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David
12/12/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
De l'automne à l'aurore, c'est un peu comme du crépuscule au printemps, c'est l'impression que j'ai eu, comme une parenthèse d'une nuit et/ou d'une saison. J'ai reconnu le "démon de midi" même si en l'occurrence, il n'est pas question dans la chanson d'une séparation préalable (c'est peut-être à lire dans "briser les chaines" néanmoins). Il manquerait un peu d'auto-dérision à mon goût pour compenser l'exagération de se sentir "menacé de mort" par le temps qui passe, comme par une rencontre subite avec un animal sauvage, ou face à une maladie. |
Lhirondelle
16/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Avant "les baisers de l'Aurore" le démon de midi se chantonne presque parfaitement si l'on fait l'impasse sur quelques omissions de contractions pour garder le rythme de l'hexasyllabe. " "Comme la rivière, son lit" 8 "Quand elle me rejoindra" 7 "cette femme que j'implore" 7 Je l'ai d'autant plus remarqué puisque les 4 premiers sizains m'ont semblé fluides. C'est dans les deux derniers qu'il y a un léger relâchement, mais tout cela se corrige facilement dirons-nous... Voilà pour la forme. Pour le fond, si le thème est rebattu en poésie, en chanson... j'y ai trouvé de belles tournures. Entre autres : "quand les tempes grisonnent et retiennent le temps" "suspendu par l'ivresse aux lèvres du printemps" "sur le chemin des dames" "puis j'ai rejoins mon âge" Donc dans l'ensemble après quelques modestes corrections, des paroles qui, assurément, méritent de rencontrer leur âme soeur mélodique. Par contre, si je veux bien admettre que la quarantaine soit rugissante... je suis plus sceptique quant au fait qu'elle puisse vous rappeler que la mort n'est plus si lointaine... Dès la deuxième strophe - ouf - nous voici rassurés de la bonne santé que cette quarantaine vous accorde... :) |
Curwwod
17/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un texte superbe qui évoque la frénésie des amours charnelles, la quête permanente du plaisir et peut-être du bonheur par le contact intime avec la peau, le sang, les larmes d'une autre, de beaucoup d'autres. Au fond c'est un hymne à la femme, à son pouvoir infini, à la magie qu'elle détient. C'est aussi le constat amer que la mort vous attend toujours à Samarkande et que toutes les tentatives pour échapper au destin commun sont d'une pitoyable vanité. De belles images, des métaphores parlantes tant pour l'évocation de la fièvre que pour l'apaisement final où finalement l'amour vrai seul survit.
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papipoete
28/12/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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bonjour Ascar; la quarantaine serait l'âge de l'Automne, mais vous évoquez cette tranche de vie où s'entassent, déjà vos remords, où la peau se ride et les tempes blanchissent? Selon moi, cette saison a détrôné l'Eté qui nous mouille, nous gèle en Aout! alors votre "quart d'an" devrait laisser penser à tant de lendemains heureux!
Ce n'était qu'un aparté, car votre poème bien ponctué, est splendide avec des vers tels "j'ai bu le vin des rois dans leurs yeux de velours", ou "j'ai nargué ces enfers que la folie dévoile", et encore "j'ai rejoint mon âge comme la rivière, son lit". Ces strophes de 8 vers garniraient avantageusement un écrin, d'où vous sortiriez ce bijou destiné à cette femme que vous implorez! |
leni
28/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonsoir Ascar
cette proposition de chanson est du brut de pomme Je perçois dans ce texte une belle potentialité Ma première critique:le premier couplet peut-être supprimé Le couplet 2 me plait beaucoup Le couplet 4je n'aime pas les suaves chagrins Ma préférence le couplet 6 Aujourd'hui je me sens comme une mer tranquille. Adieu les coups de sang, je m'en vais sur mon île. Quand elle me rejoindra, cette femme que j'implore, nous cueillerons là-bas les baisers de l'Aurore… J'ai passé un excellent moment Ce texte contient des pépites salut cordial Leni |
Anonyme
28/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Ascar... Les Quarantièmes rugissants sont bien illustrés dans cette chanson malheureusement sans musique... pour l'instant.
