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Queribus
3/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
ça fait du bien, de temps en temps, de trouver un poète qui maitrise parfaitement le pantoum quand, et de plus, on y trouve aussi un rondeau redoublé; j'avoue que c'est la première fois que je vois ça; l'auteur n'en a que plus de mérite. L'expérience est intéressante mais pas sûr qu'elle soit reconnue à sa juste valeur. Sur le fonds, le sujet a été très souvent traité mais les choses les plus simples sont les plus belles et le plus difficile est de les renouveler à chaque fois, ce qui est le cas ici. Vous l'aurez compris, vous avez affaire à un admirateur inconditionnel qui espère avoir l'occasion de vous relire très bientôt. Bien à vous. |
Ioledane
4/11/2017
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pour ma part, je n'ai jamais aimé les formes poétiques très répétitives. Sur cet écrit en particulier, cela m'empêche de me laisser porter par les images souvent simples mais assez belles. J'ai beaucoup aimé le dernier quatrain, mais dès le deuxième, l'effet "bis et repetita" m'a dérangée et tout le reste de la lecture m'a été fastidieux, malgré plusieurs tentatives.
Au passage, je relève quelques passages peu réussis à mes yeux : "Au tendre son, de désespoir" et surtout cet "inespoir" rimant avec espoir ! |
Anonyme
13/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Je n'aime pas trop les poèmes avec répétition de vers, ce n'est point dans mes gènes. Mais ce qui me dérange le plus ici, est la répétition des rimes tout au long du poème. Un texte si long sur seulement 2 rimes est forcément un peu rasoir. Ceci dit, je trouve que l'idée de départ des soirs d'hiver est bien rendue : Trouble silence sur la ville Les fleurs frémissent dans le noir, etc... Donc, au final, malgré son coté répétitif qui pourrait être rébarbatif, ce poème passe plutôt bien. |
Anonyme
13/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Je n'ai jamais été attiré par cette forme de poésie. Je lui reconnais une certaine performance dans l'écriture, mais ces répétitions systématiques gênent ma lecture.
Il y a des images intéressantes dans ce texte. Par contre, un " coeur sessile " ... mais, c'est bien sûr un avis très subjectif. |
Vincendix
13/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Arthaume,
J’aime assez cette forme qui me fait penser aux chants des troubadours. A mon avis, ce texte mériterait quelques modifications, il faudrait supprimer EST devant FLETRIE pour avoir huit syllabes et remplacer DE par DU devant DESESPOIR. Quant à VIOLON, je crois que normalement il faut tenir compte de la diérèse. Le sujet est banal, comme les autres saisons, l’hiver est souvent évoqué en poésie mais chaque poème à son originalité, le vôtre est plaisant. Vincent |
papipoete
13/11/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonsoir Arthaume,
Pour un premier poème publié sur Oniris, vous n'avez pas choisi la facilité avec ce " pantoum " à complications ! Ces soirs d'hiver inspirent au poète d'élégantes octosyllabes, mais quelques lignes me semblent malheureuses ! Le 12e vers put emprunter la conjugaison du 11e vers et rester au présent, en écrivant " se flétrit par l'hiver hostile " ; la " belle mer " évoque trop celle qui n'est pas votre mère, et détonne au milieu de ce paysage d'hiver . L'avant-dernier quatrain put servir d'exemple à ses frères, et leur donner le bon tempo ! Je ne vois pas de fautes techniques pour ce " néo-classique " . |
Anonyme
13/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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La récurrence des vers dans ce long pantoum finit par alourdir, être pesante.
Est-ce la forme qui convenait pour pour coller au plus près de vos impressions? Pourtant, détachés de l'ensemble, de sa logique, quelques vers m'ont plu: 'La neige se pose tranquille Les fleurs frémissent dans le noir La grande forêt immobile Triste et sombre comme un dortoir Sous les flocons blancs d’inespoir' Il y avait, je crois, matière à faire quelque chose de plus simple et parlant souterrainement. Merci |
solo974
13/11/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Arthaume,
J'ai trouvé courageux de votre part de vous lancer dans une forme métrique aussi astreignante que le pantoum. D'autant plus courageux que Baudelaire s'y est lui-même risqué dans "Harmonie du soir". L'ensemble est plutôt réussi quant à l'évocation de l'hiver et des images qu'il suscite. Le point faible de votre poème est, selon moi, l'usage réitéré de la comparaison ("comme un couloir", "comme un dortoir", "comme un violon"). Comme j'aurais aimé des métaphores en leur lieu et place ! Très bonne continuation à vous, en tout état de cause. Solo974 |
fried
14/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé cette forme qui se prête bien au texte, j'ai l'impression de parcourir le tableau d'un paysage où la ville rencontre la mer en hiver, les répétitions sont ces endroits où l'on a forci le trait du pinceau.
C'est Superbe. |
wancyrs
17/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour parler d'hiver, surtout ceux que je vis ici au Québec, le pantoum se prête bien. Il matérialise bien le mouvement des vents, celui des flocons de neige. Je n'ai eu qu'à fermer les yeux pour me transporter dans cet hiver qui ici arrive à grand pas. Merci !
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MissNeko
18/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Je trouve que la forme que vous utilisez sied à merveille au thème de l hiver : la forme sert le fond en ce sens que l on ressent le calme, l apaisement qui pèse sur la ville, la nature. Les répétitions des vers donnent un rythme lancinant presque monotone ( à comprendre dans un sens positif) qui reflète la longueur d'un hiver rude. Beaucoup de délicatesse dans ce poème. Beaucoup d altérations en "s" qui m'évoquent le susurrement de la vie qui s endort. Un brin hypnotique votre poème ! Merci pour cette lecture floconneuse ! |
Anonyme
19/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Déjà une première lecture, pour appréciation de l'ensemble,
fond et forme. Nullement déçu de ma lecture, je récidive pour cette fois, prendre le temps d'apprécier, ce qui me semble être de très bonne facture. Les images viennent peu à peu et dessinent sans effort, "Les soirs d'hiver", votre plume/pinceau donne à contempler un harmonieux tableau. Très bel réussi que votre écrit. J'aime cette évocation de cette "belle mer", cette simplicité ainsi exprimée, me la rend plus accessible, moins "gigantesque : " Triste et sombre comme un dortoir, La belle mer s’endort gracile Au tendre son de désespoir De la douce valse servile. La belle mer s’endort gracile Sous les flocons blancs d’inespoir De la douce valse servile, Qui vibre et sanglote d’espoir. " Un très, très beau poème, dont j'en retiendrai ces deux strophes, elles sont ma préférence. |