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Anonyme
16/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Subjectif, je m'y reconnais...
Pas sur l'amour, pas sur le tout.. Miroir... |
clementine
16/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime infiniment, cela pénètre chacune de mes cellules pensantes.
C'est fort et c'est beau. J'ai percuté à : "Quand dans le creux de ma main se glisse alors la plume... "c'est vraiment très joli. Moi aussi j'aime les chats Arnoallar... |
karminator
16/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Certains passages sont frappants, très bons, et même incroyables, d'autres sont plus ordinaires... malgré tout, très bon texte!
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titi1951
17/4/2008
a aimé ce texte
Un peu
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C'est tres beau, mais quoi que n'etant pas un fan de la poesie livresque et academique il n'y a ni rytme et une trop grande différente de nombre de pieds.
Cela peut être un plus avec des changements de rytme comme dans le jazz, dans une romance ce n'est plus ce que moi j'appelle de la poesie. Peut etre un petit effort, un peu plus de travail et cela sera, pour moi, parfait Le "mon ange" me parait ici seulement pour compenser mes mots ci dessus et tombe un peu on ne sait ou |
TITEFEE
17/4/2008
a aimé ce texte
Bien
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O le désamour qui est encore de l'amour... cette longue descente vers les pourquoi ? les élans de tendresse pour lui parler encore des chats..
j'ai aimé..la liberté des vers "libres" |
Anonyme
17/4/2008
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Oui, parfois on a beau faire, ne pas faire, essayer, fuir, faire semblant de rien ... certains passants n'en finissent plus de passer, dans les ronds de lumière de nos yeux intérieurs.
Bien rendu, j'ai beaucoup aimé. |
Anonyme
25/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pourquoi autant "...", ce n'était pas vraiment nécessaire, votre écrit est très parlant, cette explosion de sentiments bouleversants et touchants.
Je n'aime pas trop ces "mon ange", qui fleurissement un peu trop nombreux, enlevant ainsi à ce "mon ange" tout ce qu'il peut exprimer de fort, vous le banalisez, c'est dommage. Il y a par instant des passages très marquants : " Quand dans le creux de mon lit, je pars dans l'oubli du réel, tu surgis, trop souvent, puis me gardes éveillé le long de ces nuits sales... " " Séparons-nous alors, comme si toutes ces années, le songe fut réel... " " Pourris donc dans ton trou, laisse-moi vivre, ordure ! " " Je sais que t'y peux rien, mais fallait pas crever, il fallait pas partir. " Il me faudrait citer encore quelques phrases, mais je vais m'arrêter là, vous avez la "dent dure", si je puis m'exprimer ainsi, ça bouscule à l'intérieur, cette souffrance qui vous tenaille, éclate, déborde en mots révoltés. Je vais terminer par ces deux phrases : " Pourquoi tu ne m'emmènes pas ? J'aimerais y venir, moi, dans ton trou, dans ton corps... Moi aussi, j'aime les chats, mon ange... » " Il faudrait retravailler ce texte qui le mérite grandement. |