je rêve de ces réveils-là... A six heures du mat', impossible pour moi! Je fais taire les tambours de l'aurore. |
Anonyme
10/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup...
Très poétique, très... suspendu... le moment de silence, l'instant suspendu... j'aime vraiment la forme, l'alternance de narration en je en italique et la narration tout court... Jusqu'ici, je pense que c'est mon préféré au concours... J'apprécie particulièrement les moments ou l'instant figé parle... les italiques qui s'insinuent... ça colle tellement avec le sujet que c'en est ... impressionnant... Merci Ariumette, je vote pour toi! Na! |
David
11/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Ariumette,
Je pense à l'état de semi conscience qui précède l'éveil, entre le rêve et la conscience en quelque sorte, un moment où il semble encore possible de rester du bon côté... en vain je crois. Oui, j'aime bien, c'est assez subtil et le moment décrit, la sensation comme c'est écrit dans le poème, je n'en connais aucun nom, mais cette image au début : "Je suis la buée Du souffle chaud Que son soupir installe." Elle le décrit vraiment très bien, avec la circonférence qui rétrécie irrémédiablement... un air de haiku ça ? Le titre-signe ne me dit pas grand chose par contre, il doit y avoir mieux je pense. |
Mr-Barnabooth
11/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie simple et sonore !
On ressent fortement ta présence et tes émotions ! Ton poème me berce, il est réussit. Amitiés de Mr B. |
Anonyme
12/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau, une vraie recherche poétique.
J'ai aimé l'ensemble, plus particulièrement l'image de "se glisser entre ses deux présents". Bravo. |
Bidis
13/9/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Quand il n'y avait pas encore de commentaires, j'avais trouvé ce poème merveilleux, mais, bien évidemment, il me restait obscur.
Maintenant je peux m'écrier : "mais c'est bien sür !" et évaluer ces vers subtils et beaux à la mesure de l'exceptionnelle émotion qu'ils suscitent. Merci les Oniriens malins ! |
Melenea
14/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime ces vers en italique intercalée... comme une brise aidant au réveil... l'ambiance la poésie, tout est là pour moi... C'est ce moment là où on reste encore entre veille et sommeil, où tout parait différent et que l'on oscille...
Bref j'ai adoré |
Anonyme
14/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui.
J'aime beaucoup. C'est d'une grande finesse. Tous ces petits détails :"Le réveil tarde à donner ses infos et la station grésille", "une porte qui claque" sont du plus bel effet. L'entre deux est bien rendu. Comme un état de flottement. Le titre (?) correspond vraiment bien à l'idée. Bravo. |
Fanch
15/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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je le ressens comme très bien construit avec des images originales et bien choisies...
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Selenim
19/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle évocation du temps, avec ces strophes que s'alternent, italiques ou pleines. On ressent comme le battement entêtant du métronome.
Le titre est idéalement trouvé, une idée fulgurante. Il y a dans ce laps des trouvailles d'une précision helvétique. Et je crée Un bécarre À son être en nuances. Subtil. Selenim |
Anonyme
19/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai dû relire plusieurs fois avant d'aimer. D'abord décontenancée, me voilà maintenant conquise. Ce souffle ténu, ce presque rien, si joliment traduit ...
J'aime particulièrement "Et je crée Un bécarre À son être en nuances" et la chute, saisissante. Merci pour cette belle découverte. |
Chene
26/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Ariumette,
Un personnage ou deux ? Je m'explique. Tout vient de de l'ambiguïté des vers en italiques et de "je suis"... Deux interprétations possibles : - "Je suis" présent du verbe être et là l'ambiguïté est levée : l'auteur est en même temps le personnage central "Et je suis partie" et un condensé de "la buée", "la traînée... de poudre" et "la sensation". Une forme d'anthropomorphisme sensoriel en quelque sorte... ou bien... - "Je suis" (sous-entendu "du regard"), présent du verbe suivre qui peut faire penser à un deuxième personnage qui observe la scène du réveil, du petit déjeuner, du maquillage, etc... sensation renforcée par la présence des fameuses italiques... et par "sa joue", "son être en nuances"... Cette ambiguïté me plaît bien, en tout cas, car à peine perceptible en première lecture et "Entre ces deux présents", j'ai fait mon choix. Et puis je me permets une petite remarque sur : "Et je crée Un bécarre A son être en nuances" Qui dit "bécarre" dit altération... Qui dit altération, sous-entend qu'il y a un bémol quelque part... oh ! juste quelques comas de "nuances"... Encore une subtilité relationnelle : il y aurait-il quelque chose caché derrière, comme dirait Voulzy ? En conclusion, je cherche encore le bémol, quitte à faire le grand bécarre ! Un poème d'une ambiguïté très poétique, un poème très subtil malgré son air de ne pas y toucher ! Après le bémol et le bécarre, ça vaut bien une bonne note ! Cordialement Chene |