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Lebarde
25/9/2022
a aimé ce texte
Bien
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Tout se dégrade, tout fout le camp; de la pollution partout même dans l’eau du ciel qui finit par retomber avec ce que les vents lui ont envoyé, celle des sources et des ruisseaux que seuls les cours de la bourse intéressent.( j’ai compris l’allusion ).
Que vont devenir les oiseaux, les poissons et l’écureuil, je vous le demande. Le message sous forme de constat est passé souvent d’une façon un peu pataude, mais il est passé. Les alexandrins sont bien chaussés et bien équilibrés, pas de hiatus ni de e non élidés, repérés; le classique pourra accueillir ce poème sans réticence a priori. Mais en ce qui concerne les rimes, l’effort produit est minimal pour certaines : boire/déboire, cours/discours, pure/j’épure, grands/demi-grands, bête/embête….. Il y avait sans doute beaucoup mieux à faire et j’en suis gêné; ce qui justifie mon appréciation mesurée. En EL Lebarde, peut-être un peu sévère sur ce coup là. |
papipoete
25/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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classique
On pouvait, béat de tranquillité boire l'eau du ciel, venant remplir réservoirs et autres rus... mais à trop vouloir jouer avec le feu, on se brûle avec de l'eau tout juste bonne à éteindre les crimes des pyromanes ! Il est des protecteurs, comme l'auteur qui considère l'eau, comme plus précieux que l'or d'Arpagon, et veille sur elle, mais il y a tous les autres... NB bien amère est cette nouvelle, enfin annoncée aux infos nationales, vers 23 h 30 quand les travailleurs vont se coucher, et rêver au ruisseau de notre enfance, quand au milieu du cresson on plongeait nos deux mains, pour boire ce suc de la vie... sans risquer l'empoisonnement ! La pollution contrairement au nuage de Tchernobyl " qui s'arrêta à nos frontières ", touche la Terre entière, là où elle respirait encore, et les cieux pleurent des larmes si bileuses... L'auteur est fort dépité par cet état de fait, où il ne faut pas être Einstein, pour songer que ces fumées, ces échappements, ces pesticides qui montent au ciel... retomberont un jour ou l'autre dans les réservoirs, les petits rus ! Je vois que poissons et écureuils sont compagnons de qui porte ici sa plume, et elle saigne... J'aime particulièrement cette strophe, où même en faisant tout son possible, il n'est pas sûr que de son Eden, l'amoureux ne fasse son deuil ! je vois des alexandrins au classique sans faute ; juste un infime bémol au 11e vers et son inversion ( j'en fais mais sais que les oniriens n'apprécient guère... ) papipoète |
Anonyme
1/10/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
J'aurais apprécié votre poème s'il ne pleuvait pas chez nous depuis 2 jours et sans discontinuer. C'est à la mode d'écrire sur ce thème, bien sûr, il faut suivre les articles des journaux pour l'achalandage. Mais vous oubliez une chose importante, c'est que la Nature bien plus forte que l'être humain compense toujours ses extrêmes, extrêmes qui ne datent pas d'hier contrairement à ce qu'on voudrait nous faire croire par la cupidité. Autrement, ce texte n'est pas mal écrit mais rassurez-vous, vos oiseaux, votre écureuil ou vos poissons, vous les verrez encore longtemps et c'est tant mieux. Quelques trucs gênant quand même : ce Zeus qui nous embête et cette rime cieux/insoucieux, entre autres. |
Anonyme
1/10/2022
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Bonjour Assagui,
Je trouve que votre poème est plutôt bien construit mais il a deux défauts majeurs : 1 – Les rimes sont lourdes comme de la fonte 2 – Le côté dénonciation naïve écolo même si elle est louable et que j’y adhère on dirait quand même du Nicolas Hulot avant qu’il goûte au pognon avec une touche de Dieux Grecs pour « wesh man, c’est stylé ! (je vais encore me faire bien voir tiens^^) Je ne note pas pour me faire pardonner^^ Anna (à l’eau du robinet, c’est plus sûr) |
Anonyme
3/10/2022
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Modéré : Commentaire ne traitant pas du texte lui-même.
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Corto
3/10/2022
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Modéré : Commentaire trop peu argumenté.
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Lotier
2/10/2022
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La poésie « engagée » est toujours bienvenue. On ne peut pas laisser tout l'espace aux futiles (quoique tout soit vanité…).
Mais ici, la dénonciation laisse un goût amer, n'étant balancée d'aucune espérance. C'est un choix, je n'en doute pas, et respectable. L'homme ne survivra peut-être pas à la nature, mais la nature survivra à l'homme… n'est-ce pas une bribe d'espoir ? Autre point à éclaircir, en ce qui me concerne : pourquoi tous ces possessifs, vis-à-vis de la Nature ? Pourquoi une telle appropriation si véhémente ? Est-ce pour rendre le discours plus radical ? Pour faire ressortir la spoliation ? Sinon, j'ai trouvé la forme un peu indigeste (ex : «pour qui l'onde j'épure », « sur les insoucieux », « bleu d'azur », « d'un maître discours », etc.). Mais bon, c'est peut-être ce que j'avais mangé avant qui m'a perturbé… |
Puzzle
4/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Assagui,
Oui, la pluie du ciel est amère et nous renvoie nos errances comme un boomerang ! J'aime tout particulièrement la troisième strophe. A bientôt |
Anonyme
4/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Patrick,
bravo pour votre jardin aquatique. Vous cultivez la beauté. Je mesure votre inquiétude en période de sècheresse à l'aune de ce travail, esthétique et salutaire. Je ne risquerai aucune remarque péremptoire au sujet de l'avenir climatique, humilité oblige (aucun jeu de mot avec humilité). Un hoquet au hiatus du vers 3 : dieu_Uranus J'ignore si vous visiez le classique mais cieux (synérèse) et insoucieux (diérèse) poseraient peut-être problème. L'ensemble, à l'aide de rimes riches, montre la pertinente opposition beauté/bourse soit Nature/croissance menée par les insoucieux. J’ai beaucoup aimé ce poème d'Amour... pour la Nature. |
Kemo
7/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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La chape de plomb ( ou de pluie ) couvrant nos avenirs est bien réelle et nous interroge ( un peu tardivement ) sur nos sociétés et modes de vie.
Il serait temps de redéfinir la richesse ; vos rimes, elles, sont riches, votre poème aussi. Bravo ! |
Robot
7/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le constat d'une situation et peut être un appel à une prise de conscience.
J'ai apprécié la valeur des rimes. Si j'excepte la répétition de grands dans le même quatrain à éviter. Tous les quatrains sont intéressants et parlant, mais j'aime particulièrement le troisième ainsi que le dernier. Dommage pour le hiatus dieu_uranus qui coûte le classique, mais comme je dis souvent, mieux vaut un bon néo qu'un mauvais classique. |
assagui
13/10/2022
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