Le tout bâti en hexa syllabiques lui donne beaucoup d'ardeur... Dommage que quelques vers dérogent à la loi... Exemple : Quand elle me rejoindra, cette femme que j'implore,... facilement transformable en : Et quand me rejoindra La femme que j'implore... etc. Simple suggestion, c'est vous le boss ! Ceci-dit, le texte est plaisant et très bien enlevé ! Vraiment sympa... |
Anonyme
29/12/2014
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Je n'ai pas grand chose de particulier à dire, alors je ne vais pas mettre de note, mais je tiens à dire à l'auteur de cette chanson qu'elle me plaît beaucoup. C'est à la fois léger et littéraire, sans doute aussi fort à l'oral que charmant à l'écrit.
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Francis
29/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La musique est déjà là ! Cette fleur peut-être cueillie trop tôt qui s'ennuie dans son soliflore et qui, avant de faner veut rejoindre une dernière fois la rosée des prés où les fleurs sauvages à peine écloses.
Les images sont belles :" lèvres du printemps, j'ai bu le vin des rois, la liqueur du temps, comme une mer tranquille..." Ce sera une belle chanson ! |
Robot
29/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Même sans musique je découvre une très bonne poésie libre.
Parmi toutes ces belles strophes, voici celle que je préfère. "J'ai extrait ma part d'or de leurs bouches exquises tel un conquistador que l'espérance grise. J'ai bu le vin des rois dans leurs yeux de velours et j'ai touché du doigt les voûtes de l'Amour !" Et ces deux vers qui me parle: "Puis j'ai rejoint mon âge comme la rivière, son lit." Dommage qu'ils n'aient pas servi de conclusion à ce texte de bonne qualité. |
funambule
31/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bon élan un peu coupé par quelque chose d'un peu trop "fouillé" bridant un tantinet mon propre imaginaire. Le refrain mis en avant ne masque pas l’aspect monolithique de la construction (pour une chanson s'entend)... mais un bon compositeur saura aussi en tirer parti.
Bon thème, contrat rempli sans grande surprise mais il fallait déjà le faire. En gros j'aime assez sans être complètement "happé". Difficile d'en exprimer le pourquoi ! |
Anonyme
3/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Lecture facile et envoutante dans le sens ou on ne s'arrete de lire qu'à la dernière image du texte.
On sent que le débutant et loin derrière. L'émotion est omniprésent.BRAVO |
Pussicat
6/1/2015
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Bonjour Ascar,
Joli texte, chanson peut-être, sur le temps qui passe et ne se rattrape plus... pour être franche, je n'aime pas la première strophe que je trouve trop pesante dans l'expression... ensuite, je ne comprends pas le découpage, la mise en page... à mes yeux, je ne lis ni refrain ni couplet... je retiens la dernière strophe, malgré ses imperfections... à relire en chantonnant, A bientôt de vous relire donc ;) |
Anonyme
26/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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De tout ce texte qui est fort bien écrit, j'en retiendrai :
"J'ai brûlé mes regrets, j'ai tué mes tourments, ne gardant au palais que la liqueur du temps. Puis j'ai rejoint mon âge comme la rivière, son lit. Après les pluies d'orage le soleil resplendit !" Viens toujours le calme après la tempête, nous traversons des zones de turbulences, nous donnant l'impression de retrouver comme une seconde jeunesse, mais ce n'est qu'une illusion, après ce tourbillon de folie, nos esprits retrouvés, nous reprenons le cours de sa vie, mais il en reste sûrement de bonnes choses. Un texte qui ne manque pas d'intérêt. Je n'ai pas trop compris le décalé de ces deux strophes, cela n'enlève rien mais cela n'ajoute rien non plus. |
Lulu
21/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Ascar,
j'ai bien aimé les paroles de cette chanson. J'ai d'abord pensé que c'était facile de se tourner vers des jeunes filles de vingt ans, mais cela m'a semblé réaliste, et simple dans sa description. Au delà de l'âge des jeunes filles, ce qui touche, c'est cette espèce de volonté farouche de vouloir vivre à tout prix, comme si la quarantaine passée était un signe du temps avec ses "tempes grises"... J'ai surtout aimé la seconde partie de votre texte, ce passage où le locuteur attend, finalement, "les baisers de l'Aurore", d'une façon plus sage, plus posée. Par ailleurs, il est vrai qu'à vingt ans, on ne songe guère à la mort... On a la vie devant soi, mais, pour autant, sommes nous déjà à l'automne vers quarante ans ? Tout est si relatif... Enfin, j'ai bien aimé vos mots. Je les ai trouvés simples, appropriés. |