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| EtienneNorvins
30/1/2022
a aimé ce texte
Bien
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De circonstance, avec beaucoup d'humour, de tendresse et d'émotion... J'espère pouvoir vous relire avec encore plus d'intensité ... un jour prochain dans ma propre existence !
Seul bémol : les deux dernières strophes me semble, à l'oreille, un cran en dessous des autres (trop de pieds et mains puis cette insistance un peu lourde du '(a)in' en fin de vers) - ce qui est dommage puisqu'on finit avec cela en bouche... [en EL] |
| Miguel
30/1/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quelques jeux de mots font un peu "potache", mais il y a aussi de belles trouvailles, l'ensemble ne manque pas de charme et l'on y sent une sincérité inspirée. Bravo à l'auteur, et bravo à sa muse.
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| Lebarde
31/1/2022
a aimé ce texte
Pas ↑
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Des jeux de mots plus ou moins faciles et téléphonés autour de la sonorité «main/min »! Bof tout cela est bien alambiqué et bien peu poétique.
Sans doute beaucoup de recherches et d’efforts de la part de l’auteur bien mal récompensé sur ce coup-là, pour un résultat peu convainquant à mon avis. Quelques bonnes idées et formules ici ou là qui peuvent séduire et éventuellement faire sourire « un bon public »: - premiere strophe, oui bien trouvée, Malheureusement beaucoup d’autres qui manquent de subtilité et d’élégance. Et puis il y a toutes les répétitions: chemins et mains (6 fois), corps (3 fois), âme et cœur (2 fois), qui finissent par être pesantes à la lecture. Vous avez compris pas vraiment d’enthousiasme de ma part. En EL Lebarde |
| Gemini
2/2/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'auteur a mis beaucoup de fantaisie dans ce poème d'amour (original) dédié à sa compagne.
Les rimes sont faciles (un peu surexploitées), le propos est simple, direct, suivant le chemin de l'esprit à la main, et preuve d'un amour intact, comme chaque jour renouvelé. Les chemins sont nombreux et variés. Dans leur graduation, je trouve dommage de placer les pieds après l'âme. Histoire de noblesse. Mais je trouve pas mal de charme dans cette simplicité et cet humour léger qui disent un sentiment. On croit comprendre que la Saint Valentin est plus un prétexte à donner un esprit de fête au texte qu'à rassurer sa destinatrice sur l’authenticité de la tendresse de l’auteur. Leur complicité transpire entre les lignes. Ne reste plus qu'à faire mouche. |
| papipoete
6/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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libre
Les chemins de ma main, qui menaient à tes reins, et coquins vers tes seins, ont connu tant de lendemains ! je suis si heureux de voir que sans boussole, je retrouve les yeux fermés ma route jusqu'à toi, qui jamais ne lâcha ma main... NB ici, point de " je t'offrirai des larmes de pluie, venues de pays où il ne pleut pas ", mais un serment comme gravé dans les lignes d'une main, quand pour son coeur bat un autre coeur... De fort beaux passages comme ces rimes en écho, d'une strophe à l'autre. " quand aux chemins qui plaisent à mon âme... " est mon passage préféré ! Un bémol pourtant dans la suivante à " je n'y prends qu'un PIED ", pas très poétique , Mais en voici une dulcinée aimée, comme vénérée... le sait-elle , papipoète |
| Donaldo75
7/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne suis pas fan d’ordinaire des jeux sur les mots, surtout en poésie ; cependant, ici la mayonnaise a pris et j’ai même été impressionné par la fluidité et la facilité de lecture de ce jonglage lexical. En plus, la progression poétique est indéniable ce qui sort le poème de la catégorie « exercice pour montrer qu’on maitrise bien la langue » et l’envoie directement dans les cieux de mon impression de lecture. Oui, j’ai les neurones tordus par ce tour de force mais je suis content de terminer le tube d’aspirine parce que ça valait le coup, cette lecture, que je ne me suis pas fait voler par l’exergue et que j’ai plaisir à le relire.
Bravo ! |
| Anonyme
16/2/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Si je déplore les vers de mirlitons, le cul-cul la praline du propos et une certaine facilité dans la recherche des sonorités, je n'ai pas boudé mon plaisir pour autant car l'exercice est amusant même si l'on sent qu'il a été écrit sur le dos d'une liste de courses en attendant l'autobus. Pour exemple : "Même si je n'y prends qu'un pied, en te prenant la main, je ferai toujours pieds et mains, pour y aller à pied" C'est juste pas possible, cette strophe ! Mais bon, comme je l'ai dit, c'est plaisant et rapide à lire ! Merci Anna |
