|
|
Purana
22/10/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Un poème dédié aux premiers frémissements de l'amour, finissant par la nostalgie pour ces jours passés.
Le fond n'est pas compliqué et le texte est écrit avec des mots simples, ce qui va bien avec le thème, la petite enfance et la jeunesse, quand tout est découverte et quand rien ne semble encore compliqué. La première strophe me gêne un petit peu à cause de ce "encore" utilisé deux fois. De plus, je ne trouve pas les vers vraiment poétiques. il y a d'autres vers de ce genre disséminés au fil du texte, comme "En tenant simplement ma main" ; "Les meilleurs que j’ai pu manger" ; "A fait que nous avons grandi",… Mais cela, c'est mon avis personnel.. Pour finir, je voudrais ajouter que j'apprécie votre talent pour écrire des textes rythmiques et rimés (à l'oreille). Cordialement |
Vincendix
23/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Les souvenirs d'enfance sont des trésors, au fil du temps, ils se bonifient.
Un poème qui exprime parfaitement le souvenir de ce garçon aux caramels collés dans les poches (j'en connais un). Un bonheur ces balades dans la campagne, et il est agréable de retrouver, dans sa mémoire, les sentiers de l'enfance et le chant des oiseaux. Un poème peut-être sans prétention mais qui a le mérite d'être VRAI et c'est une qualité que j'apprécie. |
papipoete
26/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
|
cette histoire nous est arrivée à tous, avec cette fille qu'on aimait tant, que la vie nous était si douce.
On se tenait par la main, et regardions la Grande Ourse; mais nos chemins s'écartèrent, et un autre prit ta main que je serrais si fort, enfant. Le temps a passé avec ses joies et ses peines, et lorsqu'il fait gris dans mon coeur, je pense à ces belles années. C'est écrit simplement, avec un vocabulaire que de " grands esprits "n'apprécieront peut-être pas, aussi rien que pour cela je vous encourage à user de votre plume. |
Anonyme
8/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Arlet... Quand bien même quelques vers pourraient être améliorés à peu de frais, j'ai bien aimé ce poème qui nous renvoie à vos (à nos) premiers émois que, filles ou garçons, nous gardons tous enfouis quelque part dans notre petit jardin secret...
Je me souviens, dans la même veine, avoir écrit ce qui suit voilà quelques années. Premier chagrin d’amour, souvenirs doux-amers ! Malgré le temps passé, la vie et ses tracas, Je pense encore à toi, jolie Alexandra ! Une Alexandra dont mon épouse a toujours ignoré l'existence... J'aime beaucoup votre quatrain de chute... La vie a pris mon insouciance M’a donné des chagrins, des joies Mais les sentiers de mon enfance Me font souvent penser à toi. Votre poème plein de nostalgie a ramené le vieil homme que je suis devenu à sa tendre enfance et c'est en soi déjà un petit miracle... Un grand merci et au plaisir ! |
Francis
8/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un poème qui emmène ses lecteurs sur le chemin de leur enfance, sur le chemin de la vie. J'en aime la simplicité, la fraîcheur, l'authenticité. Merci pour cette belle et douce nostalgie.
|
Anonyme
8/11/2015
|
Bonjour
Les histoires comme celle-ci traversent les ans, on s'en souvient et même si, elles rejoignaient les chambres de l'oubli, il est souvent un petit événement pour nous les rappeler. Petit texte dont le sujet mériterait un meilleur traitement, un peu plus de hauteur et de recherche, il s'y prête facilement. Ce qui me gêne le plus, ici, c'est que la poésie semble absente de ces souvenirs alors qu'elle aurait du les transcender. |
jfmoods
8/11/2015
|
Le superlatif (« les meilleurs que... ») implique une appréciation subjective, un sentiment personnel. Il n'y a pas de neutralité par rapport au fait, ce qui exclut l'usage de l'indicatif (passé composé). On emploiera donc ici le subjonctif passé.
« Les meilleurs que j'aie pu manger » Une douce nostalgie préside à cette évocation simple et touchante construite en deux tableaux d'égale longueur. L'imparfait des tendres habitudes (« Tu m'emmenais », « Les oiseaux nous faisaient l'aubade », « On riait de tout et de rien ») est rendu caduc par l'irruption de l'événement, pris en charge par le passé simple (rejet : « une belle sirène / s'en vint », antithèse : « Tu pris sa main et pas la mienne »). La locutrice dresse un constat lucide au passé composé (« Le temps... / A fait que nous avons grandi », personnifications : « La vie a pris mon insouciance », « M'a donné des chagrins ») et au présent (négation catégorique : « Je ne vais plus », adverbe de fréquence : « font souvent penser »). Merci pour ce partage ! |
phoebus
8/11/2015
a aimé ce texte
Un peu
|
Des souvenirs entre rouille et poussière, rien de tel que l'habit poétique pour servir de décapant et leur donner le lustre d'antan.
