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Vincent
20/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je préfère avoir dix euros
- Oui, Monsieur, je vous le dis Prendre un petit apéro Rigoler avec mes amis, Aller pêcher au bord de l’eau Cueillir les fraises des bois Mettre mon plus vieux polo Et être heureux comme un roi. je suis entièrement en accord avec le fond j'aime beaucoup la philosophie du texte car il se trouve que je l'applique l'argent n'a jamais été un moteur pour moi et il se trouve que j'en ai jamais sur moi vous avez raison nous sommes cernés par cette passion votre texte est poétique je l'aime beaucoup |
Lulu
30/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce poème qui a retenu toute mon attention. J'ai remarqué, en lisant, que je ne me rendais même pas compte de ce que pouvait représenter cent millions d'euros... Bien trop loin de ma modeste vie.
J'ai bien aimé la rédaction de l'ensemble. Le traitement du sujet sur la société de consommation est plutôt réussi. Quand j'ai lu la présentation, je m'attendais à quelque chose de lourd, or, tout va bien. Comme l'auteur, "je préfère avoir dix euros" plutôt que d'être seule avec une "belle auto" et une "grande maison dans le Midi"... "L'argent ne fait pas le bonheur", comme chacun sait, mais il en faut bien un minimum pour vivre. J'aime beaucoup le dernier quatrain. |
papipoete
11/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Arlet; entre 10 euros et 1 million d'euros, quelle est la juste somme qui nous ravirait? Eternel dilemme, car à chaque degré de richesse, ne dit-on pas? << ah, si j'avais des sous, j'aurais ceci, je ferais cela...>>
Le milliardaire sans ami, bien qu'entouré de sa cour, mais sans ami, sans apéro, sans pêcher le goujon, sans cueillir les fraises des bois, sans s'habiller d'un vieux polo, mais se blaser à l'acajou de son bateau; est-il heureux? Certes 10euros, c'est peu, mais on peut s'offrir des plaisirs sans prix comme ci-dessus! Agréable moment de lecture que votre réflexion philosophique. |
Anonyme
11/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
10 * 100 = 1000 1000 * 100 = 100 000 mais 100 000 000 / 100 000 = 1000 donc je me demande s’il ne manque pas un couplet pour faire la transition entre 100 000 et cent millions ? Votre texte critique la richesse matérielle et idéalise un peu la précarité (relative). C’est assez caricatural, mais l’idée de fond est juste, souvent nos possessions nous possèdent. Ça dans les grandes lignes car à tout prendre je préférerais avoir des soucis pour mes cent millions que pour savoir quoi bouffer demain. Mais c’est peut-être le prix de la liberté (?). En même temps j’ai connu pas mal de « gagne-petit » qui abusaient de l’apéro entre amis et qui ne sont même pas allés au paradis. Sinon votre texte est bien ficelé et je pense que ça peut faire une chouette chanson (à boire). Alors à la vôtre et à vous relire. Cordialement Corbivan |
Francis
11/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et quand on n'a que l'amour à offrir en partage ? On dessine des sourires sur les visages. On s'abandonne aux vagues sur la plage (quand elle n'est pas privée !) On offre un collier de coquillages à l'enfant qui a du chagrin. On regarde les bateaux passer et on s'invente des îles, des rivages où être est plus important que posséder ! Je partage votre philosophie si bien exprimée à travers cette poésie.
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Anonyme
11/8/2015
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Bonjour Arlet
D’un même avis, voire plus sévère que Corbivan, je trouve votre texte bien tourné mais pour moi, il est simpliste. "Bienheureux qui n’a rien, malheureux qui possède " L’éternel discours bien français, qui n’arrive pas à comprendre l’économie. J’exerce une profession libérale. Croyez-moi , s’il m’arrive d’être heureux de partager un apéro, de m’amuser sans parler d’argent comme tout le monde, on ne peut rien faire sans finances et posséder ne rend pas malheureux comme vous le dites. Dans mon département provincial, une multinationale familiale née en 1952 édite 52000 salaires chaque mois. Il en est pris des apéros grâce aux capitaux de cette entreprise qui n’a jamais fait face à la grève. Cordialement. |
Anonyme
11/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un peu stéréotypée, sans surprise cette analyse.
