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David
7/10/2008
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Arthurhidd,
"chemin de rouille" et "corolles pourpres" je ne suis pas sûr que ce soit lié mais j'aimais bien l'idée. Je l'ai trouvé bien trop court, je ne sais pas non plus si "la pluie" a un lien avec "l'ivresse", ce que viennent faire "les oiseaux", et "l’écho De l’ombre de ta peau" puisque c'est à l'aube en plus, c'est très brièvement l'honorer. J'ai eu l'impresion de formules collées à la suite sans cohérence entre elles. |
Anonyme
8/10/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Trop métaphorique je crois ?!
On aurais pu écrire : " A la naissance de l'aube " aussi non ? La dernière strophe est plus chaotique ! Mais il a matière pour faire quelque chose de beau dans ce songe ! |
Anonyme
8/10/2008
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Je trouve le message de cette poésie touchant. C'est davantage un rêve qu'une ivresse à mon sens. Il y a de la légèreté, quelque chose de doux. Je pense qu'Arthurhidd a les moyens d'écrire avec plus de force ces belles choses.
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brabant
18/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une vraie rêverie ou je ne m'y connais pas, les images parlent et le poème réussit l'osmose de la ville (par analogie), du corps et de la campagne. Je hume de la mythologie (toujours par analogie) dans la pureté ivre de cet amour aux résonances d'innocence :)
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Anonyme
3/8/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je suis désolée mais je n'aime pas trop ce genre de poème où les mots manquent fortement de cohésion entre eux. Je me demande où est l'émotion dans tout cela. Il est bien difficile de la palper.
Comme cela sonne mal " D'évidence d'aube" !! Je n'ai d'ailleurs pas vraiment compris toute cette strophe. C'est encore beaucoup moins évident dans la deuxième strophe, je dirai que cela fait très surjoué. |