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papipoete
30/3/2015
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Asrya; Sur les rochers glissants il lézarderait, prêt à plonger en danger, dans les eaux profondes; mais le voilà pris au piège du traître sable, sous un soleil de plomb! Il ne s'en sortira pas, et finira par mourir lamentablement, sous les regards médusés des gens de la plage. Ses semblables ne peuvent rien pour lui; s'il était orque, ses congénères tenteraient l'impossible pour le sauver quitte à périr, mais...il n'est qu'un phoque!
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Anonyme
31/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Asrya,
ce texte est touchant, intéressant, de belles images, toutes bien cruelles, des photos colorées, des mots simples permettant de bien tout visualiser. Est-ce possible ce genre de situation ? Si oui, je ne connaissais pas ce destin horrible de ces pauvres phoques. Le seul reproche que je pourrais faire à ce texte, c'est qu'il n'y a rien là de très poétique. Un bon texte, à développer, à retravailler, que sais-je ? Peut-être le changer de rubrique ? Bien quand même car quelquefois le message doit dépasser l'assemblage artistique des mots, et là c'est une réussite. Bravo. |
Anonyme
31/3/2015
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Bonjour Asrya... Le phoque, les noix de coco et les palmiers peuvent paraître incompatibles mais vous avez raison car il existe des phoques moines dans certaines mers chaudes. L'histoire par elle même est donc plausible... On trouve bien des cétacés échoués ça et là.
Reste la forme du poème que je trouve pour le moins désordonnée... Vous tenez votre sujet, reste quand même à le retravailler si vous voulez mon humble avis... Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage ! C'est la dure réalité du poète ou de l'écrivain. Bon courage et merci pour cet essai même s'il n'est pas totalement transformé cette fois-ci... |
Anonyme
2/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Pauvre phoque...
De mon côté j'imaginais plutôt des humains indifférents au sort de ce gentil animal marin, le laissant mourir au soleil sans intervenir. En tout cas, exposé au soleil, il suffoque ! |
Robot
6/4/2015
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Une prose originale sur un thème écologique dont la sens va au delà de l'expression. Pourquoi ce phoque est-il là ? Désorienté par les changements imposé à la planète par les humains ? ou est-il victime de la loi naturelle qui fait que pour survivre eux mêmes ses congénères l'ont abandonné ?
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Pussicat
18/4/2015
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bonjour Asrya,
désolée mais je n'arrive pas à lire votre texte. je ne comprends pas sa construction en inversion : "Exposé au soleil, Il suffoque." "L'air est humide, un peu salé : il s'assèche." "Sous l’orgueil d'un palmier il gît." "...dépassé, fatigué ; il s'échoue." Je relève une incohérence : "Exposé au soleil, Il suffoque."//// "Sous l’orgueil d'un palmier il gît." Et si je vous dis que : "Noix de cocos et crustacés ;" et " alors il se réfugie, comme il peut", me dépassent un peu... vous tenez un sujet mais je pense avec modestie qu'un petit retour sur le métier lui serait profitable. à bientôt de vous lire, |
Anonyme
3/8/2016
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai pris le temps de lire, et de relire plusieurs fois votre écrit, je suis mitigé par rapport à celui-ci.
Je comprends la démarche, elle est louable, mais c'est dans la rédaction de l'écrit que le problème intervient. Ce texte n'arrive pas à susciter l'intérêt attendu, car je dirais presque qu'il est trop "scolaire", il manque de profondeur, de maturité. |