Je me dis que ce ne sont pas les moments vécus mais tout simplement l'enfance qui les a rendus merveilleux. Comme si on voulait que cette enfance reparte en campagne ou que les choses usées jusqu'à la corde retrouvent une seconde vie. |
Coline-Dé
8/11/2015
a aimé ce texte
Pas
|
On dirait une chanson de Sheila !
Un poème gentillet, sur un sujet rebattu et le fait qu'il soit authentiquement vécu ne change absolument rien à l'affaire : c'est arrivé à tout le monde et banalement traité. Le seul vers que je sauverais : "tu pris sa main et pas la mienne" dont la simplicité toute crue échappe au cliché. Désolée de bousculer ainsi vos souvenirs d'enfance ( sûrement beaucoup plus jolis que vous n'avez su le traduire) |
Anonyme
8/11/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Chacun de nous a ses souvenirs d'enfance ; les beaux, qui nous reviennent souvent, et puis ceux que l'on préfère laisser dans un coin.
" Tu m’emmenais dans tes balades En tenant simplement ma main " Et puis, " Tu pris sa main et pas la mienne Vous avez disparu au loin." Ici, les deux sont présents. |
Miguel
8/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Quelle charmante évocation de l'enfance éphémère ! Tout y est, et tendrement dit, de ce que nous avons vécu, de cette époque où la jeunesse était libre et point encore asservie aux tablettes et aux portables. La nature, les sentiments secrets des petites filles, la simplicité des jours. Je sais bien qu'on enjolive toujours le passé, mais cette démarche a sa raison d'être et la poésie en est l'outil idéal. Ces octosyllabes légers qui prennent progressivement une certaine gravité, ces choses si joliment dites nous offrent une lecture très agréable et émouvante.
On dirait le reflet d'un poème de Victor Hugo : "J'avais douze ans, elle en avait bien seize ; Elle était grande, et moi j'étais petit ..." |
Anonyme
8/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Arlet,
On dirait une chanson de Renaud!(pour chicaner Coline-Dé) 'Mistral gagnant', avec certes un peu moins de poésie(mais la musique qui n'est pas là manque beaucoup). Mais au final, je retrouve cette même mélancolie, ce lien doux-amer partagé par un grand nombre. S'il est écrit(ce poème), dans une constante simplicité, ce n'est pas pour moi un problème; j'y trouve même une cohérence. Vous n'êtes pas là à faire le paon pour obtenir des plumes! Bravo pour votre sincérité, et ce qu'elle donne à lire. Merci. |
Anonyme
8/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bravo pour ce poème fabuleux et les émotions intenses et nostalgiques qu'il dégage. J'en ai presque eu les larmes aux yeux tellement c'est beau. Le sujet est à la fois "cruel" (je le ressens ainsi), et on ne peut plus normal, puisqu'il nous faut partir à un moment où un autre pour tracer notre propre chemin sur le sentier de la vie.
Bien à vous, Wall-E |
Lulu
8/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup ce poème pour sa simplicité et le jeu agréable de ses rimes.
Il renvoie à notre propre enfance, du fait de souvenirs exprimés dans leur ensemble, et en lesquels on peut tout à fait se reconnaitre. Il y court quelque nostalgie, mais juste en filigrane. Ce qui touche, en définitive, ce sont les derniers mots. L'enfance a beau avoir disparu, les souvenirs demeurent, ainsi que les attachements que l'on a pu vivre, et cela est fabuleux. Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Galia
10/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour Arlet
J'ai lu les commentaires, dans lesquels tout a été dit, jusqu'à l'émotion que j'ai ressentie, au revenir de ces moments en sommeil. on croit sentir les caramels collants ! J'ai apprécié la quatrième strophe "L temps poursuivant sa course" belle transition pour quitter l'enfance. Continuez à nous faire plaisir. |
Janam
13/11/2015
a aimé ce texte
Un peu
|
Je l'avoue, je suis incapable de faire rimer quoi que ce soit, mais je ne suis pourtant pas hostile à la rime.
Ici, elle me paraît cependant forcée et enlève pour moi la fraîcheur que vous voulez amener dans ce poème, et certains de ces vers, pourtant bien rimés, tombent à plat et nuisent finalement (toujours pour moi), à cette histoire qui pourrait être plus poétique. Pour ma part, c'est dans l'évocation des choses les plus banales que je trouve très souvent la plus grande des poésies... alors je crois que j'aurais aimé cette histoire dans sa simplicité. |
MissNeko
12/8/2016
a aimé ce texte
Bien
|
C'est frais et tout mignon. Ça me fait penser à la chanson "Nicolas et marjolaine "
Ça se laisse lire ! |