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Anonyme
22/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Ce poème porte de tellement belles images que je m'y suis arrêté. Les deux premiers vers ouvrent le bal des habitudes. A chaque regret, nous pousse une fleur Qu'on ne pourra jamais cueillir : c'est très beau également même si j'aurais oté le nous devant pousse. Et le dernier quatrain emporte ma décision. Au final, un petit bijou du temps qui passe, du temps passé. |
funambule
22/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une excellente structure avec un refrain qui fait merveille pour "trancher", pour autant la construction générale, couple/couplet/refrain, couplet/couplet/refrain me semble insuffisante; il manque un pont avant un refrain supplémentaire ou plus ce couplets avant le premier refrain. Dommage sans être rédhibitoire ! Pour le fond, de très belles images, un peu vues mais très évocatrices, porteuses de brisures, entre poésie et chanson. Paradigme et exhorte me semblent assez peu à leur place en chanson... mais passons. Un beau texte pour le genre et tout pesé, classique et dans une émotion qui devrait en laisser peu indifférents.
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Noran
22/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup ce texte !
Cela ferait un excellent rap ou slam en développant encore le sujet car le rythme est là. Je pense que vous pouvez creuser la question abordée dans ce texte, les habitudes, le quotidien qui nous aliène, étrange étranger à nos corps et alien à nos cœurs. Poétiquement vôtre. Noran |
Anonyme
22/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Les jours s’empilent comme des revues
Qu’on ne prend plus la peine de lire." Je trouve l'image originale pour tout de suite camper la situation qui va être évoquée. Sans trop de nostalgie, avec même de l'humour, " Voici le temps du lit à part ! Tu ronfles trop, je rentre tard. Tu n’aimes pas les films policiers, J’achèterai une deuxième télé ", le thème est bien conduit. |
Michel64
23/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup le premier quatrain (les 3 premiers vers plus exactement) où tout ou presque est dit.
Le refrain tient bien la route et me plait aussi. Par contre "chérir une marque du faillir" non je ne vois pas pourquoi. Je n'ai peut-être pas compris. Il manque bien sûr la musique pour ajouter de l'émotion et peut être un couplet/refrain de plus si ça doit vraiment devenir une chanson. Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Marite
23/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Chanson ou slam ? Je choisirais plutôt le slam pour ce texte somme toute assez réaliste. Les mots décrivent bien la disparition de la complicité, la désillusion et la résignation. Le brin d'humour dans l'avant-dernière strophe m'apparaît cependant comme un léger souffle d'espoir à cultiver : la possibilité de faire germer et pousser une nouvelle graine pour ne pas se laisser engluer dans les habitudes à condition de neutraliser la "peur du pire".
J'apprécie particulièrement : " Les jours s’empilent comme des revues Qu’on ne prend plus la peine de lire...." Image très simple mais si "parlante" |
Francis
23/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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D'entrée, les deux premiers vers séduisent le lecteur. Quand la routine s'installe, la vie perd sa saveur. J'ai pensé à Aznavour (tu t'laisses aller). Le temps tue souvent les rêves, les désirs. Mais comme le chantait Brel : "On a vu rejaillir le feu d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux". Une note d'espoir ajoutée à la note d'humour de l'avant dernière strophe.
Merci pour le partage. |
Pouet
23/1/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Bjr,
Beaucoup aimé ce texte, je n'avais pas été aussi emballé depuis quelques temps. Les deux premiers vers sont très bien vus, on entre donc avec joie dans ce poème. Je trouve de l'originalité derrière l'apparente simplicité de la forme. Et ce n'est pas si commun que cela, ni évident à faire. De belles images, un propos bien rendu. Bref, j'adhère. Sans retenue. Bravo. |
Raoul
23/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien, ça, c'est un texte !
Les images s'emboîtent impec, bien qu'elles puissent paraître un brin hétéroclites, elles constituent un véritable univers personnel, sensible et particulier. Rien que pour ça, bravo. Seuls bémols, la répétition du verbe lire dans le premier couplet, & surtout le "disolve", impossible rime à la Bashung- Fauque, j'ai bien compris, mais ça m'arrache l'oreille. [ Oui, je suis un pinailleur de drosophile !;) ] |
MissNeko
24/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
- le fond : Que de vérités énoncées ici. Les jours qui s'empilent, les désirs, les rêves, le couple qui se "dislove". Votre poème pousse à la réflexion. - la forme : Le rythme est très intéressant : il en faut peu pour chantonner ce poeme. J ai beaucoup aimé : " à chaque regret nous pousse une fleur" "paradigme perdu" qui fait écho à paradis perdu, et dissolve/ dislove. Merci pour ce partage. A vous relire |
Brume
25/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ascar
Plusieurs fois que je passe lire votre poème. Mais il arrive parfois de ne pas savoir quoi dire. Je trouve votre poème à la fois puissant et très doux. Et le terme "dislove" est très joli. Votre poème a je ne sais quoi que je ne peux définir. Le refrain est magnifique. Le tout est séduisant et traite le sujet avec originalité. Des vers sublimes, à fleur de peau. Je n'ai pas la musique mais la lecture est mélodieuse. PS: pour éviter la répétition du verbe "lire" au premier couplet, je vous suggère: "Monsieur Soupir nous dit l'avenir" Simple proposition bien sûr. |
DianeSrd
25/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème que j'ai aimé dans son theme et son expression et qui me rappelle les réflexions de jean-pierre Simeon dans son livre recent, "La poésie sauvera le monde"
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brunototi
25/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Plein de nostalgie et de réalité malheureuse....Des mots qui font mouche au cœur, à l'âme...J'ai beaucoup aimé ma lecture....Merci...Bruno
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Ascar
6/2/2017
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mes remerciements ici :
http://www.oniris.be/forum/remerciements-parfum-dissident-t23498s0.html#forumpost313011 |