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papipoete
2/3/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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contemporain
il est né l'enfant attendu, le petit-enfant auquel on ne croyait plus ! C'est comme si le monde au-dehors lui faisait peur, et que naître était peut-être gageure ? Et ça carillonne dans les chaumières, et ça carillonne même dans l'esprit de grand-père ! NB un poème qui fait du bien, au moment où l'on dit " pourquoi faire des enfants dans ce monde qui perd la tête ? ", qui emplit de joie celle, celui qui voudrait bien transmettre sa philosophie, ses passions, et guider l'enfant sur le chemin qui s'ouvre devant lui. des vers presque naïfs sous la plume d'un papi, que Ilona baptisera de biens des noms attendrissants ; je fus ainsi appelé " papipoète " ! je conseillerais à l'auteur, pour la première moitié de son poème, d'aller vers une alternance des rimes ( masc/fém ) à l'image de la seconde partie. papipoète |
VictorO
6/3/2020
a aimé ce texte
Bien
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Un poème authentique qui fait sourire. L'arrivée d'un bébé qui pensait "le monde méchant" mais qui est finalement très bien entouré. J'ai apprécié en particulier :
"Les carillons de nos smartphones ont tant sonné qu'ils sont aphones". |
Corto
8/3/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'événement indépassable est là: l'enfant est né.
On sent bien dans ce poème ce bouleversement intime, individuel et collectif. Une vie est née et on ne sait pas ce qu'elle sera, les joies et les difficultés, une vie comme toutes les vies, fragile et périssable. L'ambiance est fort bien rendue, jusqu'à cette dernière strophe mystérieuse ou farceuse, mais où le grand-père entend cette consécration dans son nouveau rôle "Mais non, papi, ils sont éteints, réveille toi, c'est le matin!". Un moment bien rendu et émouvant. Bravo à l'auteur. |
Robot
8/3/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit texte bien sympathique pour célébrer une naissance.
Je lui trouve une naïveté charmante qui reflète bien la joie de ces instants. J'aime bien l'idée de cette prescience, de l'éventualité d'un monde méchant qui aurait inconsciemment retenue l'arrivée au monde de l'enfant. La fin carillonne. Papi n'a pas rêvé. Il est grand-père ! |
Melusine
19/3/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est avec des mots simples
"tu gigotes, fais de ton mieux, oses à peine ouvrir les yeux..." que l'auteur nous fait partager l'explosion de joie qui accompagne une naissance. J'aurais préféré un peu moins de ponctuation, et notamment moins de virgules en fin de vers, mais c'est un détail dans un ensemble habité par l'émotion et le bonheur exprimés en toute simplicité. |
Lebarde
19/3/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ilona
Joli poème plein de fraîcheur et d'originalité. Tout le monde l'attendait, çà y est, il est là, il est beau, les cloches ( les smartphones) ont sonné puis se sont tues. Mais oui l'accueil est agréable et le monde est quand même beau. C'est parfois après que çà se gâte! Mais si tu y mets du tiens, çà va bien se passer tu verras. Merci Lebarde papy comblé depuis longtemps |
Vincente
19/3/2020
a aimé ce texte
Bien
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Le nouveau soleil s'appelle Ilona pour cet inédit grand-père. Et ce poème nous raconte quelques instants essentiels dans la galaxie où la petite famille respire le bonheur.
Ah, mais c'était un rêve ou une réalité en dormance ? Un rêve éveillé plus sûrement. Enfin, c'est ce que j'y ai vu. J'ai bien aimé l'expression authentique, simple, presque naïve, on assiste à une sorte de conte, mais il semble bien s'agir d'une histoire vécue, dans l'accueil imminent d'une petite-fille ou dans ses premiers jours enchantant ce poème. L'ensemble est bien bien touchant. |
BernardG
23/3/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Un gentil poème plein de douceur, un peu conventionnel .....qui ne laisse, néanmoins pas insensible grâce à l'originalité des 2 vers suivants: "Les carillons de nos smartphones" "ont tant sonné qu'ils sont aphones..." Merci Bernard G. |
Lulu
29/3/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Assagui,
J'ai beaucoup aimé les mots mis en exergue... Comment ne pas être attendrie ? Le premier quatrain n'a pas démenti mon sentiment. On est pris à témoins face à une petit-fille décrite telle qu'on peut l'imaginer, entourée et déjà touchante. Le second quatrain m'a un peu surprise, car je ne m'attendais pas à de l'imparfait dans le déroulement du poème. Je me suis demandé qui était ce "Tu", tant j'ai été déroutée. La petite Ilona venait de naître, pouvait-il s'agir d'elle ? Le troisième vers a remis le cadre autour d'elle. En tout cas, j'ai trouvé dommage ce manque de fluidité dans ma lecture du fait de l'entame de ce quatrain. L'ensemble du poème me semble être très simple dans son écriture et sa construction, mais j'ai plus été touchée par le premier quatrain que les autres car je le trouve plus riche, tant au niveau de ce qui y est exprimé que la manière dont les mots sont agencés. La ponctuation, par exemple, permet d'insuffler un rythme et une émotion du locuteur qui concourent à éveiller notre curiosité et à toucher notre sensibilité. Enfin, les deux derniers vers du poème m'ont semblé amusants. Merci du partage, et au plaisir de vous relire. |
assagui
30/3/2020
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remerciements et post-scriptum:
http://www.oniris.be/forum/remerciements-d-assagui-pour-ilona-t27978s0.html |