On peut être " sans un sou " et vivre heureux... bon, ça ne fait pas un gros pourcentage. Sans un sou et galérer, ça c'est déjà plus réaliste. On peut avoir de gros moyens et souhaiter toujours plus : gros pourcentage... Ou se laisser pourrir par l'argent. Si, si, ça existe ! On peut s'en servir pour tenter d'aider autour de soi... Là, pas la peine du boulier chinois ni calculatrice. Mais ça existe aussi. |
Robot
11/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bien sûr, il ne s'agit que d'une chansonnette mais je n'en partage pas le fond sur la philosophie de "l'argent ne fait pas le bonheur". C'est ce que l'on dit à tout ceux qui en manquent pour vivre décemment afin de les amener à accepter la situation.
L'argent ne fait pas le bonheur, mais laisser croire que l'inverse ne pas avoir d'argent c'est le bonheur est une farce. La, c'est l'image d'Epinal du clochard heureux de vivre sous les ponts. Le bonheur c'est bien autre chose qu'une question de richesse ou de non richesse. C'est la qu'est la confusion entre bien-être est bonheur. L'argent ne ferait pas le bonheur, peut être dans une société qui ne fonctionnerait pas sur ce critère mais reste encore à l'inventer cette société là, si même cela était possible. Vaste programme comme disait le Général ! Sinon, le texte est un gentil amusement bien construit et c'est ce que je retiendrai surtout. |
Anonyme
12/8/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bon, à bien y réfléchir, je préfère tout de même cent millions d'euros, ça ne m'empêchera pas de prendre un petit apéro tout en rigolant avec mes amis (les vrais), et les regarder de temps en temps pêcher au bord de l'eau (parce que moi, j'aime pas ça !). J'irai même cueillir volontiers des fraises des bois, tellement j'aime ça, et pourquoi pas mettre mon plus vieux polo (quoique, avec tout cet argent...). Alors, je serai heureux comme un roi.
Excusez de ne pas avoir pu m'empêcher ce petit trait d'humour, car votre poème est tout à fait intelligent (dans le sens réflexion sur soi-même et sur les autres), et non dénué d'humour... De plus, l'histoire est bien narrée et la chute - bien que prévisible - excellente à lire. Je trinque avec vous ! Wall-E |
EmmanuelC
13/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Arlet,
J'aime bien ce petit texte: il est à l'image de la philosophie de vie qu'il prône: simple et joyeux. Mais attention, à en croire le titre, le vrai message, ce n'est pas que l'argent ne fait pas le bonheur, mais que le plus important, c'est l'apéro! Santé! |
Galia
17/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Arlet
Il y en a pour tout un chacun dans ce crescendo. L’heureux aux 10 euros. Le prodigue et ses 1000 euros. Le retard avec ses cent mille euros. L’important couvant son million. Joliment écrit, comme d’habitude, ce texte décrit des réalités de la vie, sans vouloir donner de leçon, mais exprime tout simplement, un sentiment personnel final, qu'il ne faut pas prendre, forcément, comme la moralité universelle de ce qui pourrait être une belle petite fable. Bravo et bonne continuation. |
fortitude
22/8/2015
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assez partagé sur ce texte. surement parce que je ne fais ni l'apologie de l'apéro, ni de la vie facile à glandouiller. même si je pense que le fond est tout autre... un air de rengaine disant "l'argent ne fait pas le bonheur"... un peu maladroit peut être. Par contre la reflexion sur ce que l'on peut avoir en fonction des sommes me semble interressante pour au final relativiser le "bonheur".
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